Le 13 janvier Abou Kamal a été frappé par Israël. Le coup a fait flop car les forces de la Résistance avaient auparavant vidé les locaux visés. Il s'agit d'une bourde de plus car la route stratégique Iran-Irak, Irak-Méditerranée demeure toujours....Retour sur tous les agissements stériles des États-Unis et d’Israël de ces dernières semaines...
Une province de Homs sécurisée signifie une meilleure économie pour la Syrie et c’est ce qui fait peur aux Américains qui projettent de déstabiliser cette province stratégique en soutenant les cellules dormantes de Daech.
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Durant les dernières semaines, les éléments des cellules dormantes de Daech ont multiplié leurs agissements au centre et à l’est de la province de Homs, non loin des frontières de l’ouest de la province de Deir ez-Zor ainsi que dans les zones proches des frontières irakiennes.
À présent, les cellules dormantes de Daech sont présentes dans quelque 1 500 kilomètres carrés de l’Est et du Sud de la province de Homs dont le caractère désertique reste un privilège pour les terroristes.
Il est à noter que la présence illégale des forces d’occupation américaines dans la région d’al-Tanf, au sud de la province de Homs, appuie les cellules dormantes de Daech qui sont présentes dans l’Est et dans le Sud-est car les Américains alimentent ouvertement les terroristes en fonds et en armements.
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Puisque la route stratégique Téhéran-Méditerranée passe par les régions de l’est et du sud-est de la province de Homs, route qui préoccupe vivement les Américains, ces derniers font tout pour déstabiliser ce trajet stratégique, surtout en soutenant les terroristes.
En plus, les Américains et les terroristes de Daech entendent déstabiliser Homs afin d’empêcher le gouvernement syrien d’exploiter les mines de phosphates et les champs pétroliers et gaziers, ce qui pourrait justement relancer l’économie syrienne.
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Une province de Homs sécurisée présentera également une bonne opportunité d’investissement pour les compagnies iraniennes et russes au moment de la reconstruction de la Syrie, ce qui allégera les pressions économiques pesant sur Damas en raison de la guerre et des sanctions.
D’autre part, une fois Homs sera sécurisée, tous les regards seront braqués sur la base militaire d’al-Tanf, occupée par les Américains et c’est là que la libération d’al-Tanf paraîtra plus nécessaire que jamais.
La province de Homs partage des frontières avec les provinces de Damas, de Deir ez-Zor et de Hama et constitue un point de jonction entre le Liban, la capitale syrienne et l’Irak.
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À présent, 85% de la superficie de Homs reste sous le contrôle des forces de l’armée syrienne et des combattants de la Résistance et seule la région d’al-Tanf est contrôlée par les forces de l’armée américaine et les groupes terroristes soutenues par elle.
