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Le mercenariat du Sultan saigne grave .... l'axe US/OTAN rate le coup ....

Déploiement massif des blindés US à Hassaké. ©Twitter

Y a-t-il  une réplique du scénario de 2016 en Syrie orientale quand les troupes US ont envahi les régions pétrolifères de l'est syrien sous prétexte à avoir appuyer les FDS dans leur vrai fausse bataille face à Daech? Visiblement. Parallèlement à une Turquie dont le président ne cesse de dénoncer la Russie et les USA, de les renvoyer dos à dos pour cause de soutien au "terrorisme" tout en préparant une offensive contre Tal Rafaat, ce qui permettrait aux mercenaires terroristes du Sultan de lancer des attaques contre Alep, haut lieu de la Résistance dans le nord de la Syrie, les troupes US arrivés un peu plus à l'est dans le nord est  syrien à Hasaské, demande désormais à la population des "permis de séjour"!

Expulsés de leurs foyers par les troupes américaines, les habitants des villages de Hassaké ou encore de Dei ez-Zor sont repoussés par les forces d'occupation américaines et les FDS qui les empêchent de regagner leur maison à moins qu'ils les paient :  « Pour entrer dans notre ville et nos villages, nous devons présenter un garant et une carte de garantie ...un autre moyen d’accéder à la zone était de payer des rançons aux hommes armés stationnés aux points de contrôle et entrer en contrebande. Nous sommes confrontés au même problème pour aller voir nos proches à l'est de l'Euphrate... Vit-on dans deux pays ? Combien de temps ces problèmes, devraient-ils persister ? » disent les habitants. 

Sur fond de ce fact nouveau qui relève d'un scénario destiné à éterniser les troupes US dans l'est et le nord est de l'Euphrate alors même que la Turquie projette d'avancer dans le nord, des centaines de soldats américains et plusieurs dizaines d'unités de véhicules blindés des troupes américaines sont entrés dans la ville syrienne de Hassaké. Le déploiement des troupes américaines dans la zone intervient sur fond du déclenchement d'affrontements entre les forces de l'armée syrienne et les Forces démocratiques syriennes (FDS) soutenues par les États-Unis. Mais une réimplantation US/OTAN dans le Nord et l'est et le Nord est de la Syrie est-ce une promenade de santé?

certains analystes diraient que cela pourrait avoir partie d'un deal Russie/USA. Mais ils auraient tort vu que le chef du Pentagone est en tournée en Europe de l'est pour créer un front est anti-Russie. Plus tôt, des hélicoptères d'attaque russes Ka-52 et des patrouilles militaires russes ont empêché à plusieurs reprises la présence des forces américaines sur les territoires contrôlés par l'armée syrienne. Et ce n'est pas cette fois qu'elles failliraient à cette mission. Ce front anti US est d'ailleurs à ajouter au front d'Idlib où l'aviation syro-russe a fait ces dernières heures un tabac. 

Selon les informations fournies par le site web Avia.pro, des avions militaires russes auraient détruit des abris souterrains dans lesquels se cachait le chef du plus grand groupe terroriste en Syrie, Hayat Tahrir al-Sham, Al Julani. L'information n'est pas confirmée mais les image vidéos ne trompent pas. "Les récentes frappes aériennes menées par des forces aérospatiales russes sur la ville syrienne de Sarmada, où le chef du groupe terroriste Hayat Tahrir al-Cham avait rencontré les forces turques, ont probablement entraîné la mort de ce dernier. Suite à une frappe de précision par des munitions de type Krasnopol contre le siège des militants, probablement un poste de contrôle, il est devenu clair que le chef du groupe terroriste Hayat Tahrir al-Cham, tentait prendre la fuite à travers des tunnels souterrains.

Possédant des informations sur le réseau de tunnels, des avions militaires russes ont lancé de nombreuses frappes dans toute la ville. D’où les estimations suggérant que ce dernier devrait avoir trouvé la mort dans l'un des abris souterrains effondrés. Al Julani, chef des terroristes de Hayat Tahrir al-Cham n’est plus apparu en public depuis le lancement de l'opération spéciale de l’aviation russe et l'activité de l'ensemble du groupe a considérablement diminué.

Immédiatement après les frappes, les militants de ce groupe ont commencé à dégager les obstacles devant les tunnels souterrains probablement dans l'intention de le trouver. Pour le moment, il n'y a aucune preuve confirmant l'élimination du chef du groupe terroriste qui pourrait changer la donne dans les développements en cours à Idlib.

Une chose est sûre : la mayonnaise américano turque qui s'est soldé en 2016 par l'occupation de l'est de la Syrie par les Américains n'a pas prise, USA.Turquie ne sauraient refaire le coup dans le Nord et le nord est syrien. 

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SOURCE: FRENCH PRESS TV