51 missiles et roquettes palestiniens tirés du 18 au 20 avril, contre la bande côtière d’Israël depuis Gaza dont 4 s’abattant sur Nahl OZ, Kissoufim et Ashdod avec en filigrane un méga guet-apens tendu aux F-16 israéliens qui parfaitement inconscients de la métamorphose en cours dans le ciel du proche orient, décident sur l’ordre de l’état-major israélien de se jeter à l’aventure et de venir frapper les sites de lancement de missiles à Gaza mais qui, hébétés, se heurtent soudain à une DCA parfaitement surprise gazaouite que le monde entier analyse depuis 24 heures et qu’il croit n’être composé que de missiles sol-air 9K32 Strela-2 que la Syrie, le Hezbollah ou peut-être même un président Poutine en colère contre Israël, auraient livré aux Palestiniens !
Plus d’un analyste diraient que ce coup à Strela-2 relèverait du même principe de surprise qui a régi ces dernières semaines les opérations commandos anti-sionistes où les commandos équipés d’armes automatiques made in Israël ont surgi du néant en plein Néguev, Haïfa, ou Tel-Aviv pour liquider, les officiers israéliens « désignés », quitte à rendre encore plus boiteuse cette machine de guerre rouillée qu’est Israël. L’entité se trouve-t-elle désormais au centre d’un cercle infernal, d’un vaste plan de guerre « hybride » dont « l’Épée de Qods », « évasion de Gilboa », « Cisjordanie passée à la Résistance armée », « Autorité autonome effacée », « Palestine historique militarisée » ne seraient que des épisodes, plan fort complexe qui se trouverait toutes les trois ou quatre semaines à un tournant majeur?
L’un de ces tournants vient d’ailleurs d’avoir lieu cette nuit de 18 avril où les pilotes des F-16 israéliens qui, pris sous le feu des missiles sol-air gazaouite, ont dû se retirer du ciel de Gaza avant de procéder, façon de ne pas perdre la face, à des tirs à distance, n’ont pas eu que le Strela-2 à surmonter mais bien plus que cela. Selon certaines sources israéliennes, le feu anti-aérien aurait été suivi d’un verrouillage total sur les F-16, chose encore jamais vue du côté de Gaza.
Photo: le dispositif électro-optique Serraj-1
Remarquons que ce sont des dispositifs imperméables aux guerres électroniques, soit un avantage sur des radars qu’Israël en possède de toutes les couleurs et qui, eux sont si vulnérable aux brouillages et autres ondes de suppression électronique. Un dispositif comme « Serraj-1 » de conception iranienne pourrait faire parfaitement l’affaire, car capable de traiter les images et de reconnaître la nature du cible de jour comme de nuit , que ce soit un char, un avion voir un drone. Doté de cameras mobiles montées sur un châssis le Serraj-1 qui opère en soutien à la DCA y compris des missiles sol-air portatifs, peut aussi verrouiller puisqu’équipé de caméras laser d’une portée de 20 km.
Photo: la DCA Samavat et son radar
En Iran, ce "Serraj-1" a servi de base à une DCA de basse altitude baptisé "Samawat" qui est fort simple et qui n'est composée que d'un canon double de 35mm qui peut même être monté d'un radar. Tout ceci crée une puissance de feu de 1000 tir par second pour une altitude d'engagement de 3000 mètres largement suffisant pour abattre missile de croisière, de drones, de missiles air-sol. Cette fois, Gaza en est resté à Strela. Mais la prochaine fois pourrait bien être différent.
Avec tout ceci le tout dernier tournant de la guerre hybride que seule la Résistance est à même de mener contre l’entité et qui semble désormais avoir pénétré ses profondeurs tend à dépasser largement l’apparition d’un Strela anti-Israël en plein milieu du ciel d’Israël. Ce plan de guerre hybride consistera-t-il dans la prochaine phase à s’en prendre aux sites sensibles israéliens sans qu’il y ait un seul missile de tiré ?
Vidéo: affrontements en Cisjordanie entre les jeunes palestiniens et les Sionistes... une voix persane s'y fait entendre! (Via Twitter)
🇮🇷 Iran has sent to 🇮🇱 Israel, through European intermediaries, pictures/locations of all its biological, chemical and nuclear weapons storages that will be struck at the first military clash.
— Intelsky (@Intel_sky) April 18, 2022
Affrontement militaire ? Même pas besoin.
Car les alliés de l’Iran sont sur le terrain pour le faire bien à sa place. Après tout les déboires sécuritaires de ces dernières semaines serai-il trop difficile de pénétrer Dimona ou Tel nof, ce centre où l’entité produit 10 à 15 bombes atomiques par an, similaires à celles utilisées à Nagasaki, au Japon sur un total de plusieurs centaines d’ogives nucléaires qui peuvent être utilisées dans des missiles balistiques, des navires de guerre et des avions.
Vidéo: la DCA de Gaza tirée sur les F-16 israéliens, le 18 avril. (Via Twitter)
Où le régime fabrique des bombes biologiques contenant les bactéries et les virus qui entraînent la propagation de maladies, telles que la bactérie de la peste noire et le virus mortel et autres maladies inguérissables, là l’entité fait l’expérience sur des armes biologiques propre à détruire le système immunitaire de l'organisme. L’Iran sait qu’à Gaza et au Liban, l’entité a déjà utilisé des armes biologiques qui ne semblent pas nuire au corps humain, mais traversent les tissus et les principaux organes du corps tels que les reins, le foie et les os et qui contaminent le sang et les vaisseaux sanguins, causant maladies incurables. Eh bien un plan de guerre hybride pourrait consister à bousiller ce genre de site pas forcément à coup de missiles et de drones mais à l’aide de ceux des alliés qui ont pris de court l’entité par leurs superbe Strela-Serraj-1.