Des sources médiatiques ont rapporté, vendredi 4 novembre, l'escalade des tensions dans la péninsule coréenne et le vol de nombreux avions de combat nord-coréens.
Dans ce même sujet, l’agence de presse Yonhap a rapporté citant l’état-major général des forces armées sud-coréennes qu’environ 180 avions de combat nord-coréens ont été détectés par les systèmes radars sud-coréens.
Le ministère de la Défense de la Corée du sud a annoncé que des avions furtifs de ce pays se sont immédiatement envolés pour affronter les avions de combat nord-coréens.
« Toute attaque nucléaire contre les États-Unis ou leurs alliés et partenaires, y compris l'utilisation d'armes nucléaires non stratégiques, est inacceptable et entraînera la fin du régime de Kim », a déclaré, jeudi 3 novembre, le ministre sud-coréen de la Défense Jong-Sup Lee lors d’une conférence de presse conjointe avec le secrétaire à la Défense des États-Unis Lloyd Austin.
Ces derniers jours, l'armée de l'air nord-coréenne a fait voler 150 de ses chasseurs dans le cadre d'un exercice majeur.
L'armée de l'air nord-coréenne a effectué un entraînement intensif dans le cadre de cet exercice, et malgré le manque de carburant pour les avions, de nombreux appareils ont participé à l'exercice.
Le dirigeant nord-coréen Kim Jong-un et les responsables de l'armée de l'air ont dirigé les exercices militaires sur place.
Saluant les pilotes de chasse du pays, l'agence de presse d'État nord-coréenne les a qualifiés de « courageux ».