Dans la nuit de 2 à 3 février, alors même que les forces spéciales US débarquaient à Idlib non pas pour décapiter Daech comme annoncé officiellement mais surtout à l'effet de conclure un marché avec les terroristes du nord ouest lesquels terroristes détournent pour le compte du Sultan Erdogan le pétrole de Raqqa un peu à l'image des FDS qui, eux volent de l'or noir de Deir ez Zor et de Hassaké qui mine de rien a été quelques 31 millions de barils en 2021, selon les chiffres publiés aujourd'hui même par le ministère syrien du Pétrole, à avoir quitté les ports du pars à destination du marché mondiale et ce, au grand mépris de la loi César, soit 85.9 mille de baril par jour, le président Erdogan, invité de marque de l’Ukrainien Zelinsky planifiait avec son hôte comment contribuer plus efficacement à resserrer l'étau sur le flanc ouest russes et en en faire baver Poutine. A vrai dire le Sultan parti à Kiev avec une proposition de médiation se moquait de la Russie et de ses liens avec, déterminée à accomplir ce qui ressemble ni plus ni moins à des tentatives destinées à "idlibiser "la Crimée.
D'ailleurs le Sultan n'a guère fait de mystère de son soutien à "l'intégrité territoriale ukrainienne" ni non plus à l'action de ses Bayraktar en plein Donbass laquelle action tend à s'étendre un peu plus en avant à l'intérieur même du territoire russe.
#عاجل
— همام عيسى (@humam_isa) February 2, 2022
إحتراق منزل يختبئ فيه مطلوبين للتحالف الدولي إثر قصفه من قبل طائرات مروحية تتبع للتحالف الدولي لأكثر من 5 مرات pic.twitter.com/71srfKvRmL
Il y a d'abord ce vaste réseau de trafic d'armes et de munitions que le Sultan serait allé en Ukraine remettre sur les rails en en éliminant à coup de drone Bayraktar et à l'aide de MIT et de relais ukrainiens un maillon, à savoir un trafiquant qui menaçait de balancer tout.
« La fourniture de drones Bayraktar par la Turquie à l'Ukraine est une grave erreur, notre Parti l'a répété à plusieurs reprises. Ces armes seront finalement utilisées non seulement contre la Russie mais aussi contre la Turquie elle-même », a averti Perincek non sans allusion à ces informations selon lesquelles les chefs terroristes daechistes ayant fui la prison de Ghouiran à Hassaké seraient pour une partie atteindre le territoire turc.
C'est sans doute en allusion à ce vaste assemblage des éléments d'un seul puzzle, celui d'une "idlibisation" de la Crimée que le général Ivashov, ex ministre de la Défense de la Fédération de la Russie prévoit un embarquement des forces tuques en Crimée en cas de guerre Ukraine/Turquie. Pas l'armée turque évidemment mais ces mercenaires qui fin 2022 ont prouvé dans les rues d'Almaty de quel bois bils sont faits, pilotés qu'ils étaient depuis un centre de commandement planté dans la ville et comprenant des officiers US, israéliens et turc.
Mais n'y-t-il pas une solution plus facile que se battre chez soi contre les terroristes et leurs parrains? Bien sûr que si, si la Russie de Poutine sort une bonne fois pour toute de sa logique habituelle pour infliger le premier coup. Le vendredi 4 février, les Etats Unis d’Amérique ont officiellement investi Idlib en lieu et place de la Turquie à travers une ridicule mise en scène, celle de la liquidation du soi disant chef de Daech.
Mais c'est ainsi que se passent les passation de missions au sein du camp atlantiste. LA Résistance a très rapidement passé à l’acte en abattant un hélico Blak Hawk US à coup d'un drone Abadil, les mêmes que l'Iran avait fait parvenir quelques jours plutôt à la base russe, Qamichli, justement pour ce genre d'opération. Les Yankee qui croyaient avoir repris l'initiative en marquant via cette opération anti-civile sanglante le retour de leurs F-16 dans le ciel de la Syrie et ce après l'attaque du 20 octobre de la Résistance contre al-Tanf en ont eu pour leurs frais, prétendant avoir détruit l'hélico après le crash. Mais les Russes, eux, n'ont rien fait... A tort.. C'est à Idlib que pourrait être sauvé "préventivement" la Crimée.