Le général de division Hossein Salami, Commandant en chef du Corps des gardiens de la Révolution islamique (CGRI), a déclaré dimanche 24 juillet que les armes sont l’un des facteurs les plus efficaces pour gagner la guerre d’où la détermination de l’Iran à produire des armes les plus avancées.
Il a dit que « devant la puissance infinie de Dieu, chaque puissance semblerait insignifiante autant qu’un moustique et c’est le secret de la victoire dans chaque guerre, car cela faisait avancer les forces et prévenait l’immobilité causée par leur éventuelle peur ».
Plus tôt, le porte-parole du Corps des gardiens de la Révolution islamique a mis en garde Israël contre la perte de tous les 27 000 km qu’il occupe en cas de la moindre erreur commise contre l’Iran.
Le porte-parole du Corps des gardiens de la Révolution islamique (CGRI), le général Ramezan Sharif, a déclaré jeudi 21 juillet que toute erreur commise par les sionistes contre la République islamique d’Iran conduira à la perte des 27 000 kilomètres de terre qu’il occupe.
Aujourd’hui, poursuit-il, les sionistes se plaignent de ne pas avoir l’option militaire sur la table face à l’Iran sans tenir compte du fait que les États-Unis et l’Union soviétique, tous les deux plus grands et plus puissants qu’eux, ont pourtant échoué à battre l’Iran malgré des équipements les plus sophistiqués qu’ils ont mis à disposition de Saddam Hussein au cours de huit années de la Défense sacrée.
De temps en temps, les responsables israéliens recourent au bluff de l’application de l’option militaire contre l’Iran, afin de redorer son boson auprès de l’opinion publique et de dissimuler leurs lacunes sécuritaires et politiques même s’ils sont bien conscients que l’armée iranienne dispose de missiles et de drones qui peuvent viser facilement la profondeur d’Israël.
Le drone est doté d’une gamme d’équipements de combat, de guerre optique et électronique et est conçu sur la base des exigences opérationnelles de l’armée de l’air.
Avec une durée de vol estimée à environ 24 heures et une longue portée de 3000 km, le drone Kaman-22 est capable d’effectuer diverses missions : combat, surveillance et reconnaissance, en utilisant une quantité importante de munitions. Il confère ainsi une capacité de combat supérieure à l’armée de l’air iranienne.
Kaman-12 est en mesure de porter une bonne variation d’armes : un lanceur de roquette de 70 mm, des bombes téléguidées de type Qaem et des missiles anti-blindés Almas ayant une portée de huit kilomètres.
Le drone pourrait porter une charge de 300 kilogrammes. Cela signifie que la charge que peut porter le Kaman-22 est 100 kilogrammes plus lourds que celle portée par le Kaman-12.
Comme le MQ-1 et le MQ-9, l’aile droite du Kaman-22 présente des points durs d’armes et des pointes retournées ou quasi-winglets, tandis que la queue en V ascendante, combinée à un aileron ventral, semble être dérivée de celle du Reaper.
Le train d’atterrissage semble être de type fixe, contrairement au train d’atterrissage rétractable du Predator et du Reaper. Les armes montées sous les ailes du Kaman-22 ont été provisoirement identifiées comme quatre bombes guidées Sadid et deux bombes planeuse Balaban, pendant ce temps, il y a une tourelle de capteur électro-optique apparente sous le nez et un magasin non identifié - probablement, un pod de liaison de données - monté sur repère central stocke le pylône sous le fuselage.
Les capacités de la guerre électronique du drone iranien, Kaman-22 sont plus large que le MQ-1 Predator ou le MQ-9 Reaper, fabriqués aux États-Unis.
Les armes montées sous les ailes du Kaman-22 ont été provisoirement identifiées comme quatre bombes guidées Sadid et deux bombes planeuses Balaban, pendant ce temps, il y a une tourelle de capteur électro-optique apparente sous le nez et un magasin non identifié - probablement un pod de liaison de données - monté sur repère central stocke le pylône sous le fuselage.
Le devant du drone est équipé du dispositif de brouillage Chahin qui l’aide à mener une opération de guerre électronique en brouillant les radars de l’ennemi sur la bande X, d’une bombe à laser lourde de 500 livres et d’un indicateur laser destiné à guider la bombe laser. Autrement dit, le drone Kaman-22 est le premier drone à pouvoir porter des bombes à laser lourdes.
En mettant en parallèle un Kaman-22 et un MQ-1 Predator américain, celui-ci dispose de quatre parties dures sur lesquelles les armes sont installées alors que le Kaman-22 en a sept, ce qui le met dans le même rang que les drones MQ-9 américains.