Et si le coup de l’aéroport de Damas n’était après tout qu’un piège tendu à l’entité sioniste où elle serait tombée la tête en avant ? Les informations en provenance de la Syrie font état ce mercredi matin 22 juin, de la remise en état rapide des deux pistes nord et sud dévastées le 11 juin et ce, à l’aide des matériaux uniques anti-raids qui en permettrait non seulement l’ouverture en moins de 15 jours mais encore le réarmerait contre même les missiles hypersoniques, ce qui ferait du raid israélien une histoire passé. Puis ce raid où l’entité s’est servie pour la première fois, des missiles hypersoniques à guidage satellite comme pour reconnaître l’échec de sa campagne de guerre dans la guerre face à une DCA syrienne unique au monde rien que par ses taux d’interception allant au-delà de 90 pc, aura été le summum de la puissance aérienne qu’Israël a pu mobiliser au bout d’un mois d’exercice intense aux dimensions internationales, dit « Chariots de feu ». Au-delà, disent les experts, il n’y aurait que de mini bombes nucléaires que l’entité fabrique d’ailleurs en toute quiétude quelque part au Néguev, si on se fie aux fuites de 2019 de la presse américaine qui rapportaient avec force détails, les images d’un Dimona en pleine reconstruction où Israël faisait remplacer déjà à l’époque les unités à uranium par des unités à tritium.
À Damas Israël va-t-il toucher sans le savoir ses limites capacitaires sous les yeux scrutateurs d’un axe de la Résistance, déterminé à le prendre au tournant et à faire en sorte que sa campagne de guerre dans la guerre, géostratégiquement stérile se retourne à tous points de vue contre elle, ce qui est déjà le cas politiquement avec une résolution anti-Israël russe, à soumettre d’ici peu au Conseil de sécurité ?
Depuis le vendredi 19 juin, il y a trop d’indications qui se succèdent et qui nous conduisent à la réponse. Car, mine de rien, ce ballon-espion qu’un certain groupe de hackers visiblement bien assis à Gaza, a fait sauter au-dessus du passage d’Erez non loin de Khan Youness et qui avait sur lui, caméras, fibres optiques et dispositifs de transition n’avait rien moins qu’une pièce faisant partie de la DCA intégrée d’Israël qui comme chacun le sait, se compose de 12 batteries de Dôme de fer dans sa première couche. D’ailleurs dans son communiqué, l’armée sioniste qui s’efforce de cacher sa stupéfaction en répétant que l’engin ne contenait rien de grave en reconnaît le réseautage avec touts les autres dirigeables éparpillés sur le front nord ou sud d’Israël. Idem pour ces sirènes d’alarme toutes liées aux radars de la défense aérienne que les sionistes ont vu ce samedi 20 juin retentir de toute part et simultanément dans pas moins de cinq grandes villes et ports d’Israël soit à Qods, à Eilat, à Holon, à Ashkelon et à Ashdod, quitte à pousser pendant 50 longues minutes plus de 50 000 colons, dans des abris sous terrains.
N’est-ce pas là des préparatifs d’une opération de guerre d’envergure à venir ? Peu d’analystes tendraient à y répondre par négation s’ils auraient assez de tact pour y inclure aussi le nombre d’incendies « accidentels » ayant frappé ces dernières semaines les sites énergétiques et infrastructurelles et militaires sensibles d’Israël étendus entre Haïfa au Nord, Néguev au Sud en passant par la région de Tel-Aviv. Et Histoire de compléter le prélude cyber à une guerre totale qui se prépare, une agence de presse locale israélienne rapporte de nombreuses perturbations et des coupures de courant dans la ville de Yahwe et dans d’autres villes d’Israël : «La compagnie d'électricité du régime sioniste a annoncé dans un communiqué que « les lignes électriques seront coupées aujourd'hui à la demande des pompiers en raison de l'incendie ». « On comprend vos sentiments. Il y a des cyberattaques à répétition, la mise hors service des réseaux de la bourse, et de l’électricité… La compagnie d'électricité ne fournit pas de services. Cela s'est produit non seulement à Yahwe, mais aussi dans la plupart des villes », dixit le maire de la ville qui rapporte certains habitants qui auraient signalé sur les réseaux sociaux qu'il y avait des coupures de courant quotidiennes ainsi que l'odeur forte et gênante des produits chimiques dans la ville.
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Mais en termes de signes précurseurs, il y en a encore de plus inhabituel, soit cette révélation de The Guardian qui citant les sources sécuritaires sionistes évoquent « l’infiltration d’agents inconnus » via l’application de fitness Strava au cœur des bases militaires les plus secrets d’Israël. The Guardian écrit : « Des agents non identifiés ont utilisé l'application de suivi de la condition physique Shadowy Strava pour espionner les membres de l'armée israélienne, suivre leurs mouvements dans des bases secrètes à travers Israël et les observer potentiellement lorsqu'ils parcourent le monde pour des raisons officielles. En plaçant de faux « segments » en cours d'exécution à l'intérieur des bases militaires, l'opération - dont l'affiliation n'a pas été découverte - a pu garder un œil sur les personnes qui s'entraînaient sur les bases, même celles qui ont appliqué les paramètres de confidentialité de compte les plus stricts possibles. »
Et les scénaristes de guerre ultime, ceux-là qui pourraient avoir bien planifié le piège de l’aéroport de Damas projetaient d’infiltrer non pas Nevatim, Palmachim, Hatzerim où Israël amasse ses F-35, ses F-16 et ses autres gadgets aériens, mais à Sdot Micha où les armes nucléaires israéliennes sont stockées en sous-sol ? Remarquez que cela fait plus d’un an qu’ils s’y préparent. Le 20 avril 2021 peu avant la première méga bataille balistique de toute histoire, Épée de Qods, la super usine de Tomer avec ses 540 employés et où se fabrique les moteurs de Shavit ou les missiles antimissiles Arrow, les lance-fusée… Bref tout ce que pourrait servir d’une façon ou d’une autre à l’extension du programme nucléaire israélien avec comme base des ICBM Jéricho, explosait. D'impressionnantes images de l’incendie qui s’en sont suivi et qui n’ont pas tardé à envahir la toile avaient poussé Tel-Aviv à inventer une abracadabrante histoire comme quoi l’explosion serait due à un test contrôlé. Personne n’y a cru et on a soupçonné une première atteinte contre l’arsenal balestico-nucléaire d’Israël.
Exercice balistique de Gaza, 20 juin 2022 avec le tir des missiles antinavires/twitter
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Ce qui fait qu’un premier coup Iran-allié contre Israël pourrait s’avérer bien plus fatale que ce qu’il n’apparaît. Façon d’éviter de gaspiller les missiles sol-sol et de faire exploser Israël de l’intérieur…
