Plus de 20 jours après l’entrée en vigueur d’une trêve que Le Jihad islamique de la Palestine est parvenu à imposer à l’entité sioniste au bout seulement de 3 jours où la moitié d’Israël est passé sous missiles et roquettes en dépit d’un Dôme de fer boosté à maxima par Congrès US interposé, et alors que pas moins d’une vingtaine d’opérations commandos frappant les forces terroristes sionistes ont émaillé à Jénine, à Tulkarem, à Naplouse, à Qods occupé entre autre ces 20 jours de « répit », une nouvelle évolution-choc a prouvé à quel point le processus de dépérissement de l’armée israélienne est irréversible et comment elle est désormais condamnée à une posture exclusivement réactive : dans la nuit de 28 à 29 août, les commandos de la Résistance ont lancé deux nouvelles attaques commando et pour la première fois sur le front différent à Ramallah et à Naplouse et ce de façon quasi simultanée :
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une première attaque a eu lieu contre un poste militaire sioniste non loin de la ville de Silwad à l’est de Ramallah tandis que la seconde a éclaté près de la colonie d’Itzhar dans le sud de Naplouse contre une garnison. Evidemment pour une armée israélienne qui peine à se remettre de son offensive ratée du début d’août contre Gaza, cela signifie ni plus ni moins un nouveau niveau de fragmentation de fronts qui agissent parfaitement interconnectés, et partant une dispersion d’énergie et un épuisement accéléré de force imposé à Israël propre à lui faire perdre l’initiative.
C’est très exactement dans la même perspective de cette réactivation que l’armée israélienne, qui le 2 août se payait encore le luxe de prendre d’assaut quand cela le chantait la maison de tel ou tel commandants palestiniens, a été amené à mobiliser tout un bataillon de blindés et des dizaines de soldats pour prendre d’assaut Ghabatiyeh, située dans le sud de Jénine tirant à coup de lance- roquette dans tous les directions. N’est-ce pas le succès d’une stratégie qui vise visiblement à acculer l’armée sioniste au mur, à lui dicter la marche à suivre, à la confondre bref à la priver de toute initiative? Pour le reste ce qui s’est produit dans la foulée, confirme parfaitement cette hypothèse.
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Dans la nuit les militaires israéliens ont encerclé la maison de celui qu’ils prétendaient être à l’origine du double coup, finissant par lui mettre la main dessus, ce qui est loin d’être un succès dans la mesure où les opérations anti sionistes en Cisjordanie s’enchaînent parfaitement indifférente aux agissements de l’armée sioniste.
Et la liste est encore à rallonger. En effet ce n’est pas uniquement à Sderot et à Ashkelon à Ashdod et à Eshkol que l’armée israélienne a reculé. Début août et selon des fuites en provenance des sources israéliennes, la marche arrière d’Israël a aussi concerné ses côtes. En effet, plus d’un analyste s’est demandé la raison pour laquelle le régime s’est refusé à activer ses navires de guerre contre Gaza. Des sources du Jihad islamique palestinien ont déclaré à al-Mayadeen que les autorités du régime israélien craignaient que Saraya al-Quds, la branche militaire du mouvement du Jihad islamique palestinien, ne soit équipée de missile sol-mer.
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D’où est venu cette crainte ? C’est Al Arabiya, source proche des médias israéliens qui répondent : en effet le J+3 si Israël s’est précipité pour supplier l’Egypte de lui tailler une tr^ve c’est que les premiers drones du JIP, Jénine, avaient trouvé le chemin de Tamar ce gisement pétrolier au lazrge d’Ashdod. En effet, un Israëzl c’est un Israel qui a peur de perdre non seulement son enveloppe de Gaza, ou encore son front intérieur, mais aussi sa bande côtiere riche en gaz au sud comme dans le nord . car c’est un fait, « Karish » et au-dela de Karish » du Hezbollah inclut aussi les gisements offshores palestiniens que l’entité sioniste occupe et dont la Résistance palestinienne planifie d’ors et déjà de concer avce le Hezbollah la libération.
