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Israël panique : méga déroute de l'US Air Force/Armée de l'air sioniste dans le ciel du Moyen-Orient s'achève à Kaboul

Un B-52 en train de bombarder Kaboul/Twitter

Ces B-52 US, en décollage permanent ces derniers jours à destination de l'Afghanistan et ce depuis la base aérienne d'al-Udeid au Qatar que les Américains disent avoir partiellement évacuée vers le nord du royaume de la Jordanie, quitte à bunkériser Israël pour qu'à la prochaine guerre entité sioniste/Résistance, ce qui s'est produit en mai ne se reproduise plus et que les "Ababil-3" ou les "Mohajer-6" "irakiens" ne percent pas si allègrement le ciel de la Jordanie, bien qu'il soit placé sous dite "protection des batteries de missiles Patriot" et de s'abattre quelque part comme dans cette colonie sioniste de Beit Shean, devraient, à l'heure qu'il est, faire bien peur aux Sionistes. Pourquoi?

Tout au long de 2020 puis 2021 et à mesure que les tensions aériennes et navales s'amplifiaient entre l'Amérique Trump-Biden d'une part et l'axe de la Résistance de l'autre, l'entité sioniste brandissait plus fréquemment la menace d'une campagne aérienne sans pitié contre les sites nucléaires iraniens mais encore contre les bases de la Résistance irakienne en Syrie à coup de B1 et B 52. A plus d'une reprise, l'ex-président US a tourné et retourné ses vieux bombardiers, tout comme son successeur, à Diego Garcia en océan Indien, ou les a fait atterrir en alternance aux Emirats et au Qatar pour faire peur à l'Iran, en particulier et aux Résistants ouest-Asiatiques en général.

Ce faisant, l'entité se targuait même d'être le coqueluche du camp pro-US, partie à qui est revenu le "privilège" d'avoir des chasseurs de  5e génération, F-35, dit furtifs, chasseurs que même les accords d'Abraham n'ont pas pu "golfiser", chasseurs à l'aide de quoi, Israël promettait, une fois le jour J venu, de frapper Natanz, Fordo, Téhéran, voire les silos très diffus à missiles sous terrain iraniens dont le contenu composé de milliers de missiles et de dizaines de gamme différente et on pense à  Shahab, à Sejjil, à  Dezfoul,  à  Zolfaghar Mobin, à Emad entre autres, sont braqués sur la minuscule entité sioniste.  Or depuis quelques heures, le B-52 a trahi Israël tout comme l'avait fait en mai le F-35 Adir , quand, il s'est  fait prendre dans le filet d'un "radar inconnu" pour l'armée israélienne et que son pilote s'est vu même "être verrouillé" par une espace de "missile intercepteur", alors que le chasseur était en pleine campagne de largage de missiles JDAM et GBU sur Gaza.  Le 25 mai, soit 4 jours après l'entrée en vigueur de al trêve Israël/Gaza, le commandant en chef de l'armée de l'air d'Israël,  Amikam Norkin, toujours sous le choc, a reconnu ce "terrifiant épisode" en affirmant au journaliste de la chaîne 12 que "Gaza a de quoi abattre nos bases militaires et nos chasseurs" ! 

Après cette effrayante défaite que les stratèges militaires du CentCom désormais largement installés en Israël, ont comparé au mystérieux crash de ce F-22 Raptor en 2013 dans le ciel de la Jordanie, Israël misait tout sur B 52. A tort : des informations en provenance de Kaboul que contrôle depuis quelques heures les talibans fait état des résultats particulièrement mitigés pour ne pas dire catastrophiques de ces "bombardiers mythiques" à la fois en termes de précision et d'efficacité. Et dire que ces 10 derniers jours et à travers des centaines de sorties Al-Udeid-Afghanistan, dont l'une les a même conduits près des frontières du sud-est iranien avant de coûter au pilote un verte avertissement de la DCA iranienne, les B-52 US cherchaient à "terroriser" l'Iran, à lui faire entrevoir la "possible riposte aérienne à venir" et ce, en représailles  à la tonitruante attaque au drone du 29 juillet contre le navire israélien "Mercer Street"!  

