Le troisième tour de négociations de paix syro-syriennes s’est ouvert le mardi 14 mars à Astana au Kazakhstan, alors que le porte-parole des opposants anti-Assad, Oussama Abou Zeid, a démissionné.
La Russie, la Turquie et l’Iran supervisent les pourparlers d’Astana, au cours desquels les représentants du gouvernement syrien et de l’opposition mènent des négociations.
Téhéran et Moscou font partie des alliés du gouvernement syrien, alors qu’Ankara apporte son soutien aux opposants armés.
Pendant les deux derniers mois, Astana a été l’hôte de deux séries de pourparlers inter-syriens.
Leila Mazboudi, rédactrice en chef de la télévision libanaise Al-Manar, répond à nos questions à ce sujet.