Cette vidéo virale qui fait depuis 48 heures le tour des médias sociaux et où on voit un officier des forces spéciales sionistes parmi plusieurs autres prendre lamentablement la fuite après s’être heurté au déluge de caillou et roc et prendre la fuite au point de laisser ses bottes derrière lui, cette vidéo résume à peu près dans quel état se trouve l’entité depuis le commandant en chef du CGRI iranien qui tire fierté de ce que l’Etat yankee l’Amérique ne le déblakliste pas a confirmé la nouvelle d’une généralisation de la lutte armée dans une Cisjordanie qui se réarme. Lors d’un récent discours, le général Salami s’en est allé jusqu’à tracer les grandes lignes de ce qui est selon lui la quintessence de toute guerre anti-Israël, à savoir une vaste opération terrestre qui lancée à la fois depuis le front nord et sud finisse par provoquer la fuite de laisse des colons sionistes que rien ne rapproche vraiment si ce n’est la promesse de gagner trop d’argent fait par l’Agence juive :
"Ceux qui connaissent la logique de sécurité des Sionistes, savent bien qu'ils ont tout fait pour rendre impénétrables les frontières de la Cisjordanie, en assiégeant complètement les régions de peuplement palestinien et en confinant des colonies dans des murs, mais que malgré le siège extrêmement complexe, la Cisjordanie se réarme et une multitude d’armes y sont fabriquées et distribuées. Une telle capacité a germé à l'intérieur des terres palestiniennes ou autrement dit, elle n'est pas transmise de l'extérieur, mais les Palestiniens ont réussi à atteindre ce stade grâce à leurs propres potentiels. Et c'est cela le plus mortel pour Israël. En effet, la Résistance palestinienne et le Hezbollah libanais disposent de piliers très solides car dotée de force terrestre. C'est cette force terrestre en Palestine et au Liban qui a la capacité de contrôler complètement l'équation et de décider de la survie et de la mort d'Israël dans une bataille à venir; Le Hezbollah libanais, s'appuyant sur l'expérience, la confiance en soi, les connaissances, les compétences, l'équipement et les techniques qu'il a acquis lors de la bataille en Syrie contre les takfiris, peut mener une guerre terrestre à grande échelle avec à la clés une victoire franche. Quant aux Palestiniens ils sont eux aussi prêts à une bataille terrestre d'envergure."
Et le général d’ajouter : Le talon d'Achille de l'entité c'est cette bataille au sol dont la multiplication des opérations commando anti-Israël prouvent qu’elle est capable d’en conduire une de façon à ce qu’elle aboutisse. Au fait la bataille des missiles est une bataille statique où à part les engins qui paralysent localement le quotidien tout le reste se poursuit. Or dans le cadre d’une bataille terrestre.
Ce scénario est-il en phase préparative? Ce jeudi, une énième bataille de rue a écalé entre les terroristes israéliens d’une part et les combattants de Jenine avec en toile de font un blessé grave côté militaire israélien. A peine 18 jours après l’entrée en vigueur d’une trêve qu’Israël a mendié à l’Egypte au bout de trois jours d’intense bataille balistique qui s’est soldé le 7 août par une première bague de désertion telle que l’imagine le général Salami quand les colons ont pris des cars blancs pour fuir Sderot, les médias ont fait état d’une de violents affrontements à Ramallah, à Tulkartem et Qods occupé affrontements où les Palestiniens ont réussi sur tous les fronts à repousser les Sionistes.
C’est d’ailleurs une constance désormais que de voir les blindés israéliens déserter les lieux soit sous les rafales de balles soit sur le déluge des briques. Parallèlement à cette évolution qui s’est accélérée curieusement après l’opération « Unité des tranchées », le Jihad islamique de la Palestine a tenu un exercice militaire ce jeudi axé sur le facteur terrestre. Ainsi, outre des missiles ont brillé par leur première apparition publique des lance-roquettes des brigade d’al Qods ce mercredi dans les rues de Gaza, signe que ce tournant terrestre est désormais une constance, que la Résistance palestinienne y travaille assidûment mais elle y travaille de façon objective
. En ce sens que l’idée d’une offensive terrestre ne saurait gagné sur le front sud si elle n’est pas combinée à une action parallèle sur le front nord. Et c’est ainsi que les rencontres de moins en moins espacé espacées entre Nasrallah et Nakhalah (secrétaire général du JIP) gagne en importance. De 5 à 7 août le JIP a réussi à cibler 58 localités et colonies sionistes et à en évacuer un (Sderot) et à en paralyser de 50 à 100 pc quatre autre dont Ashkelon et Ashdod et Eshkol. Au point que ce qui est communément appelé « Enveloppe de Gaza » a désormais mal à se remplir quitte à pousser l’entité à mettre sur la table de projet d’investissement fous genre ce que rapporte Ynet et qui consiste à « un projet à la frontière avec l'Égypte et à la frontière de la bande de Gaza - grâce auquel une grande quantité d'électricité verte peut être produite, sans émissions de gaz à effet de serre ».
La première brigade de l'unité Radwan prendra le contrôle de la ville de Nahariya ou des parties de cette-ci après avoir traversé la frontière dans la région de Rosh Hankara. Le Hezbollah sait que des mesures défensives dans cette zone sont peu nombreuses et la distance est courte et il n’y a pas de mesure militaires ou de terrain spéciale qui empêchent cette brigade d’atteindre ses objectifs. Une force de 150 combattants peut arriver à Nahariya par voie maritime et utilisant des vedettes rapides.
La tache confiée à cette force sera de prendre le plus grand nombre possible de captifs pour empêcher Israël de bombarder les forces du part dans ce secteur. Puis tombera la colonie de Shlomi avec 6500 habitants située à 300 km des frontières colonie à plusieurs reprises visée e par des roquettes ces derniers mois. L’objectif est simple. ? Le Hezbollah cherchera à couper les voies d’acheminement de l’aide à l’armée israélienne et de contraindre à transférer des renforts de l'est vers des zones de la Haute Galilée, exposées aux missiles.
La troisième brigade entreprend la tâche d'atteindre la colonie de Karmiel et de s'emparer des zones au sud, pour empêcher le trafic d'Acre vers la ville de Safed. La quatrième brigade prendra en charge la zone des colonies : Al-Malikiyah, Ramot Naftali et Petah, pour empêcher l'armée israélienne de tirer depuis ces zones vers le sud du Liban .La cinquième brigade agira comme une réserve stratégique qui se verra confier des tâches spéciales. Reste à savoir si le gourou a bien tenu compte oui ou non du principe de surprise si essentielle à tout projet militaire de la Résistance
