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Même Elon Musk panique ... Après les drones, place à un coup laser anti satellite iran-russie?

L’Iran lance un remorqueur spatial indigène baptisé Saman. © Aftabnews

Y a-t-il un quelconque lien entre le remorquer spatial Saman que l’Iran a mis en orbite ce mardi 4 octobre avec succès d’une part et les menaces d’attaque à petites bombes nucléaires que brandit la Russie à l’encontre de l’axe atlantiste et qui lui a déjà valu cette réponse enragée de l’ex chef d’état-major Us, Daviv Petraus comme quoi « l’Amérique irait casser toute la flotte de la mer Noire russe et ratatiner les cibles russes en Ukraine » ? Aucun apparemment à moins de se focaliser sur deux villes iranienne et russe que sont Semnan et Belgorod. Et comment ? A Semnan, l'Iran a testé ce mardi un remorqueur spatial conçu et fabriqué dans le pays, capable de déplacer des satellites de l’orbite basse ( Léo) à l’orbite moyenne Géo et de transférer des cargaisons spatiales d'une orbite à une autre, avec des caractéristiques énergétiques différentes. Le vaisseau spatial, baptisé Saman, et construit par des experts et des techniciens du Centre iranien de recherche spatiale (ISRC), a ainsi été envoyé avec succès dans l'espace suborbital mardi par le ministère iranien de la Défense.

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Les commentaires ont foisonné autour :  « Dans le cadre de ce processus expérimental, les essais du moteur d'apogée et des moteurs de rotation du remorqueur ont été menés avec succès », a notamment déclaré Hassan Salarieh, chef par intérim de l'Agence spatiale iranienne qui a ajouté : «   Dans le cadre des efforts visant à accroître davantage les technologies de télécommunications locales et à fabriquer un satellite tournant en orbite géostationnaire, le développement de ce remorqueur spatial avait été placé en tête des priorités de l'ISRC », a indiqué ce responsable. Que signifie cette déclaration ? Cela signifie un processus plus rapide et plus fluide pour obtenir le point orbital synchronisé avec la Terre une fois qu'un satellite élève sa hauteur orbitale de l'orbite géostationnaire à l'orbite opérationnelle.

Vidéo: Saman mis en Orbite

Étant donné que la conception et la construction d'un remorqueur sont une tâche très sophistiquée et coûteuse et que son lancement doit être effectué en tenant pleinement compte des considérations de fiabilité, les étapes intermédiaires du développement technologique ont donc été incluses dans le programme.  La première étape, qui comprenait le test du moteur du premier étage du remorqueur spatial ainsi que le test des performances de ses moteurs de génération de rotation et de dérotation, a ainsi été achevée avec succès.  La charge utile suborbitale a donc été envoyée à une altitude élevée au cours de la deuxième étape afin de tester les performances des propulseurs à gaz froid, des moteurs de génération de rotation et de dérotation, du système de poursuite et de visée et du système de séparation de la charge utile.

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Rappelons que le 26 juin, un deuxième porte-satellites iranien du nom de Zoljenah a été mis en orbite basse en 16 mois et que le porte-parole du ministère iranien de la Défense avait déclaré à l'époque que le porte-satellite avait été lancé à des fins de recherche.

Quel genre de recherche ? Si on considère qu’en termes techniques, le transporteur satellite iranien est comparable aux transporteurs satellites les plus modernes et que  l’emploi de systèmes de transfert orbital permet au satellite de monter dans l'espace et d'être placé sur des orbites supérieures si nécessaire sans alourdir le système porte-satellites et ce , grâce à  la force créée par le propulseur intégré qui permet  à l’engin d’augmenter en hauteur et s'installer sur une orbite supérieure et puis mettre tous ces constats aux côtes de cet évènement absolu que fut le lancement il y a quelques semaines à peine par une porte fusée russe Soyyuz d’une satellite iranienne Khayyam lequel a été placé avec 16 autres mini satellites russes en orbite basse, alors on comprendre que les coopérations militaires Iran –Russe ont dépassé depuis un bon bout de temps le stade de drone pour entrer dans le domaine satellitaire.

Ou ce qui revient au même les deux parties largement impliquées dans une bataille qui devrait décidé de l’avenir du multilatéralisme participe chacun de son cote dans ce vaste projet qu’est la mise hors d’état de nuire de ces  satellites espion occidentaux qui polluent l’atmosphère et qui en Ukraine aident les Otaniens à coordonner leurs action anti russe sur le champ de bataille et autour de l’Iran permettent aux Sionistes et à leurs acolytes de nicher dans le Kurdistan irakien ou à Bakou à l’effet de porter atteinte à la sécurité national du pays.

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Et bien ce genre de coopération aurait visiblement donné lieu à ce que les satellites iraniens puissent augmenter leur portée et aller des Leo à Geo ou dit autrement que l’Iran puissance doter bientôt des ICBM anti satellite. Et c’est là qu’intervient Belgorod. Non pas le sous-marin nucléaire qui à l’heure qu’il est fait l’objet d’une course poursuite Russie Otan dans les eaux arctiques puisque les Atlantistes ont peur qu’il leur tire des torpilles nucléaires Poséidon mais la ville de Belgorod qui a été cette nuit le théâtre de l’apparition des faisceaux laser dans le ciel qu’on a dit avoir été produit par le redoutable système Peresvet russe, destiné à faire disparaître les satellites ennemis dans l’espace.

Belgorod et son système laser 

Et si on ajoute ce rapport des renseignement européens rapporté en  2011 déjà dans les colonies de Report US comme quoi « l’Iran a pris les milieux de renseignements occidentaux de court en aveuglant par des faisceaux laser un satellite espion US » il en résultera deux chose : soit l’Iran a déjà eu à l’époque quelque chose comme Peresvet ou que Peresvet, Iraniens et Russes l’ont développé ensemble ou ce qui revient à dire, il y a un axe de recherche militaire anti satellite irano russe qui a toute les chances de s’activer ces jours-ci puis qu’une attaque nucléaire demande à ce qu’au préalable tous les satellites espions soient tus.

Le satellite Khayyam, premier pas des coopérations spatiales Iran/Russie

De fil en aiguille donc, on comprendrait mieux le virage d’un certain Elan Musk qui avait pris de court le monde une première fois en demandant à ce que le trésor US lève les sanctions contre son entreprise pour que ses StarLink puissent mieux aider les fauteurs de troubles à semer le chaos en Iran et une seconde quand il a annoncé.  Ce mardi un plan de paix Ukraine/Russie après avoir activement participé à la neutralisation des efforts militaires russes via l’espace, effort visant à couper les lignes de communication inta Otan en Ukraine…

 

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SOURCE: FRENCH PRESS TV