Cette fois c’est la bonne: l’armée de l’air israélienne est morte, enterrée en Syrie ! Dans la nuit de 20 à 21 mai 2022, soit une semaine après que Masyaf (Hama) eut été visé par « missiles aérobalistique, Rampage, interposés », non plus depuis le ciel du Golan occupé ou du Nord du Liban, mais bel et bien à partir du corridor international situé à l’Est du port syrien de Baniyas en Méditerranée orientale, frappe ratée, primo parce qu ’en dépit du lourd bilan de 5 soldats syriens tués, 26 des 32 engins tirés avaient été abattus par la DCA de l’armée syrienne, ce dont envierait les meilleurs Patriot/Dôme de fer du monde, et secundo puisque ce coup de Masyaf qui aurait dû terroriser les Iraniens et en provoquer la débandade en Syrie, s’est soldé, bien au contraire, par les premiers tirs-éclair anti-F-16 des S-300 russes en soutien à la Résistance, Israël a récidivé : Avec ou sans son armée de l’air impliquée ? Sans, Sir, car désormais aucun pilote israélien, le plus dévoué à la cause du Sion soit-il, ne risquerait de décoller de sa base pour venir tirer ses missiles air-sol Délilah contre la Syrie, sans avoir la trouille de sa vie de se heurter à la redoutable riposte d’ une DCA intégrée syro-Résistance qui, on l’aura bien compris ce 13 mai à Masyaf, est désormais bien connectée à la Défense aérienne russe soit ces fameux S- 300, S-400 déployés sur la côte ouest, à Hmeimim et à Tartous .
Vidéo: l'interception impeccable de la DCA syrienne, le 20 mai/twitter
Mais il y a plus car cette armée de l’air sioniste dont la Syrie a fini enfin par triompher au bout de 11 ans de bataille acharnée, rien qu’au regard des « missiles sol-sol »que l’entité a été forcée de balancer cette nuit de 20 mai depuis le Golan non seulement contre l’aéroport de Damas, mais encore la mausolée de Zeynab, ne serait-ce que pour provoquer la riposte de l’Iran, là et où Israël le voudrait et il le voudrait décidément maintenant que se déroule son exercice « Chariot de feu » sous l’égide secret US/OTAN, et bien cette armée de l’air n’est plus non plus en sécurité, ni au Levant ni dans le ciel d’Israël. Et comment ?
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Jeudi le 19 à peine 24 heures avant que Damas et la mausolée de Zaynab ne soient pris pour cible des engins sol-sol sionistes, le Dôme de fer israélien s’est mis à tirer comme des fous dans le ciel de la Galilée nord où ses radars ont cru voir une attaque massive de drone du Hezbollah.
C’était après ce fameux discours post victoire aux législatives libanaises où le Hezbollah a rejeté la médiation gazière US et promis faire respecter les droits gaziers du Liban, fût ce au prix de s’en prendre à Léviathan et à Tamar. De commentaire confus en bégaiements médiatiques, l’armée israélienne a été forcée, commentant cet « incident », à reconnaître s’être trompée et avoir activé pour rien son Dôme de fer, sans oser pour autant avouer que ses radars avaient été effectivement leurrés par le camp d’en face.
Vidéo: l'interception impeccable de la DCA syrienne, le 20 mai/twitter
Avouons que pour Israël qui crie ces jours-ci sur tous les toits vouloir s’exercer dès ce 29 mai à Chypre à « des frappes aériennes massives » contre « les sites nucléaires iraniens », simulations aux quelles « prendraient part aussi des avions ravitailleurs US », ce fut un choc puissance 1000 que de se savoir régulièrement maté et brouillé dans son « propre » ciel. "Régulièrement" puisque le 18 février, un drone du Hezbollah, cette fois un vrai et pas illusoire avait fait comprendre à l’armée sioniste toujours dans le ciel de la Galilée haute que les capacités de brouillage de la Résistance est en Syrie sont bien solide car un drone Hassan sait échapper à la fois et e pleine Galilée haute à un missile Tamer, à un F-16 Sufa, mais aussi aux Apaches sionistes. Depuis ce jeudi 20 donc, le QG aérien en Israël croit que la DCA syrienne a bien intégré quelque chose comme Krasukha russe mais au contraire de lui, non prévisible puisque totalement inconnu pour Israël.
