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Sirène d'alerte "hackée" simultanément à Eilat, à Qods, à Ashkelon, à Ashdod, à Tel-Aviv.... un prélude au piratage de la DCA intégrée d'Israël !

Dôme de fer en pleine confusion, avril 2022. (Twitter)

Dans la nuit de 19 à 20 juin, soit une dizaine de jours  après avoir commis pour le compte des plans anti-russe US tirés sur les comètes l’outrecuidance de raser à coup de missile aérobalistique  Rampage, les deux principales pistes d’atterrissage ainsi que le hall de débarquement de l’aéroport de Damas et ceci, dans le stricte objectif o combien désormais illusoire  d’empêcher la Syrie ou le Hezbollah de consolider les capacités balistiques et ce à l’aide d’espèce de petits ingénieux combine du nom de « Labayk 1 » un kit  composé d’un cercle et de quelques ailerons aérodynamiques à relier entre le moteur et l’ogive de n’importe quelle « roquette bête » au monde, soit il un « Grade » des années 70  pour la transformer en rien de temps en un redoutable missile de précision, propre à percer les meilleurs Dôme de fer Patriot qui soient, les sirènes d’ « alertes aux frappes balistiques majeures » ont retenti pendant 50 minutes dans cinq des plus grandes villes de la Palestine occupée à savoir Qods occupé, Eilat, Holon, Ashkelon Ashdod poussant rien que qu’à Qods quelques 30 000 sionistes dans des abris sous terrains.

Sirène d'alarme retentie dans cinq villes israéliennes simultanément, ce 19 juin/Twitter

Pour le Sioniste lambda  qui lit ce matin dans les colonnes de Jerusalem Post, mort dans l’âme, les révélations des officiels sionistes lesquels affirment que le coup viendrait « très probablement de l’Iran » et que ce serait encore ces « hacker de Bâton de Moise » derrière, eux qui ce vendredi ont pris l’armée de l’air israélienne de court en en chassant ‘un des ballons espion à une hauteur de 1500 pieds au-dessus du passage d’Erez avec une grosse caméras dedans, plus des fibres optiques, alors que l’appareil opérant en réseau intégré avec d’autres dirigeables, se trouvait au moment de la chasse en mission de surveillance pour surveiller de possibles infiltrations sous terrains de Gaza vers Israël, ces révélations n’a rien de rassurant.

Pourquoi ? Déjà le nombre de villes visées, cinq en une seule fois, ce qui prouve à quel point les « infiltrés » jouissent de larges moyens, d’accointances locales pour déverrouiller à une si grande échelle des dispositifs sécuritaires qui font partie, dit-on des plus fiables, des plus impénétrables du monde. Puis vient le choix des villes tout autant alarmant au nombre des quels figurent deux ports gaziers Ashkelon et Ashdod, dont un, Ashkelon est un port profond et de ce fait le cœur battant d’une défense navale israélienne. Et que dire d’Eilat, ce port stratégique avec son aéroport mi civil mi militaire, ses bases et qui se trouve au cœur d’un projet de pipeline golfe Persique-mer Rouge des « normalisateurs émiratis », projet relégué depuis "Épée de Qods" au second plan même si l’entité a le culot encore de prétendre vouloir déployer ses radars « Green pin » bidon à Abou Dhabi histoire de créer une soi-disant DCA intégrée propres à protéger les Zayed des missiles et drones iraniens.

Mais les sirènes d’alerte aux missiles tactiques ont aussi retenti cette nuit et pendant une heure à Holon, cette ville située au cœur hi-tech d’Israël, quelque part entre Gush Dan, Jaffa, Tel Aviv et Rish LeZion, soit à peine à 25 minutes de l’aéroport de Ben Gourion que l’entité sait être dans le viseur et ce, depuis ce 11 juin où ses missiles hypersoniques ont frappé, l’aéroport de Damas à l’effet d’inverser une équation aérienne à somme nulle qui faisait, juste avant que le Rampagne n’entre en scène, de la campagne de guerre dans la guerre sioniste une démonstration de faiblesse absolue, avec des taux de succès de moins de 10 pc en raison d’une DCA syrienne royalement renforcée. Mais cette équation aérienne a-t-elle réellement changé ?

La méga cyberattaque de cette nuit prouve le contraire. Car ceux qui ont réussi à faire sauter le système d’alerte « aérien » de cinq plus grands ports et ville d’Israël pendant cinquante minutes, en feraient autant le jour J pour mettre à pas la DCA intégrée d’Israël. Et ce jour-là, aucun « Dôme de fer » ni « Iron Beam » et encore moins « Patriot » et « THAAD » déployés au sud d’Israël, ne sauraient d’être d’un grand recours pour que les colons aient au moins le temps de descendre dans leur trou. Mais est-ce tout ?

Non car un Israël entièrement dépouillé et en à peine quelque minutes de sa « DCA » intégrée que démontreront en quelques minutes des hackers de Bâton de Moise, cela n’en fait pas seulement une proie ultra facile pour les Fateh-110 du Hezbollah, de la Syrie ou de Gaza, ou une cible idéale pour ces drones iraniens positionnés à T4 dont quelques-uns dotés de missiles de croisière air-sol se sont abattus ce 15 juin sur les terroristes de Maghawir al Thura à al-Tanf,  base où les Américains continuent à tirer des plans sur des comètes.

Un Israël sans DCA sera tout autant un Israël à cibler par ce que la Résistance a toutes les raisons du monde, tenue qu’elle est par la logique « œil pour œil dent pour dent » de qualifier de « contre campagne de guerre dans la guerre ». Et oui, les Sukhoï syriens et les Kowsar iraniens font un très bon couple surtout depuis que l’Iran s’est mis visiblement à dessein à exposer à tors et à travers ses bombes intelligentes à guidage satellitaire. Après avoir été  montés sur le drone Shahed-129, drone le plus emblématique de la Résistance dans sa lutte contre l’axe US/Israël en Syrie, les bombes à guidage laser iraniennes, de type Yassin et Balaban n’en demanderaient qu’à mettre à l’épreuve des faits leurs « capacités anti sionistes ».

La série Yassin fait partie de grosses bombes guidées et elle est équipée de gros ailerons aussi, ce qui permet à l’engin de voler sans force de propulsion et de façon planée. La portée de Yassin varie entre 60 à 100 km, selon qu’elle soit dotée ou pas, de propulseur. C’est largement suffisant pour frapper l’aéroport de Ben Gourion, quand on est un Su-24 syrien ou un Kowsar iranien et qu’on sait qu’il n’y aucun missile intercepteur ennemi digne de ce nom à affronter.

 Photos: la bombe planeuse iranienne Yassin

En ce qui concerne les bombes de la série Balaban, elles sont encore plus légères, mais avec presque la même structure combinée de guidage inertiel et satellite, histoire de faire rappeler à Israël que le guidage satellitaire n’est pas son apanage à lui et que la Résistance, le cas échéant, sait parfaitement inverser les schémas et contrer là où Israël tente de chasser sur son terrain et l’aspect « balistique » de Rampage après l’échec des missiles de croisière air-sol Delilah parait une tentative en ce sens, le stopper net. Aussi au missile aérobalistique Rampage largué depuis F-16, répondront Yassin et Balaban. Et cette nuit, les colons n’en ont vécu qu’un très petit avant-goût  …

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SOURCE: FRENCH PRESS TV