Des sources russes qui, collées aux écrans, suivent depuis des jours des mouvements des bombardiers stratégiques B-52 de l'US Air Force font savoir le monumental ratage qu'aura été la campagne de B-52 contre Kaboul. Alors que les troupes US au sol avaient coupé le courant d'électricité de la capitale pour éviter toute éventuelle réplique anti-aérienne, les bombardiers ne cessaient de bombarder. et comment? 

Bombardement de Kaboul par les B-52 américains, le 15 août 2021. ©Twitter

"Avant que les talibans ne se préparent à prendre d'assaut la capitale afghane, les États-Unis ont tenté de prendre la tête de l'offensive militaire en déployant au moins un bombardier stratégique B-52 pour attaquer les positions des miliciens. Néanmoins, il s'est avéré que, pour une raison impensable, le bombardier a raté plusieurs kilomètres, ne détruisant que quelques bâtiments délabrés et n'éliminant aucun taliban. Le B-52 Stratofortress n'a détruit que quelques granges avec son coup puissant. Aucun des talibans n'a été même pas blessé. Dans le contexte de l'apparition de telles informations, les forces stratégiques américaines ont été qualifiées d'absolument inutiles, car si un bombardier stratégique ne peut pas atteindre ses cibles avec succès, il n'a aucune efficacité réelle.  En fait, les États-Unis ont démontré l'inutilité totale de leur B-52, manquant les militants avec une erreur de frappe plusieurs  kilomètres. Que peut-on dire des capacités de cet avion dans des conditions de combat réelles, quand, en plus des systèmes de défense aérienne, de puissantes interférences radio-électroniques sont également installées », a déclaré le réseau de microblogging Twitter cité par Avia.pro.

Et d'ajouter : "Malgré le transfert de plusieurs milliers de soldats américains à Kaboul, les talibans ont réussi à s'emparer de la capitale afghane en seulement 4 heures. Malgré le transfert de plusieurs milliers de soldats américains à Kaboul, les talibans ont réussi à s'emparer de la capitale afghane en seulement 4 heures. Dans le même temps, l'armée américaine était prévenue qu'en cas d'intervention, ils seraient complètement détruits."

Vidéo: Vastes incendies à Qods occupé/twitter 

Quelle pourrait la réaction de l'entité à une si grande déculottée? Ce lundi matin très tôt c'est un ex-ministre sioniste de la Guerre qui pousse le premier cri de désespoir sans aller jusqu'à reconnaître en effet que ce qu’Israël pleure est moins le vrai faux retrait US de l’Afghanistan ou du Moyen-Orient que la perte d'une "carte stratégique maîtrise" du camps Us à savoir "une force aérienne capable de changer la donne" .

Ce matin, le Sioniste Moshé Yaalon a posté un tweet dans lequel il déclare que "malgré la grande distance entre l'Afghanistan et Israël, le retrait américain et la prise de contrôle des talibans auront des répercussions sur la position américaine au Moyen-Orient et sur la sécurité d'Israël. Les médias afghans ont rapporté que le président "Ashraf Ghani" a quitté le pays pour l’Ouzbékistan, alors que les talibans sont à la périphérie de la capitale, Kaboul."

Et Yaalon de rappeler aux responsables israéliens cette phrase fatidique : "Il vaut certes mieux pour Israël que les autres s’engagent dans cette crise mais qu’il faut aussi que Tel-Aviv s’apprête à s’affronter des dangers similaires". Israël s'attend-il à une chute de Tel-Aviv et de son aéroport dans la foulée d'une offensive multifront étendue du nord à savoir le Liban et la Syrie, au sud c'est à dire à Gaza, offensive qui aurait évidemment un aspect naval vu que la Résistance est présente en mer Rouge et en Méditerranée?

La chute des bases US en Afghanistan qui se sont effondrées comme un château de carte, la prise de la capitale afghane en 4 heures par les talibans puis la très probable reconquête de l'aéroport de Kaboul où quelques milliers de soldats US sont positionnés et quelques milliers d'autres attendus, ne peuvent de pas placer l'entité sioniste face à une pareille perspective.

