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Syrie: les zones de désescalade favorisent les opérations antiterroristes

US Rep. Ilhan Omar (D-MN) (L) talks with Speaker of the House Nancy Pelosi (D-CA) during a rally with fellow Democrats before voting on H.R. 1, or the People Act, on the East Steps of the US Capitol on March 08, 2019 in Washington, DC. (AFP photo)
Le septième tour des pourparlers de paix sur la Syrie à Astana, au Kazakhstan, le 31 octobre 2017. ©Reuters

Le ministre des Affaires étrangères du Kazakhstan a déclaré que l’établissement des zones de désescalade en Syrie avait accéléré les opérations antiterroristes.

Au deuxième jour du nouveau tour des pourparlers de paix sur la Syrie à Astana, le ministre kazakh des Affaires étrangères Kairat Abdrakhmanov a déclaré, ce mardi 31 octobre, que l’établissement des zones de désescalade en Syrie avait renforcé le cessez-le-feu dans ce pays.

« L’établissement des zones de désescalade en Syrie rend plus facile et plus rapide l’éradication des terroristes de Daech et du Front Fatah al-Cham », a-t-il souligné.

Le chef de la diplomatie du Kazakhstan a précisé que la crise en Syrie ne serait réglée que par une solution diplomatique et que l’option militaire n’aiderait en rien.

Le ministre kazakh des Affaires étrangères Kairat Abdrakhmanov. © azertag

Selon les médias turcs, les négociations ont échoué entre les représentants du gouvernement syrien et ceux de l’opposition au sujet des prisonniers.

La chaîne de télévision libanaise Al-Mayadeen a rapporté que la délégation de l’opposition avait demandé au président du Kazakhstan d’assurer une médiation à ce propos.

De nouveaux pourparlers de paix sur la Syrie se sont ouverts, le lundi 30 octobre à Astana, la capitale kazakhe, en présence des représentants de Turquie, de Russie et d’Iran.

Les pourparlers visent à rendre le terrain propice à la conclusion des accords ayant été finalisés pendant les dernières réunions. Ils portent notamment sur la libération des prisonniers et des questions humanitaires.

Participent aux négociations d’Astana les délégations iranienne, turque, russe, les représentants du gouvernement syrien et de l’opposition, une délégation de l'ONU ainsi que les représentants des deux pays observateurs, la Jordanie et les États-Unis.

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SOURCE: FRENCH PRESS TV