Alors que le régime sioniste est toujours dans le choc d’être ciblé par un missile balistique en provenance de Syrie qui a touché le site nucléaire de Dimona, des sources d'information sur les territoires occupés ont fait état des cyberattaques généralisées contre le régime à travers le monde.
Les médias israéliens ont rapporté que les mots de passe des milliers de courriels des employés de la fonction publique du régime avaient été publiés sur les réseaux virtuels.
Après s’être infiltrés dans la base des données publique (gov.il), les hackers ont volé au moins 100 gigabytes d’informations.
The Marker, journal économique affilié à Haaretz, a déclaré dans un rapport que six mois après une forte vague de cyber-attaques contre 80 entreprises israéliennes, une nouvelle vague d'attaques aurait recommencé.
La société logistique israélienne « Veritas Logistics » figure parmi les dernières victimes ayant été la cible d’une cyberattaque. Les pirates ont menacé de publier 9 gigabytes d'informations sur les réseaux virtuels, à défaut du non-paiement de la rançon de 3 bitcoins jusqu’au 3 mai.
Un expert sioniste en cyberattaque a accusé les hackers iraniens d’être impliqués dans cette affaire, affirmant qu’ils ont mis en œuvre la version actualisée de la méthode utilisée lors des attaques ayant eu lieu en novembre dernier.
C’est dans ce contexte que le régime sioniste a prétendu qu’à l’occasion de la journée mondiale d'al-Qods, des hackers à travers le monde lanceraient des cyberattaques coordonnées contre ce régime.
Par ailleurs, la cyber-administration israélienne a affirmé, pour sa part, qu’à l’occasion de la Journée mondiale de Qods, des pirates informatiques du monde entier lanceraient des cyber-attaques coordonnées par l’Iran contre le régime sioniste.
« Les estimations montrent que cette année, les sites web ne sont pas les seuls à faire l’objet des attaques », a déclaré l’administration dans un communiqué avertissant contre les tentatives d’endommager les systèmes d’information des organisations israéliennes.