Le F-22 abîmé 2013 dans le nord de la Jordanie/twitter

Surtout que pour ce dimanche et pour la première fois, l'entité a reconnu "avoir perdu un drone" dans le ciel de la Syrie, soit quelques jours après qu'un drone du Hezbollah "avait violé" le "ciel du nord d'Israël" simultanément à un méga incendie se déclarant sur la base de Kiryat Shmona en Galilée Nord, l'une des bases les mieux lotis de tout Israël où le Dôme de fer est intégré par le Patriot US déployé au Golan. Le porte-parole de l’armée israélienne dit ce matin que l’incident avait eu lieu samedi en raison d’"une panne technique". Sans évoquer le modèle du drone abattu, il précise aussi qu’il "n’y avait pas d’inquiétude concernant les renseignements que contenait le drone". Comme toujours mais sans convaincre.

Car c'est le quatrième drone israélien abattu, depuis une semaine si on compte celui, abattu le vendredi 13 août, au Liban et que l’armée sioniste a prétendu avoir été en "mission routine" ou encore cet autre autre drone israélien, un Sky Rider, intercepté et chassé le 11 août par les  jeunes Palestiniens dans le nord de la Cisjordanie ou cet autre appareil, localisé le même jours dans le  nord de la bande de Gaza.

Autant de drones ayant fait crash pour cause de "panne technique" et qui ne font rien que partir pour se balader sas avoir à accomplir une mission précise, alors bonjour les dégâts pour le secteur aérospatial israélien! Au fait ce secteur avec toutes les fausses légendes qui l'entoure n'aura jamais été grande chose quand les gueux des talibans mettent au pas ses B-52 ou des va-nu pied de Gaza interceptent ses F-35. Et croyez-nous, ce déclin ne date pas de 2019, date à laquelle la Résistance yéménite a menacé l'une des opérations aérospatiales les plus complexes de l'histoire moderne à la faveur d'un essaim de 21 drones à lancer contre les raffineries d'Aramco et qui au contraire des B-52 US ont été follement précis, follement furtifs au point d'abattre le système d'extinction de feu d'un réservoir de milliers de mètre cube sans apparaître aucun radar. Ce F-22 Raptor que l'US Air Force a perdu en 2013 dans le ciel du nord de la Jordanie, Américains et Israéliens ont tout fait pour l'oublier. Mais ils avaient tort:  à l'époque ils ont dit que le coup venait du S-300 syrien sans trop y croire, la Russie n'ayant jamais levé son veto sur ses superbes DCA.  

Mais désormais l'axe US/Israël ne devrait avoir aucun doute : c'était la Résistance et ses radars et ses moyens de guerre électronique qui les surveillait à l'époque, alors même qu'il était sûr de gagner. Avec quoi? On ignore mais ce pourrait être le système Sepehr-110, dévoilé en 2019 et destiné à l'origine à répondre aux besoins de communication des commandants à différents niveaux stratégiques, opérationnels, tactiques et martiaux et dans diverses conditions défensives ou offensives ainsi qu'en cas de crise et d'incident imprévu surtout qu'il dispose de plusieurs couches de communication pour la sécurité, les télécommunications HF et les communications urbaines, locales et régionales, y compris v/uhf, numérique, sécurisé, multibande, multicanal, DS, FH, Adhoc, Cellular, Résistant. On l'utilise aussi pour commander de façon « synchrone »  des quartiers généraux (de la Résistance ?) des troupes et des brigades.

La possibilité de connecter tous les composants d'un système de défense à la transmission instantanée et rapide de la messagerie via des «communications» permet d'établir un processus complet de commandement, de contrôle entre les différents niveaux de tactique, d'opérations et de stratégie. C'est merveilleux pour des guerres multifront d'autant que Sepehr-110 peut aussi brouiller les télécommunications, qu'il est un anti-GPS et un anti-Radar choc.... et partant un anti-F 22, un anti-B 52 un anti-F 35 peut-être... 

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SOURCE: FRENCH PRESS TV