Après le coup aérien raté de ce 7 juin contre Kiswa dans le sud de Damas où les missiles air-sol israéliens ont été interceptés et détruits à 90% , un fiasco qui a coincidé avec la reculade du Sultan Erdogan dont le ministre de la Défense a annoncé avoir reporté pour la enième fois consécutive son opértaion dans le nord de la Syrie visant à y établir une zone tampon ou ce qui revienta u même une zone "no fly" anti Russie, anti Syrie, le duo Israël/Turquie cherche-t-il un plan B? Des sources proches des terroristes syriens affirment que la Jordanie en collusion avec les Etats-Unis et Israël, s’emploie en ce moment même à réactiver les réseaux terroristes en Syrie sous forme d’un nouveau groupe. Et tout ceci, sous prétexte de la soi-disant lutte contre le trafic de drogue dans la région. L’armée syrienne et ses alliés ne restent pas les bras croisés? le ministère syrien de la Défense a annoncé un exercice aérien conjoint avec la Russie alors meme que le président Assad évoque la résistance acharnée contre les troupes d'occupation turques.
Que se passe-t-il dans le sud? Des sources d'information proches des groupes terroristes en Syrie rapportent que les États-Unis et la Jordanie coopèrent ensemble pour réactiver certains groupes terroristes dans le sud-est de la Syrie près de la base illégale d'al-Tanf.
Selon les sources sur le terrain dans le sud-est de la Syrie où se situe la base militaire illégale de l’armée américaine, al-Tanf, la Jordanie tente, sous prétexte de la lutte contre la drogue, de réactiver les cellules terroristes et d’en faire un nouveau groupe dans la région. Il s’agit d’un plan envisagé à l’origine par les Etats-Unis. Le journal en ligne libanais Al-Modon, citant une source militaire au sein du groupe terroriste Maghawir al-Thawra (un groupe directement sous la houlette de la CIA et du Pentagone), écrit que les États-Unis et les services de renseignement jordaniens ont tenu des réunions dans la base d'al-Tanf pour discuter de ce qu’ils ont nommé « la manière d'utiliser les groupes armés syriens pour contrer les menaces à la frontière ».
Le journal Al-Modon a d’ailleurs indiqué que les États-Unis continue à detenir la base d'al-Tanf spécifiquement pour faire face à ce qu'on appelle la « menace iranienne » et qui renvoie évidemment aux pressions qu'exercice la Résistance sur les troupes d'occupation US, pression que l'Amérique tolère trop difficilement et qui fait dire pas plus tard que ce mardi à l'US Air Force que les frappes anti -bases US en Syrie orientale étaient l'oeuvre des "soldats traîtres américains"
Selon des experts la réactivation des groupes d'opposition armés dans le sud de la Syrie est pourtant peu probables dans ces circonstances, mais que la région est toujours exposée à des changements significatifs sur les plans politiques et militaires, vu les nombreuses attaques menées par des groupes terroristes contre les forces de l'armée syrienne dont l’une des dernières en date a pris pour cible un centre de renseignement de l'armée syrienne dans la province de Deraa fin mai et y a fait 27 morts.
En riposte aux agissements du duo américano-jordanien, le ministère syrien de la Défense vient de faire part d’un exercice aérien conjoint avec la Russie ; c’est une première de ce type depuis le lancement de l’opération militaire russe en Ukraine. La zone couverte concerne outre le Golan occupé et le Nord de la Syrie, le Sud et le Centre, à savoir Homs et Deraa. Le ministère syrien de la Défense a annoncé que deux chasseurs russes Sukhoi-35 et six avions de combat syriens MiG-23 et MiG-29 se sont affrontés avec des avions de chasse et des drones simulés de l’ennemi fictif. Les avions de chasse syriens, soutenus par les chasseurs russes, ont affronté des chasseurs et des drones des ennemis hypothétiques. Le ministère syrien de la Défense a aussi expliqué que toutes les cibles simulées avaient été interceptées et complètement détruites, et que les cibles aériennes ont été bombardées pour la première fois la nuit. Il y a peu le roi jordanien accusait l'Iran et la Résistance d'activité illicite ce qui explique les récents agissements jordaniens. Juste après la manoeuvre conjointe l'entité s'est mis à s'agiter et à larguer des tracts à Quneitra façon de se montrer défensive mais la tentative US de faire ré impliquer la Jordanie au sein du duo Israël/Turquie prouve la limite du plan B américain.