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Campagne de guerre dans la guerre d'Israël accouche d'une DCA intégrée Russie-Syrie-Résistance

US Rep. Ilhan Omar (D-MN) (L) talks with Speaker of the House Nancy Pelosi (D-CA) during a rally with fellow Democrats before voting on H.R. 1, or the People Act, on the East Steps of the US Capitol on March 08, 2019 in Washington, DC. (AFP photo)
La DCA reconstituée syrienne parfaitement inconnue pour Israël (Archives)

 A part un Sultan Erdogan qui joue toujours au cache-cache avec l’armée syrienne à Manbij et à Tell Rafaat puisque la campagne anti OTAN déclenchée à quelques kilomètres du nord de la Syrie soit en plein Kurdistan irakien l’a littéralement surpris, lui et ses parrains otaniens d’abord par sa prestesse, ensuite par son ampleur et sa puissance, campagne destiné à faire comprendre aux Otaniens que leur flanc sud soit la Méditerranée orientale  n’est pas si solides qu’(ils le croient et que le fait de vouloir contourner le pétrole irakien et syrien à la fois pour le compte d’Israël des Etats Unis et de l’OTAN et puis contre la Russie et son gaz en Europe se heurtera de plein fouet à la Résistance irakienne et que toute raison garder si Ankara s’obstine à vouloir s’emparer de Sinjar ou de Mossoul, les drones et les missiles de la Résistance pourront dépasser les frontières irako turque et abattre les bases otaniennes en pleine Turquie, y a-t-il quelque chose de nouveau sous le ciel syrien ? La réponse est affirmative et cette chose est liée  à la présence illégale des militaires US en Syrie.

Certes il y a cette série de déflagration intenses à la base d’al Shaddaeh mercredi dernier à peine quelques heures après que les Yankee y ont ramené depuis Ain al Asad dans l’ouest de l’Irak équipements munitions voire des pièces d’avions histoire de laisser penser qu’ils se tiennent prêts à passer à l’épreuve de force et que si la Résistance ainsi que l’a souligner le Leader iranien lors du sommet  Iran Russie Turquie cherchait à mettre à la porte de la Syrie orientale et de ses puits de pétroles les Américains, ces derniers n’hésiteraient pas à frapper aériennement la Résistance

Puis cette autre évolution là aussi en rapport avec les Amerloques qui a en croire l’OSDH, vitrine médiatique de MI6, auraient osé pour la première fois depuis que leurs troupes sont cibles de drones et de roquettes de la Résistance à Green Village ou cette contrée syrienne à Deir ez- Zor rebaptisée, tirer des roquettes contre les villageois. Selon SouthFront, « jeudi 28 juillet, la coalition dirigée par les États-Unis a tiré plusieurs projectiles depuis la base de Green Village, située dans les champs pétrolifères d'al-Omar, dans la banlieue sud-est de Deir ez-Zor en Syrie contre les zones environnante… Aucun détail n’a été fournir sur ce sujet ».

A quoi ont tenté de jouer les pilleurs US basés à al Omar ?  À un espèce d’avertissement visiblement parallèle à  ce qu’ils font à Shadaddeh en y déployant des avions de combats, avions qui au cours de cette toute récente salve de roquette anti US auraient été fortement endommage tout comme des hélico Apache que les Américains conservent sur cette base et qu’ils utilisent dans leur trafic héliporté de terroristes daechistes soit vers l’Irak soi vers al -Tanf ou encore en direction du front ukrainien.

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Disons que les Etats Unis tentent là encore de prouver à la Résistance que sa ligne syrienne est sur le point de changer et qu’après la campagne aérienne intense lancée contre l’aéroport de Damas elle pourrait à tout instant revenir à l’avant 2020 quand Abou Kamal, haut lieu de la Résistance sur les frontières syro irakiennes faisait régulièrement objet de rais aux drones et aux frappes aériennes US/Israël. Et pourtant la mayonnaise ne prend pas ou ce qui revient au même il y a quelque chose de particulièrement factice qui fait de cette manœuvre américano israélienne où porte sa pierre la Turquie d’Erdogan une grotesque fuite en avant.

