Ce jeudi 7 juillet, Personne n’a vraiment cru sa Majesté Elizabeth quand son désormais ex PM, et gourrou Johnson a annoncé par médias interposé avoir mis la main en ce début sur deux « cargaisons d’armes iraniennes dont des missiles sol-air des moteurs pour missiles de croisière et ce, « à bord de bateaux rapides appartenant à ceux que la Souveraine a qualifié « de contrebandiers des eaux internationales ». Au fait, l’annonce a très rapidement suscité des réminiscences d’un certain Steno Impero , ce pétrolier british que le CGRI iranien avait saisi en été 2020 puisque Sa Majesté, avait eu sous l’emprise de médicament avait eu à l’époque une vision, et croyant que « l’empire sur lequel le soleil de couche pas » était de retour, avait osé détourner Grace 1 iranien alors en route pour la Syrie et ce, non loi de Gibraltar. Les commentateurs ont d’autant moins cru que sa Majesté que le tout dernier clash OTAN/CGRI remonte au 27 mai, quand un commando de la force navale du CGRI a mis la main sur deux pétroliers grecs avec à leur bord quelques 1.4 millions de barils de pétrole et cela, en représailles à un culot bien prononcés des amis grecs qui eux aussi, croyant au père Noel avaient jugé le moment propice pour détourner Lena, le pétrolier irano russe avec 115 000 barils de pétrole à bord alors qu’il était prêt à transborder son continu au mépris des sanctions US anti Russie et anti Iran.
Surtout qu’à l’heure qu’il esr Lena et son pétrole sont déjà rentrés au bercail tandis que les pauvres Grecs dont le millénaire s’est transformé en une base grandeur nature non seulement pour l’OTAN mais aussi pour l’entité sioniste courent toujours pour avoir leurs deux pétroliers et surtout leurs précieuses cargaison. Aussi à l’annonce de cette vraie fausse saisie élisabéthaine qui a très curieusement coïncidé avec une affaire d’espionnage et de déstabilisation british où est impliqué le numéro 2 de l’ambassade de sa Majesté à Téhéran, tous les yeux sont aussitôt tournées vers Israël et le service que Londres empêtré jusqu’au coup dans la guerre en Ukraine aurait voulu lui rendre.
D’ailleurs les faits n’ont pas démenti le constat/ Presque simultanément à l’annonce royale de la saisie de deux bateaux de « contrebande iranienne » bourrés de « moteurs de missiles » en partance pour un Yémen à deux tiers détruits sous les bombes des Typhoons et des Eurofighter british, un autre gourou, cette fois sioniste a ouvert la bouche depuis un forum tenu en Grèce pour déballer là encore des non-dits sur le « compte de l’Iran » : Benny Gantz, ministre de la Guerre du régime sioniste a ainsi révélé à son public grec que l’Iran disposait de quatre navires de guerre en permanence en mer Rouge sans aller toutefois jusqu’à énumérer le nombre de fois que lui, son régime et ses agents avaient tenté de couper le corridor naval iranien reliant le golfe Persique à la Méditerranée et d’empêcher le pétrole iranien d’atteindre via le canal de la Syrie.
Alors sa Majesté en pleine manœuvre de solidarité avec le régime sioniste ? Visiblement dans la mesure où personne autant que les Britishes, largement impliqués depuis huit ans aux côtés du royaume des Salman dans une guerre perdue, ne sait combien coûte la colère d’Ansarallah, le dernier clash GB/Résistance yéménite s’étant soldé par la saisie pure et net d’un méga navire-espion du nom de Rawabi au large du port de Ain Issa avec quelques 40 officiers du MI6 à bord qu’Ansarallah a pris en flagrant délit alors qu’ils espionnaient des câbles marines dans les profondeurs de Bab el-Mandeb.
Mais contre quelle crainte s’affiche cette solidarité de façade? En effet une fois n’est pas coutume, le gourou Gantz pourrait ne pas avoir totalement tort : au seuil de la visite de Biden dans la région, visite qui devrait servir d’occasion pour annoncer la noce Israël/ Golfiens avec en toile de fond l’émergence d’une « OTAN moyen Orientale » axée autour d’une « DCA intégrée « entendu entre Abou Dhabi, Manama, Djeddah et Eilat et bien , la présence en mer Rouge, et à peine à quelques centaines de km du port sioniste, d’un navire de guerre d’envergure de Sahand d’un tonnage de 2 500 tonnes, long de 95 mètres et doté d'un équipage de 140 officiers et marins, doté de radars à longue portée, de systèmes de guerre électronique, d'armes navales, de canons et de mitrailleuses, en plus des missiles sol-air, des torpilles anti-sous-marines et un hélicoptère et ce escorté par un autre navire de débarquement que deux bâtiments logistique Bandar Abass est ce qu’il y a de plus naturel.
Disons qu’il est loin le temps où l’axe US/OTAN/Israël expédier méga navires et porte-avions dans le golfe Persique à l’effet d’intimider avec F 22, F 18 embarqué ou B 52 en provenance Diego Garcia les Iraniens. La tendance s’est inversée d’autant plus que la mer Rouge compte un acteur de poids et puissance balistique de premier ordre, Ansarallah et que l’Iran a la chance d’en est un allié. Situé au sud de la péninsule arabique, le Yémen partage à son nord près de 1 500 km de frontières terrestres avec l’Arabie saoudite et à l’ouest 290 km avec le sultanat d’Oman.
Vidéo: exercice naval iranien en mer Caspienne
Très curieusement cette présence bien remarquée de la flotte iranienne en Mer Rouge a coïncidé avec une manœuvre navale de la marine en Caspienne où les bâtiments de guerre escortés par les drones Yassir et Ababil ont procédé à des opérations de reconnaissance, et de combats impliquant des commandos marins des unités héliportées, des unités anti navire des unités d leurre et de guerre électronique, des unités de débarquement et tout ceci au niveau de surface et de sub-surface. Plus d’un observateur y a vu le prémices d’un exercice-avertissement à vocation anti Israël. A près une OTAN moyen orientale faite à l’image de la Ve flotte US demande un contrepoids qui soit à la hauteur. Mais en mer Caspienne l’Iran ne semble pas avoir tout déballé : certaines informations font état du dévoilement tout prochain et à l’effet parfaitement anti DCA intégrée Israël/Golfiens d’un missile balistique anti radar et antinavire d’une portée de 1400 ) 1600 du nom « Iran ». 0 combustible solide l’engin aurait une vitesse de plus de Mach5 ce qui en fait un engin hypersonique. Toujours en fibre de carbone et équipé d’un moteur composite il pèse la moitié des missiles antinavire de sa classe et il a la tête manœuvrable en phase de plongeon… Et Sa Majesté, croyez- nous aura du mal à mettre grappin dessus…