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Des milliers de données sionistes rendues publiques

US Rep. Ilhan Omar (D-MN) (L) talks with Speaker of the House Nancy Pelosi (D-CA) during a rally with fellow Democrats before voting on H.R. 1, or the People Act, on the East Steps of the US Capitol on March 08, 2019 in Washington, DC. (AFP photo)
Cette photo à titre d'illustration est la capture d'écran d'une vidéo publiée sur des sites Internet israéliens dans le cadre d'une cyberattaque, le 21 mai 2020. (médias israéliens)

Trois suspects ont été arrêtés pour avoir divulgué sur les réseaux sociaux des informations militaires classifiées, ont annoncé l’armée israélienne et le service de sécurité intérieure israélien Shin Bet.

Selon une déclaration commune, deux civils et un soldat sont détenus pour des publications sur les réseaux sociaux qui contenaient des informations apparemment classifiées, écrit le site Web du journal Times of Israel qui rapporte la nouvelle.

« Les suspects sont accusés d'avoir coopéré pour divulguer les informations afin d’acquérir de la crédibilité sur Internet ; il ne s’est donc pas avéré que ces individus aient été sous pression de la part d’un espion ou d’un autre acteur malveillant ».

Dans le même temps, la chaîne Telegram Sabereen News proche de la Résistance irakienne a fait part d’une nouvelle cyberattaque contre le régime sioniste.

Un groupe s’intitulant Sharp boys a mené une cyberattaque en utilisant un logiciel malveillant contre les bases de données et les cartes de crédit appartenant à plusieurs sites Internet actifs de l’industrie du tourisme en Palestine occupée, écrit la source.

Plus tôt, dans un flash info, Sabereen News a fait part d’une cyberattaque menée par un groupe irakien contre la bourse israélienne dont le site Web est devenu hors service suite à l’attaque.

Selon l’agence de presse Fars News qui rapporte la nouvelle, ce n’est pas la première fois que les infrastructures israéliennes font l’objet d’attaques cybernétiques depuis l’Irak. La plus récente en date a été menée vers la fin-avril par un groupe nommé Al-Tahirah. Cette attaque qui avait été menée, selon la devise choisie par ses auteurs, pour venger l’assassinat du numéro 2 des Unités de mobilisation populaires d’Irak, Abou Mahdi al-Mohandes, a mis hors service la plus grande compagnie de transport en Palestine occupée.

Un peu plus tôt toujours au mois d'avril, des hackers irakiens avaient mis hors service pendant deux jours d’affilés le site et les serveurs Web de l’aéroport Ben Gourion ainsi que le site web d’Israel Bank. Le même groupe, Al-Tahirah, a par la suite revendiqué ces attaques, reconnaissant également avoir été à l’origine d’une attaque cybernétique contre le site web d’une chaîne de la télévision israélienne. La chaîne Telegram Sabereen News a elle aussi annoncé que cette attaque avait été menée le jour anniversaire de la mort en martyre du général Soleimani et son compagnon et numéro 2 des Hachd al-Chaabi, Abou-Mahdi al-Mohandes, à la même heure de la journée où le lâche assassinat avait été commis par les forces américaines.

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SOURCE: FRENCH PRESS TV