Depuis janvier 2020, date à laquelle les 13 missiles Qiam du CGRI ont provoqué dans les rangs des soldats US pas moins de 250 « commotions cérébrales » que les Yankee continuent à primer de temps à autre, plus personne n’avait entendu parler de cette étrange maladie post- frappe balistique. Or les choses semblent changer. Les soldats Yankee basés à al-Omar et ciblés il y a quelques jours ont connu le même syndrome à l’issue de ce que le Pentagone tente visiblement cacher mais qu’il a du mal à le faire.
La coalition dirigée par les États-Unis a modifié vendredi sa précédente déclaration concernant les blessures subies par ses forces dans l'est de la Syrie.
L'installation Green Village qui abrite les forces de la coalition américaine dans la province de Deir ez-Zor a été prise pour cible le 7 avril, blessant quatre membres des services américains, a confirmé la Force opérationnelle interarmées des opérations spéciales-Levant dans un communiqué, après avoir initialement dit qu'il s'agissait d'un "tir indirect".
«Les explosions à Green Village ne sont pas le résultat de tirs indirects, mais plutôt du placement délibéré de charges explosives par un ou plusieurs individus non identifiés dans une zone de stockage de munitions et une installation de douche », peut-on lire dans une déclaration ultérieure de la coalition américaine vendredi.
« Quatre membres du personnel américain ont été légèrement blessés à la suite de frappes contre une base dans l'est de la Syrie », ont déclaré des responsables américains jeudi soir.
Dans un communiqué du 7 avril, la coalition dirigée par les États-Unis avait déclaré que les membres du service étaient évalués pour des blessures mineures et de possibles lésions cérébrales traumatiques après que deux séries de « tirs indirects » eurent touché des bâtiments de soutien à Green Village dans l'est de la Syrie.
Ce communiqué est intervenu alors que quelques heures auparavant, l'agence de presse Sputnik, citant une source proche de la coalition, avait déclaré que la base américaine située dans le champ pétrolifère d'al-Omar avait subi une attaque à la roquette.
Des sources syriennes locales avaient indiqué à Sputnik que l'attaque contre le champ pétrolifère d'al-Omar avait mis le feu à la base américaine. « L'attaque a été menée ce matin par des individus d'identité inconnue », avaient-elles affirmé.