Comparé aux HIMARS avec quoi les Américains nous ont bassiné les oreilles en Ukraine, HIMARS aux quels ils attribuaient les capacités de bousiller Saint Petersbourg ou Moscou, ces roquette de garage palestinien comme disait le ministre ukrainien de la Défense pour justifiaient son refus net d'acheter le Dôme de fer israélienne, ont une nette longueur d'avance. Pourquoi? Et bien parce que des HIMARS, représentant notoire de l'industrie militaire US, les Russes n'ont pas mis que quelques jours à comprendre comment s'y prendre et comment les bousiller. Samedi, les sources russes qui y revenaient s'étonnaient même de l'obstination de Kiev à s'en servir et écrivaient :
Malgré de très lourds dommages subis par les lance-roquettes multiples Himars MLRS américains mis en service auprès des Forces armées ukrainiennes depuis le 23 juin 2022 l'armée ukrainienne continue d’utiliser ces armes. Et pourtant, il s'agit de batteries de missiles aisément repérable par les unités balistiques russes ce qui a poussé l'armée ukrainienne à s'en servir exclusivement la nuit. D'ailleurs le bilan des pertes des HIMARS ne cesse de s'alourdir ce qui a poussé les États-Unis, principal soutien de l’Ukraine, à en cumuler les envoies à l'Ukraine, un tout dernier lot ayant une valeur de 550 millions de dollars, ce qui porte l'assistance militaire US à Kiev à plus de huit milliards au total. Et là encore c'est une aide qui comprendra des munitions pour les lance-roquettes HIMARS et 75 000 obus de 155 mm faisant passer entre 50 et 60 unités le nombre M270 MLRS dont la détéction est si facile que l'armée russe envoie ses forces spéciales en chasser.
Selon des informations toujours relayées par les Russes, les paramilitaires des PMC Wagner auraient même réussi à pénétrer dans la zone où sont déployés les HIMARS américains. Selon les informations fournies par la chaîne Grey Zone Telegram, étroitement associée aux PMC russes, les unités sont déjà entrées sur le territoire de la ville de Bakhmut. Une carte indiquant les sites de déploiement des systèmes américains HIMARS est accessible sur la chaîne Rybar Telegram. et ce sera bientôt des batteries de fameuses roquettes ultra médiatisés qui tomberont entre les mains des soldats russes. Tout ceci pour dire que stratégiquement parlant, HIMARS est un coup de bluff grandeur nature qui en dépit des semaines qui découlent depuis son entrée en fonction n'a strictement rien changé sur le champ de bataille.
Vidéo: les colons fuient l'enveloppe de Gaza
Le JIP, lui n'a mis que 48 heures pour acculer l'entité dans ses derniers retranchements et à arracher de ses mains d'occupant une bonne moitié de l'enveloppe de Gaza, soit ces colonies que sont Ashdod, Sderot, Ashkelon et qui à tout hasard se trouvent bourrés de sionistes russophones à qui la Russie de Poutine en veut à mort pour cause de trahison en faveur du régime de Kiev dirigé par un Sioniste pur et dur. Tout ceci pour dire qu'il y a un étrange lien qui se crée désormais entre ce qui se passe en Ukraine et contre les Russes d'une part et ce qui se déroule sur le front de la Résistance anti-Israël que ce soit à Gaza, où le Badr 3 s'avère plus fort que HIMARS ou au Liban où les drones hezbollahis ont déjà vaincu Dôme de fer ou encore en Iran dont les drones viennent de faire leur apparition sur le champ de bataille anti OTAN.
L'article écrit : "La Russie va lancer en orbite un satellite iranien de télédétection la semaine prochaine, ont confirmé Moscou et Téhéran, un peu plus de deux semaines après la visite du président russe Vladimir Poutine en Iran. « En coopération avec la Russie, le satellite Khayyam sera lancé par une fusée Soyouz la semaine prochaine depuis le cosmodrome (russe) de Baïkonour, au Kazakhstan », a annoncé l'agence spatiale iranienne mercredi soir.(...) Le Khayyam a été conçu et fabriqué dans des entreprises faisant partie de Roscosmos. Equipé d’une caméra haute résolution, il a notamment pour but de « surveiller les frontières du pays et les installations sensibles dans le golfe Persique », d'améliorer la productivité agricole, de contrôler les ressources hydriques et les catastrophes naturelles. Pourtant, l'Iran pourrait ne pas être en mesure de prendre le contrôle du satellite tout de suite. La Russie, qui est engagé dans une opération militaire d’envergure en Ukraine depuis cinq mois, a prévenu Téhéran qu'elle utiliserait d’abord le satellite pendant plusieurs mois, voire plus, pour renforcer sa surveillance des cibles militaires dans le cadre du conflit en cours. L'ambassade de Russie à Washington a refusé de faire tout commentaire à ce sujet. (...)
Et de poursuivre : "L'avantage pour l'Iran est qu’il sera en mesure d’assurer une surveillance continue sur les sites de son choix, y compris les installations militaires en Israël, les raffineries de pétrole et d'autres infrastructures vitales dans les États voisins du Golfe persique. (...)La perspective d'un satellite iranien amélioré a exacerbé les inquiétudes des adversaires de l'Iran car il pourrait bien partager les images obtenues avec ses alliés d’Ansarallah (Houthis) au Yémen, qui combattent les forces de la coalition militaire dirigée par l'Arabie saoudite, ainsi qu’avec le Hezbollah dans le sud du Liban et les milices chiites en Irak et en Syrie. Entre les mains des groupes de la Résistance, les drones iraniens et les renseignements fournis par les satellites de surveillance apparaissent comme de nouveaux jokers au Moyen-Orient. Il s'agit évidemment d'un danger permanent pour les États-Unis et nos alliés au Moyen-Orient et à l'étranger. Alors que l'Iran perfectionne son arsenal de missiles - des missiles à courte, moyenne et longue portée, parallèlement à son industrie de drones en cours de développement dans tout le Moyen-Orient - être capable de synchroniser ces capacités avec la surveillance satellitaire ne fera qu'augmenter la létalité de la menace iranienne »...Que se passe-t-il au juste? Après avoir directement participé à la création de l'entité sioniste, la Russie contribue à son démontage...