Le Premier ministre Édouard Philippe a promis aux Français d’être sans pitié : une répression qui se complexifiera, se durcira et ne laissera plus aucune marge de manœuvre aux « ultras », d’après ses propres termes.
Le préfet de police de Paris, visiblement hostile à la répression « sanglante », vient d’être limogé pour être remplacé par Didier Lallemand, préfet de Bordeaux, qui s’est distingué ces derniers temps par ses décrets en faveur d’une répression sans pitié des manifestants.
Comment analysez-vous cette mise en garde du gouvernement français ?
Alexandre Beauvais-Chiva, un Gilet jaune, qui a d’ailleurs rencontré le président français et l’a interpellé sur le grand débat national, s’exprime sur le sujet.
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