5G en Syrie pour appuyé l'Armée de l'air intégrée de la Résistance contre les bases US : les frappes massives anti américaines en vue!

À moins d’une « occupation » pure et simple de Taïwan d’ici les heures  à venir laquelle « occupation » pourrait découler en toute logique de ce méga exercice militaire débuté il y a quelques heures dans six zones opérationnelles autour de l’île rebelle, exercice qui se déroule à tir réel et implique la totalité des forces armées chinoises, on ne voit guère comment le Casus belli culotté que l’Amérique vient de lancer à Pékin en envoyant à Taipei le numéro 2 états-unien se moquer des avertissements de Xi et ce, en jouant à fond la seule carte gagnante dont dispose le Pentagone, à savoir « sa suprématie navale » qu’il a illustrée en ce moment même par le déploiement de quatre porte-avions US autour de la Chine, des dizaines de milliers de marines en Corée du sud, au Japon, aux Philippines, à Guam et en Australie « AUKUSisée », quitte à bloquer le détroit de Malacca et quatre autres détroits qui relient l’océan Indien à la Pacifique et à assiéger de la sorte la Chine continentale pour en étouffer l’économie, pourrait trouver la bonne réponse.

Vidéo: le méga exercice militaire chinois de 4 à 7 août au détroit de Taïwan

La Chine ira-t-elle jusqu’à s’emparer de l’île, prenant le risque d’allumer la mèche à domicile un peu à à l’Ukrainienne ou se cherchera-t-elle des « chemins de détour »?Qu’en serait-il par exemple si le président Xi réputé par sa subtile vision stratégique, se mettait à lorgner du côté du Moyen-Orient où les Yankee ont plus d’une défaut de la cuirasse à craindre face à un axe de la Résistance qui a déjà ratatiné leur suprématie aéronavale à la faveur d’un A2/AD étendu du golfe Persique à la Méditerranée orientale en passant par la mer Rouge ?

Le mercredi 3 août, à peine quelques heures avant le début des exercices d’envergure chinois au détroit de Taïwan, l’ambassadeur de Pékin à Damas a créé la surprise en annonçant une « aide télécommunicative » très singulière destinée « à améliorer l’infrastructure du réseau local en particulier dans des zones durement touchées par la crise syrienne depuis 2011 ». À quoi joue très exactement la Chine ? À supposer que cet accord implique Huawei et ses redoutables antennes « 5G » connues pour être des « armes déguisées », il pourrait s’agir comme le craint la presse sioniste, de défier la présence militaire US au Levant. Et comment ?

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Depuis 2016 les Amerloques occupent une bonne partie pétrolifère de la Syrie orientale, au nord comme au sud avec en toile de fond,à travers pas moins de 50 points de campement dont les plus significatives se trouvent à a-Tanf (Homs), à Shaddadi et al-Waleed, Hassaé et Raqqa où ils viennent de se ré-emparer de  l’aéroport de Tabka. Que font-ils très exactement ?

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Outre servir d’épouvantail pro Israël pour que la Syrie ne reprenne pas son Golan occupé ni ne retrouve la souveraineté de son ciel, les Amerloques y volent pour le compte d’Israël, le pétrole syrien et ce à l’aide d’un réseau dont les tentacules s’étendent jusqu’à Denver, aux États-Unis et qui implique à Deir ez-Zor, et à Sijan, à Eltank, à Koniko, entre autres les mercenaires kurdes plus un homme d’affaire israélien du nom de Mordechai Kahana, homme qui empaquette chaque année quelques 130 millions de barils de pétrole syrien tirés des 90% des puis encore actifs avant de les envoyer par Turquie interposée à Ashkelon. Mordechai Kahana a participé à l’émigration de juifs syriens durant l’agression occidentale de 2011 et restauré des synagogues dans le pays. Selon la presse libanaise, il était un des responsables du programme israélien de création d’une zone tampon à la frontière israélo-syrienne. Il s’agissait d’instituer un « Druzistan » sur le modèle du « Kurdistan » au Nord du pays, projet qui n’a jamais vraiment fonctionné faute de Collaborateurs.

Or depuis peu les Américains tentent de donner un coup d’accélérateur au processus d'exploitation d'autres gisements pétroliers à la Syrie orientale avec l'aide de sociétés multinationales. Selon des sources sur le terrain, ces dernières semaines, les opérations d'exploitation des sources d'énergie à l'est de l'Euphrate se poursuivent sans interruption, et des quantités importantes de pétrole sont transportées quotidiennement vers Erbil où Erdogan fait tout pour que le tronçon irakien de ce réseau ne s’écroule pas sous les coups de la Résistance.

La question qui se pose dès lors est la suivante : peut-on se débarrasser d’un si vaste réseau à coup de tirs de missiles et de drones sporadiques comme ceux menés par la Résistance ou faut-il un traitement de choc genre « frappes massives directes » propres à tout anéantir pour ensuite tout refaire, une fois l’Occupant aura été mis à la porte ?

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La réponse est claire sauf qu’une telle perspective comporte le risque d’une escalade aérienne majeur pour laquelle il convient de se préparer d’avance. Et c’est là que la 5G chinois est à d’intervenir et donner au duo Résistance-Russie le « game changing » et au président Xi, ce levier de pression indirect dont il a grandement besoin en ce moment. Car n’en déplaise aux Américains et à leurs poulains sionistes, la 5G chinoise rend parfaitement possible un battle network (réseau de bataille) anti US/anti Israël à l’échelle de tout le Levant, grâce à sa capacité de relier dans une aire circonscrite des millions d’appareils émetteurs-récepteurs. Puis la 5G chinoise est un plus pour les services secrets et les forces spéciales dont les effectifs « infiltrés » au cœur des bases US sont bien plus que ces « 50 personnes » que les Yankee se targuent d’avoir récemment arrêtées à al-Omar.

Et puis la 5G accroît la létalité des drones tueurs et sur ce point particulier qu’on se rappelle la T4, cette base syrienne bourrée de « drones iraniens » à Deir ez-Zor qui meurent d’envie d’en découdre et où un relais télécommunicatif version chinoise pourra faciliter le décollage des essaims de 20, 50 ou 150 drones.

Mais ce n’est pas tout : car la 5G en Syrie, cela veut dire aussi des antennes à Lattaquié où la Russie dispose de deux de ses bases les plus convoitées par l’OTAN qui abriterait des « Kinzhal » hypersonique. Or la 5G a un plus dans le développement d’armes hypersoniques, y compris celles à tête nucléaire surtout pour les guider sur des trajectoires variables, en faisant échapper aux missiles intercepteurs. C’est un fait pour lequel il faut recueillir, élaborer et transmettre d’énormes quantités de données en des temps très rapides et c’est la 5G de Xi qui s’en occupera. La même chose est nécessaire pour activer les défenses en cas d’attaques avec ces armes, en se fiant à des systèmes automatiques.

Vidéo: la Syrie frappe à coup d'anti blindé les terroristes d'Alep, 3 août 2022.twitter 

À quoi rime cette toute dernière affirmation ? En activant son réseau de 5e génération en Syrie, la Chine contribue non seulement à créer les conditions d’une campagne militaire massive contre la présence US au Levant, campagne potentiellement mortelle pour Israël mais encore elle rend service à la Russie, alors que celle-ci est en plein guerre contre l’OTAN et qu’elle a besoin de « nucléariser » son Hmeimim contre Incirlik…Aux dernières nouvelles l'armée syrienne vient de pulvériser les positions du parti al Tukistan ( al Qaida de Chine) à Alep à coup d'artillerie anti blindé Konkurs.