C'est officiel. Depuis le jeudi 9 juin, le prix d'un plein d'essence moyen au Royaume-Uni a dépassé la barre symbolique des 100 livres sterling (117 euros), et continue d'augmenter rapidement. Aux États-Unis, les prix augmentent aussi, mais les automobilistes n'y payent encore que 60% de ce que doivent débourser les Britanniques. Pourtant, comme le rapporte Bloomberg, le Royaume-Uni va cette année exporter 3 milliards de litres de carburant de l'autre côté de l'Atlantique. Ou ce qui revient au même les British paient de leur poche les primes à la pompe. Mais comment les British récompensent-ils ces pertes? En Irak des records de la vente du pétrole est de mois en mois abattus avec rien que pour mai près de sept millions de barils écoulés. Mais est-ce un pétrole souverain? Les comptes de l'état irakien étant aux Etats-Unis toit prélèvement se fait sous stricte surveillance US. Mais ce n'est pas tout : car le pétrole irakien d'où a été écarté la Chine via un coup d'Etat contre le gouvernement de l'ex PM Adel al Mahdi est l'apanage des Anglais par Émirats interposés ou des Sionistes et là encore par le truchement de la Turquie et d'Erbil. Ce qui fait que les Anglais auront où rattraper l'argent dépensé pour maintenir à flot l'économie outre Atlantique. Jusqu'où les Irakiens sont censé tolérer cette casse du siècle ? La réponse est claire . Ils ne le supportent de moins en moins.
Une base militaire turque située dans la région de Bamarni dans le comté d'al-Amedi du gouvernorat de Dahuk a fait l’objet d’une attaque aux missiles, ont rapporté les médias locaux de la région du Kurdistan irakien. Sur le même volet, une attaque aux missiles a visé ce mercredi le champ gazier de Khor Mor, dans la province de Sulaymaniyah, exploité par une société basée aux Émirats arabes unis. Plusieurs personnes ont été blessées dans cette attaque contre les installations gazières de Dana Gas.
Les attaques aux missiles et de drones dans la région du Kurdistan, principalement imputées aux combattants de la Résistance irakienne, ont récemment augmenté ce qui pousse les Américains, bandits en chef de redoubler d'agissements. L'armée américaine continue d' envoyer un nouveau convoi de camions transportant du matériel militaire et logistique de la province de Hassaké, dans le nord-est de la Syrie, vers leur base Harir dans la région du Kurdistan irakien, au nord de l'Irak.
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Une source de sécurité irakienne, s'exprimant sous couvert d'anonymat, a déclaré à l'agence de presse irakienne Al-Maalomah qu'un convoi de plus de 20 véhicules militaires et blindés Hummer ainsi que des camions chargés de denrées alimentaires et de logistique sont entrés en Irak mardi. Le convoi provenait d'une zone du nord-est de la Syrie, qui est contrôlée par des Forces démocratiques syriennes (FDS). Il s'est dirigé vers la base aérienne d'al-Harir dans le district de Shaqlawa de la région du Kurdistan après avoir traversé le poste frontière de Semalka.
Une source de sécurité a révélé samedi 18 juin que les forces américaines avaient déployé un système de défense aérienne sur leur base aérienne d'al-Harir. Cette base, située à 75 kilomètres au nord-est d'Erbil et à 115 km de la frontière iranienne, abrite des troupes américaines. Les Américains ont agrandi la base d'al-Harir en y construisant des abris souterrains et plusieurs entrepôts puisque le pétrole ils ne comptent pas s'en débarrasser mais ils seront y forcer. En février 2021, la base aérienne d'al-Harir a été attaquée par un groupe affilié à la Résistance irakien qui se fait appeler Saraya Awlia al-Dam. Un sous-traitant de la prétendue coalition anti-Daech dirigée par les États-Unis a été tué et au moins neuf autres personnes ont été blessées. Sabereen News a annoncé que six roquettes BM-21 Grad de 122 mm avaient visé le 31 mai la base d’Aïn al-Asad, située dans la province d’al-Anbar à l’ouest irakien. Et la lutte se poursuit
