Depuis l'Irak, où l'US Army ont subi deux années d'enfer total, marquées par des centaines d'attaques aux roquettes, aux drones, à la bombe contre leurs troupes, leurs positionnement et leurs bases, attaques qui n'on cessé d'aller crescendo pour prouver que le ciel de la Mésopotamie tout comme son sol ne tolèrent plus d'être piétiné par les geôliers d'Abou Ghraïb, d’étranges informations viennent de tomber sur les télex.
Il y a d'abord cette baisse significative de la vente du pétrole irakien aux Yankée qui, on le sait, le traitent comme si c'était leur apanage et ont même un droit de regard non pas seulement sur les contrats à signer avec les tierces parties mais encore sur les recettes pétrolières, les comptes bancaires de l'Etat irakiens étant placés tous aux Etats-Unis. L'Agence d'information sur l'énergie a annoncé, samedi, une réduction de plus de 88 % des exportations de pétrole de l'Irak vers les Etats-Unis, pour atteindre une moyenne de 29.000 barils par jour au cours de la semaine écoulée.
Ainsi les importations américaines de pétrole brut irakien au cours de la semaine dernière en provenance de neuf pays se sont élevées à 5,869 millions de barils par jour, soit une augmentation de 57 000 barils par jour par rapport à la semaine précédente, qui s'élevaient à 5,812 millions de barils par jour sans que l'Irak y soit placé à sa place d'exportateur privilégié des Américains.
L'Amérique n'a importé du pétrole brut d'Irak qu'à un rythme de 29 000 barils par jour, en baisse par rapport à la semaine précédente, au cours de laquelle les exportations irakiennes s'élevaient en moyenne à 248 000 barils par jour, ce qui pour les experts constituent en soi un signe avant coureur, les Américains préférant s’alimenter auprès des sources plus sures soit le Canada, le Mexique, l'Arabie saoudite, l'Equateur et la Colombie. Pour ceux des analystes qui en tournant les yeux vers la Syrie voisine peuvent y compter au moins 5 attaques aux missiles ou aux drones contre les " cibles illégales pétrolières US" rien que depuis le mois d'octobre, cette baisse d'importation du pétrole irakien pourrait signifier une certaine fatigue qui commence à gagner les rangs de l'armée américaine au bout de deux ans de guérilla sans répit de la Résistance visant bases aériennes, convois militaires ou logistiques, ambassade-base US, QG de la CIA et du Mossad ... en Irak et tout ceci, sur fond de plans B anti-Hachd al-Chaabi à n'en pas finir tiraillés entre les tentatives ratées de déstabilisation dans la rue, de trucage des élections, de ranimation de Daech, d'attaques terroristes.
Après tout, c'est en référence aux drones irakiens qui en avril en mai en juin et juillet ont visé avec précision et furtivité quasi parfaite les parties les mieux protégées des bases US que le commandant en chef du CentCom a annoncé l'une des plus célèbres phrases qu'un gradée yankee pourrait dire : " l'US Air Force a perdu sa supériorité face aux drones irakiens et yéménites".
Cette fatigue a d'autant plus lieu d'être que l'arsenal de la Résistance irakienne commence depuis peu à se montrer bien plus diversifié que les Américains le croyaient avec ces missiles dit 358 dont quelques uns ont été abandonnés non loin de Harir voici quelques semaines et dont la spécialité, étant des drones flâneurs consiste non seulement, à chasser les drones mais en core des hélico, ce qui pourrait s’avérer éminemment,t dangereux pour une US Army qui de peur d'être visé au sol par la Résistance fait désormais à plus 90 % de son transit syro-irakien et irako-syrien à bord de ses hélico. Mais la baisse des exportations du pétrole irakien n'est que l'une des facettes d'une Amérique aux abois : CE samedi, les Irakiens et on ose bien croire rien qu'au regard des clichés publiés la puissante main des Hachd, ont annoncé avoir fabriqué leur premier drone!
Pour une Amérique qui à l'aide d'al Kazémi a monté toute une False flag il y a quelques semaines en mettant en scène une supposée attaque aux drone contre la maison du PM sortant, c'est plus qu'une défaite : car ce scénario aurait dû conduire à l'illégitimisation des drones irakiens dont l'axe US/Israël a diablement peur mais, c'est l'inverse qui se produit, les Hachd ayant lancé littéralement une ligne de production de drone en Irak et ce, à l'effet d'abord de surveiller les tours électriques, les pipelines et gazoducs et dans un second, pour les utiliser dans la lutte contre les terroristes. Mais les Américains n'en sont pas à récolter leur première tempête après tant de vents semés. Mathieu Tuller, leur ambassadeur et chef mafieux chargés de ranimer Daech en Irak n'a pas vraiment un bilan défendable vu qu'à part quelques attaques terroristes et des opérations sans cesse ratées, Daech bis n'a pas réussi ce que les Américains lui demandaient.
D'ou l'arrivée d'un nouveau ambassadeur US en lieu et place de Tuller, une certaine Elina Romanovski, qui a longtemps servi le projet Daech en dirigeant le département de contre terrorisme au ministère des AE. Mais la bonne femme qui vient d'atterrir droit de Koweït devrait bien se méfier. Pourquoi? En 2021, près de 10 GI's ont perdu la vie au Koweït, non loin des points de passage frontaliers avec l'Irak. Rien ne dit que 2022 ne serait pas marqué par la chasse des militaires US dans l'environnement immédiat de la Résistance. Certes les Yankée se sont retirés du Qatar mais pour aller dans le nord de la Jordanie. Quant à la Syrie, ils continuent bêtement à y camper sur leurs positions sans dire que les missiles qui ont frappé leur base de contrebande de pétrole à Hassaké, Kharab al-Jir ou encore leurs convois à Hassaké leur sont tombés dessus, tirés depuis l'Est.
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Des drones fabriqués en masse en Irak, Romanovski devra s'en souvenir chaque fois qu'elle travaille à une extension de Daech en Irak ou en Syrie. Car c'est là le "vrai danger" si on considère la vraie mission de Romanovski celle de mettre à feu et à sang l'Irak pour empêcher que le front de l'ouest "israélien", Irak, celui qui a donné bien des grains à moudre à l'entité lors de l'opération Epée de Qods, ne s'ouvre. En 2021, le Mossad et la CIA ont bien saigné en Irak. En 2022, ils saigneront hors des frontières irakiennes.
Le fabricant irakien le laisse entendre : Le directeur général de la société fabriquant les drones irakiens, Khalil Abdel Zaid Jalil, a déclaré dans un communiqué au quotidien irakien Al-Sabah : « Le personnel de la société s'efforcera de modifier les spécifications de l'avion et de le limiter à l'observation en ajoutant des missions de combat. La fabrication de ce drone est une étape importante qui aura de nombreux effets positifs. Elle permet d’économiser d'importants fonds qui sont dépensés pour l'achat d'avions de surveillance, ainsi que le développement des capacités du pays dans les industries militaires », s’est-il félicité. La fabrication locale de ce premier drone représente une prouesse réalisée par le personnel technique et d'ingénierie de l'entreprise avec l'aide de certains spécialistes."
M. Jalil a ajouté que "la société lancerait prochainement des lignes de production modernes pour commencer à fabriquer des drones et les remettra aux autorités de sécurité pour renforcer la sécurité dans le pays".