A l’heure mêmes qu’Américains et Israéliens font semblant de mettre au point une campagne aérienne intense qui inclurait même le palais d’Assad, des information probant font part d’un stratégique « shift power » à la tête de la DCA made in Russia de la Syrie, information qui a provoqué depuis 48 heures la panique au sein de l’état-major israélien : au fait lors d’une réunion entre généraux russes, iraniens et syriens ces derniers auraient pris le contrôle des unités des S-400 et des S-300 ce qui signifient très exactement que la Russie aurait donné son feu vert à ce que sa DCA basée à Hmeimim et Tartous sont directement employés par l’Etat syrien. Les opérateurs syriens n’étant pas encore à la hauteur, ce serait donc aux conseillers militaires iraniens de s’en servir. Or trois jours après l’annonce de cette information, les sources russes rapporte une évolution, alors celle-là parfaitement pertinente, que formulent les sources russes :

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«  Une guerre électronique inconnue d'une portée allant jusqu'à 400 kilomètres bloque les satellites israéliens, otaniens et américains au-dessus de la Méditerranée orientale. Des complexes de brouillage électronique extrêmement puissant opère dans l'est de la Méditerranée très probablement en Syrie et supprime activement les engins spatiaux et les systèmes de positionnement global. La répression est menée dans un secteur continu, avec un rayon d'environ 400 kilomètres et affecte une très grande région, y compris la base de l'armée de l'air et de la marine du Royaume-Uni à Chypre, Souda, ainsi que des bases militaires israéliennes clés. »

Est-ce le prélude à un changement radical du paradigme aérien propre à de-américaniser l’est de l’Europe et à définitivement remettre à sa place l’entité sioniste ?

Les sources russes ajoutent : «  Cette carte, conçue par John Wiseman, montre le brouillage GPS au-dessus de la Méditerranée orientale. Nous parlons certainement d'un ou des complexes de guerre électronique extrêmement puissant, puisque sa portée effective est d'environ 400 kilomètres. Les premiers signes de cette suppression se sont faits sentir il y a six mois mais ces dernières semaines ou plus précisément depuis l’attaque contre l’aéroport de Damas, elle a gagné en intensité ».

Y a-t-il l’apparition de systèmes de guerre électroniques nouveaux genre ce qui pourrait avoir été livrés par l’Iran à la Syrie ? probable.  Depuis que le S 300 ou S 400 sont placés sous contrôle de Damas il se pourrait qu’il y ait même une synchronisation des systèmes Syrie Résistance avec ceux des Russes. Une chose est sûre c’est que la campagne de guerre dans la guerre d’Israël largement soutenu par les Etats Unis qui y voient une caution de survie en Syrie se dirige droit dans le mur avec des résultants parfaitement contre productifs. Il en va ainsi de ces puissantes ondes de suppressions qui paralyse l’Otan jusqu’à Chypre tout en faisant aliter l’Armée de l’air sioniste ou encore de cette autre information que publie l’édition Nouvelle de la Syrie :  « , Israël épuise délibérément les systèmes de défense aérienne syriens, et son accent est mis principalement sur les complexes de Pantsir-S, qui sont aujourd'hui les plus efficaces pour lutter contre les cibles aérodynamiques.

« Depuis le début de l'année, l'ennemi "israélien" travaille à la destruction maximale possible de la défense aérienne syrienne, alors qu'il est à noter que l'ennemi travaille à la défaite des systèmes de défense aérienne dans les environs de Damas et dans l'ouest La Syrie près de Masyaf, et l'accent est mis sur les complexes de Pantsir, qui sont les plus efficaces dans la lutte contre les munitions "israéliennes".

Une victoire pour Israël ? rien n’est moins sûr… « Cette attitude a poussé la Russie placer sous contrôle syrien son S 400 et ses puissants radar Résonance et a fourni à l’Iran l’occasion de faire intégrer ses propres pièces anti missile croisière dans le ciel syrien…. Début d’une DCA intégrée inter Résistance parfaitement compatible avec celle des Russes ? A n’en pas douter… Décidément le flanc sud de l’OTAN se trouve peu à peu placer sous un bouclier anti missile d’origine russe mais remis au goût de la Résistance et qui va de la Méditerranée orientale jusqu’au golfe Persique.  A propos les batterie de Dezfoul iranien d'une portée  de 12 km et  d'une altitude d’engagement moyenne est de 6 000 mètres extensible jusqu’à 10 000 mètres et doté de  huit missiles intercepteurs qui peuvent peut monter sur de simples camionnettes ont très rapidement remplacé les Pantsir-S à cette différence près qu'ils ne figurent sur aucun registre de l'OTAN/US/Israël. 

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SOURCE: FRENCH PRESS TV