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Et l’entité pourrait ne pas avoir tort dans la mesure où certaines sources évoquent l’émergence dans le ciel syrien de l’énigmatique Cobra V8, dit Krasukha iranien qui localisent dans un premier temps l’aéronef habité ou sans pilote ennemi et en brouillent les signaux radar puis une fois des données acquises traités, le système s’active pour aveugler ensuite le radar de l'aéronef simultanément à son interception. On aura donc l’avantage de pouvoir conduire l’aéronef ennemi, en l’occurrence sioniste, soit à annuler sa mission et revenir à sa base, soit à entrer dans la ligne de mire des systèmes de DCA, ce que le Hezbollah aurait bien testé ce 18 février, lors de l’incursion de son drone en Galilée. D’ailleurs Krasukha iranien V8 pourrait ne pas être le seul élement brouilleurs dans le ciel syrien dans le mesure où l’Iran a bien dévoilé avant lui un certain « Spehr 110 », un système de communication mobile adapté aux situations de combat, aux missions de défense passive et de renseignement. L’avantage de ce brouilleurs est qu’il est équipé de dispositifs hautement sécurisés de liaison HF numérique courte, moyenne et longue distance (UHF et VHF), ainsi que d’une antenne multibande FH et DS. Il est connectable à des réseaux ad hoc sans fils et aux réseaux d’itinérance (roaming) pour la transmission rapide et sûre de signaux vidéo, audio et de données. Et tout ceci en fait un excellent outil pour la guerre électronique qui résiste à tout piratage, infiltration ou perturbation de la part de l’ennemi.
Photo: Cobra V8 ou le Krasukha "iranisé"/Fars News
Or c’est cet ensemble de terrifiants revers pour « l’IAF » (Armée de l'air sioniste), seule composante de l’armée sioniste qui marche encore qui a poussé l’entité à tenter cette nuit de se venger d’abord en éliminant de l’équation IAF, en la remplaçant par des missiles quitte à passant du mode trop prisé air-sol en mode sol-sol et le tout assaisonné d’une tentative de multiplication des zone cibles (Golan, Damas, Lattaquié) sous prétexte de devoir cibler les « cargaison d’armes », « terrestre et navale » que l’Iran, « en mettant à profit le retrait russe post guerre Ukraine », aurait fait acheminer « à l’aéroport de Damas et au port de Tartous ».
Vidéo: l'interception impeccable de la DCA syrienne, le 20 mai/twitter
Pas vraiment : Des dizaines d’obus de « char israéliens » reconvertis sur le tas en « missiles tactiques » n’ont réussi qu’à provoquer un « incendie au sud du sanctuaire de Zaynab dans un terrain vague » et de « tuer trois opérateurs d’une batterie de Pantsir-S à l’aéroport de Damas », le reste ayant été entièrement interceptés et abattus tout comme dans le cas de Masyaf et ce dans une vaste zone étendue entre Tartous d’une part et Damas de l’autre.
Problème de précision, de ciblage de ces missiles israéliens de pacotille ? Sans doute. Brouillage intensif de la DCA syrienne ? visiblement. Que faut-il en conclure donc ?
Vidéo: l'interception impeccable de la DCA syrienne, le 20 mai/twitter
Ce qui vient de se produire cette nuit à Damas et il parait que le camp anti Israël a fait tout pour, c’est le summum de capacité de nuisance israélienne sans son armée de l’air. Cette nuisance n’est plus de nature aérienne, ce qui prouve, si besoin est, que l’IAF est morte et enterrée en Syrie. Et delà cette ultime conclusion : les territoires occupé de la Palestine dépouillés de la DCA sont fin prêts pour une frappe balistique massive car incapable ni depuis l’air ni au sol de se défendre.
D’ici les heures à venir, il se pourrait que le missile tactique « Kheybar Shekane », récemment dévoilé en Iran, quitte ses abris sous terrains syriens qu’il tire : doté de MaRV soit une ogive manœuvrable et au trajet imprévisible dont la vitesse à l'impacte est de Mach 2 à 3.
Le missile "Kheybar Shekane" a en outre cette ogive triconique et là c'est pour en stabiliser l'ogive lors des manœuvres complexes. Puis l'engin est en composite ce qui fait que son poids est un tiers soit à 4.5 tonnes, un poids idéal pour des missiles tactiques. C'est plus que sûr, avec une portée de 1450 km, soit le trajet Homs-Tel-Aviv, il ne raterait rien. Décidément alors que l’entité m-ne son Chariots de feu, la Résistance teste aussi aussi bien des choses.
