Le représentant de l'Iran auprès de l'Agence internationale de l'énergie atomique a mis en garde contre toute action non constructive de cette instance. L'AIEA et les organes affiliés ne peuvent pas se soustraire au sort de l'accord nucléaire.
Kazem Gharibabadi, ambassadeur et représentant permanent de la République islamique d'Iran auprès de l'Agence internationale de l'énergie atomique, a tweeté au sujet des développements liés à l'AIEA et à la réunion du Conseil des gouverneurs de la semaine prochaine : « Dépolitisation, indépendance, impartialité et professionnalisme, sont les principes essentiels pour maintenir la crédibilité de l'Agence et gagner la confiance de ses pays membres. »
« L’agence devrait travailler dans le but du renforcement des coopérations et des interactions, pas dans le but de susciter la méfiance au sein des pays membres », a-t-il ajouté.
Selon le représentant iranien, l'Agence internationale de l'énergie atomique et ses organes directeurs ne peuvent pas se soustraire au sort de l'accord nucléaire. Toute action non constructive perturbera le processus de négociation. Il a espéré que la rationalité prévaudra lors de la réunion du Conseil des gouverneurs de la semaine prochaine : Coopération contre coopération ; Bonne volonté contre bonne volonté ; Action contre action
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Réagissant au rapport de Rafael Grossi, directeur général de l'AIEA, le représentant permanent de l'Iran a conseillé ce mardi 7 septembre à l'organisation de maintenir son indépendance, son impartialité et son professionnalisme. « Personne ne peut exiger l'arrêt des activités nucléaires de l'Iran », a-t-il déclaré.
Rafael Grossi avait prétendu mardi soir que les activités de l'AIEA en Iran avaient été gravement affaiblies. « Je suis de plus en plus préoccupé par le fait que les problèmes liés aux sites non déclarés restent non résolus », a-t-il déclaré.
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