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Explosions terroristes à Damas.. l'Amérique défie Syrie-Russie-Résistance... la riposte imminente...

La base occupé d'Al Tanf ( illustration)

Evidemment que la réponse à ce méga coup qu'a joué la Résistance aux Américains et à leurs acolytes, et qui vu les événements en cours au Liban où les ex phalangistes ont tenté, sur l'ordre de l'ambassadrice Shea de le neutraliser, en faisant couler le sang des libanais à Tayouné, mais sans grand succès après le discours révélation de Nasrallah le 18 octobre, méga coup qui rappelons le a même poussé les USA à devenir malgré eux, un acteur du scénario de la Résistance, à autoriser la Jordanie et l'Egypte à normaliser avec Damas, à lui ouvrir leurs banque, leur gaz et leur électricité, rien que pour éviter le Liban ne "tombe entièrement sous la férule" du Hezbollah qui a montré où pourrait aller son sens de patriotisme, de responsabilité étatiques, ne pourrait ne pas avoir un volet syrien : Après tout la Résistance a infligé à travers le transit maritime du pétrole iranien à Beyrouth par Syrie interposé l'une des humiliation les plus crainte de toute l'histoire de l'Amérique à l'Amérique, le forçant à se désavouer.

Et puis les Américains qui ont déjà vécu de pareilles scénario aux Caraïbes où les pétroliers iraniens sont arrivé au Venezuela en mai 2020 pour réduire en mille morceaux doctrine de Monroe savent parfaitement que cette histoire du pétrole iranien raffiné en Syrie et injecté au Liban n'en restera pas là et que tout comme le cas du Venezuela où le MAE en visite récent à Téhéran annonce la toute prochaine signature d'un pacte stratégique avec Téhéran, cela finira par un pacte Iran-Liban, que l'axe US/Israël/France le veuille ou pas. Un pacte potentiellement apte à engager la Syrie et le Liban sur la voie d'une super normalisation avec en toile de fond, peut être une extension des capacités militaires de la Syrie au Liban voisin, puis in fine un basculement du pays du Cèdre dans le camp de l'Est. Et bien cette terrifiante perspective qui s'ouvre sur l'Amérique demande à ce que Tayouné ait un pendant syrien : une double explosion a frappé un bus militaire non loin du pont Al Rais de Damas causant la mort de 13 militaires alors que les équipes de déminage ont découvert un troisième engin.

Le message est clair : l'auteur veut faire croire que la capitale Damas est déverrouillé et que ce bouclier sécuritaire impénétrable qui a protégé la capitale depuis 11 n'existe plus.. Il va sans dire que cette attaque qui comme le confirme l'ambassadeur yéménite en poste à) Damas " porte la signature des forces spéciales US " ayant surfé sur la vague d'un début de "reprise avec Damas" n'est pas sans lien avec l'actualité dans le nord et le nord est syrien : A Idlib, l'armée du Sultan continue à tenter de s'emparer de Tal Raffat, façon de laisser les coudées franches aux terroristes takfiristes qui bien que écrasés sous les bombes thermobariques de la Russie bénéficient de l'appui militaire de l'OTAN et des USA pour attaquer Alep.  A peine quelques heures après l'explosion de Damas, SANA a rapporté en effet une autre explosion, produite cette fois dans un entrepôt de l'armée, non loin de l'autoroute Hama-Homs : cinq personnes ont été tués et trois autres blessés. Sputnik évoque un "incident" mais tout porte à croire qu'il s'agirait d'une attaque aux drones voire aux missiles signées USA. 

Vidéo: les forces US chassés par des villageois à Hassaké/Avia.pro

A quoi rime tout ceci? la guerre syrienne gagnée par la Syrie et ses alliée tend à entrer dans sa sprinte finale maintenant que l'armée de Turan et son chef Erdogan ne semblent plus à m^me de résister à la Syrie. Que faire? multiplier les opérations d'infiltration. car soit dit en passant, les troupes US ne sen sentent plus à l'aise ni en Syrie orientale ni dans le nord de la Syrie. Et s'il est vrai que les convois militaires continuent à y arriver depuis l'Irak voisin, cela a plutôt l'air d'un va et vient effrayé entre un Irak qui  chasse les troupes US et une Syrie qui se révolte contre elles.  

A preuve, ce mardi, les habitants du village Hamo, près de la route internationale M4 qui relie Qamishli à la frontière irakienne ont empêché les patrouilles américaines d'entrer dans leur village. Une source locale a déclaré à Al-Mayadeen que les villageois avaient bloqué l'entrée d'un convoi militaire américain, l'obligeant à changer de route et à se retirer des zones contrôlées par l'armée syrienne à la périphérie de Qamishli.

Il y a environ un mois, l'armée américaine a procédé au transfert de dizaines de membres de Daech des prisons des militants kurdes à Qamishli vers une base américaine à al-Shadadi, au sud de Hassaké. Depuis que les Américains ont occupé la partie est de la Syrie, en particulier les champs pétrolifères, ils ne font que trafiquer céréales et pétrole syriens vers l’Irak. Alors une présence US en Syrie orientale plutôt  trop fragile. 

Lire  aussi : L'armée syrienne et les forces de la Résistance passeront à l'acte? 

Mais est-ce suffisant? Depuis le 13 octobre, date à laquelle l'axe US/Israël a frappé Homs provoquant la mort de six combattant des forces alliés de l'armée syrienne, attaque à laquelle le QG allié a promis une riposte très dure, la voie est toute tracée: il fait en découdre avec non seulement Israël et la Turquie, mais bien avec les bases US en Syrie. 

Lire aussi : Irak/Syrie : l’US Army en état d’alerte !

Après tout,  le Fateh-110, dont une version plus avancée Fateh-313 a fait le malheur des Américains un certain 8 janvier 2020 à Aïn al-Assad, et qui est le 1er missile balistique à combustible solide iranien à disposer d’une ogive détachable, pesant entre  200 kg à 500 kg, la Syri en a déjà produit beaucoup et elle les a déjà testés contre Israël. il il est grand temps qu'il les utilise contre les Yankee. Et puis il n'y a pas que les M-600 dans l'arsenal syrien. 

Vidéo: les explosions terroristes à Damas, 20 octobre 2021/SANA

Il y a aussi une gamme de missiles "Golan 1", "Golan 2" soit ces Scud « syrisés » que l’armée syrienne les a déjà utilisés au plus fort de bataille anti-terroriste à Alep, à Hama voire à Qalamoun sans qu'aucun média mainstream en parle réellement et qui semble désormais être bien nécessaire pour faire comprendre aux Américains de quel bois la Syrie est faite. .Mais le nom « Golan » ne se limitait pas au missile à longue portée, l’armée syrienne disposant d'un autre type inconnu de missiles baptisés aussi « Golan » qu’elle a commencé à développer dès 2011 dans la campagne orientale de Damas, à Deraa. Ajoutons à la liste, le « Golan 300 » et le « Golan 400 », engins à courte portée, installés sur un pick-up, et qui se caractérise par le son qu'il émet lors du bombardement  ou encore le « Golan 1000 » embarqué des char T72.. Al Tanf, al Shaddadeh, al Omar, Connoco, ... ou tout autre point "souillé" par les USA sont à partir de ce mardi des cibles légitimes... outre évidemment les territoires occupés d'Israël. 

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SOURCE: FRENCH PRESS TV