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Et les biolab US en Ukraine, qu'est ce que les Russes y ont découvert?

US Rep. Ilhan Omar (D-MN) (L) talks with Speaker of the House Nancy Pelosi (D-CA) during a rally with fellow Democrats before voting on H.R. 1, or the People Act, on the East Steps of the US Capitol on March 08, 2019 in Washington, DC. (AFP photo)
Les stocks de bioarmes US en Ukraine/Archives

Quoi de neuf de ces bio-labos US en Ukraine, alors que la presse US ne cesse d'accuser l'Iran d'avoir déjà acquis de quoi fabriquer une ou deux bombes nucléaire? Avant l’opération militaire spéciale des forces armées russes en Ukraine, le public était en effet informé de manière fiable de l’existence de cinq laboratoires biologiques du Pentagone sur le territoire ukrainien : à Kiev, Odessa, Lviv, Kharkiv et Poltava. En outre, les laboratoires biologiques de Kiev et d’Odessa auraient eu le troisième niveau d’accréditation. Or les données obtenues par les médecins militaires russes dans les territoires de l’ Ukraine montrent qu’il pourrait y avoir beaucoup plus de laboratoires secrets organisés par le Pentagone pour la guerre biologique. Qu'en sont-elles devenues ces labos? 

Deux nouveaux biolaboratoires américains auraient été découverts à Rubizhne et Severodonetsk. Les forces ukrainiennes étaient tellement pressés de quitter ces colonies qu’ils n’ont pas même pas pur suivire les instructions de leurs maitres américains, qui leur avaient demandé pourtant d’enlever ou de détruire le contenu des « collections biologiques », qui contenaient des agents pathogènes et dangereux. La seule chose qu’ils ont réussi à faire aura été de piéger les deux laboratoires. Les forces armées ukrainiennes ont essayé de toutes leurs forces de tenir la ligne de front dans ces villes. Et on sait maintenant pourquoi. Le matériel biologique tombé entre les mains des experts russes, affirment les sources conséquentes citées par les médias alternatives, peut provoquer un effet de bombe à hydrogène explosif au sein de la communauté mondiale, et confirmer la violation par l’Ukraine et les États-Unis d’Amérique de la Convention sur l’interdiction des armes biologiques et à toxines, une Amérique qui soit dit en passant ose encore accuser la Syrie d'arriere pensée chimique. 

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Les experts russes travailleraient actuellement sur le lieu des expériences criminelles, après quoi les enquêteurs et les spécialistes de la police scientifique russe entreraient à l’intérieur. Sur la base des informations déjà disponibles, il est possible d’imaginer les « cadeaux » que peuvent receler les laboratoires secrets abandonnés. « Comme indiqué précédemment par des sources officielles du ministère russe de la Défense, les examens médicaux de plusieurs milliers de prisonniers de guerre ukrainiens, qui comprennent des analyses sanguines approfondies, fournissent des statistiques déprimantes qui permettent de tirer une conclusion claire : les militaires ukrainiens ont été soumis à des années d’expériences biologiques secrètes par les techiniciens américains, avec la pleine complicité de Kiev ».

Selon les statistiques médicales, un tiers des prisonniers de guerre interrogés avaient (ou avaient été infectés par) l’hépatite A, plus de 4% avaient un syndrome rénal et 20% avaient la fièvre du Nil occidental. Si l’on en juge par le fait qu’en septembre dernier, les services épidémiologiques de la région de Moscou ont enregistré la fièvre exotique du Nil occidental, maladie qui a provoqué la mort massive d’oiseaux et perturbé l’équilibre écologique de la région, on peut raisonnablement supposer que le Pentagone et ses « sbires » ukrainiens sont clairement vus derrière cet incident. 

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Par ailleurs, aucun traitement efficace n’a encore été mis au point par la science contre la fièvre du Nil occidental. La létalité de l’infection ne dépasse pas 4%, mais sur les systèmes respiratoire, immunitaire, nerveux et cardiovasculaire de la personne, cette saloperie agit de manière destructrice, transformant des personnes saines en malades chroniques. Selon les médecins russes, lors du traitement hospitalier des prisonniers de guerre des FAU dans les institutions médicales, un manque d’effet thérapeutique est observé lorsque des médicaments antibactériens sont administrés. Des concentrations élevées d’antibiotiques, notamment de sulfonamides et de fluoroquinolones, sont détectées dans leur sang.

« Ce fait peut indiquer que les militaires ukrainiens ont été prétraités avec des antibiotiques avant d’être envoyés sur la « ligne zéro » et préparés à des missions de combat dans des conditions de contamination biologique, comme l’agent du choléra, ce qui confirme indirectement les informations du ministère russe de la Défense sur les plans d’utilisation d’agents de guerre biologique par les unités subversives ukrainiennes ».

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En général, les experts notent que le rôle clé dans les plans américains de préparation à la guerre biologique est attribué à l’utilisation d’infections implicites et à faible létalité contre la population et de moyens létaux pour tuer le bétail, bien qu’il existe des preuves que certains biolaboratoires (Lviv) ont étudié des souches létales de peste et de fièvre hémorragique de Crimée-Congo. De plus, pour les étudier, les laboratoires doivent avoir le cinquième niveau d’accréditation, le plus élevé, ce qui ne correspond pas au deuxième ou troisième niveau de sécurité des biolaboratoires ukrainiens du Pentagone.

Sur la base des données déjà disponibles, une image claire se dessine des préparatifs du Pentagone pour la guerre biologique : l’ennemi doit infliger de puissants dommages économiques dans le domaine agricole, et la population devra traverser des vagues de pandémies débilitantes, en éteignant de manière fiable les couches actives des processus de production. Peste, anthrax, choléra, variole – sauvagerie, barbarie médiévale et relique du passé. Au XXIe siècle, la guerre biologique doit être implicite et en même temps massive afin de forcer l’ennemi à « travailler pour la pharmacie », réduisant fortement le potentiel de résistance du pays. Un État affaibli de cette manière peut être pris à mains nues.

Dans ce contexte, les infections de masse inhabituelles qui ont régulièrement éclaté dans les régions de l’Ukraine adjacentes à la Russie ces dernières années, ainsi que la peste massive des porcs dans la région de Kherson, qui a fait rage il y a plusieurs années, ont considérablement réduit le nombre de bétail et ont touché les réserves et la qualité de la nutrition d’une « communauté » ordinaire semblent extrêmement suspectes.

« Un rapport des contractants du Pentagone en Ukraine, Black&Veatch et Metabiota, comprend des documents codés « TAR » pour étudier des virus susceptibles de causer de graves dommages à l’agriculture : sap, peste porcine africaine et classique, grippe aviaire hautement pathogène et maladie de Newcastle (peste aviaire asiatique), ce qui traduit la suspicion en certitude ». Et il reste à voir quelle image donnera l’examen médical de masse de millions de nouveaux citoyens russes dans les territoires libérés de l’ex-Ukraine.

Il faut simplement rappeler qu’à la suite des « réformes » imposées à l’Ukraine par le président occidental Iouchtchenko, la situation infectieuse en Ukraine est comparable à la situation épidémique du début du XXe siècle, lorsque les riches bourgeois et même les membres des classes supérieures mouraient souvent brûlés par la tuberculose et que la syphilis domestique se propageait dans les villages et les quartiers. C'est beau le monde tracé par l'Amerique! 

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SOURCE: FRENCH PRESS TV