Et si c'étaient des drones qui faisaient sauter Israël du Nord au Sud en passant par le centre ?! Après tout, ce 18 février au soir, en Galilée Nord, non loin de Safad, cette zone ultra sensible qui abrite une dizaine de bases militaires dont deux, aériennes, un drone de type Hassan du Hezbollah s'est infiltré avec en toile de fond un premier clash contre un missile intercepteur Tamir vaincu, puis un F-16 israélien lui aussi vaincu et enfin une nuée d’hélicoptères Apache qui avaient cru d'abord avoir eu la peau du drone, mais qui avaient fini par comprendre qu'ils l'avaient manqué ; le drone a finalement échappé aux Apache sionistes pour gagner sa base d'attache au sud du Liban. Puis ces feux qui ne s'arrêtent pas depuis le mois d'avril en Israël cela pourrait être d'autant plus l'œuvre des drones du Hezbollah que la Résistance libanaise est en état de pré guerre avec le régime, celui-ci ayant littéralement violé les frontières maritimes du Liban en envoyant des navires greco-british sur le champ gazier de Karish ce qui lui a valu un sévère avertissement du Hezbollah.
Avouons que ce n'est pas normal. Dans la nuit de vendredi à jeudi, 11 des sources d'information palestiniennes ont fait part d’une puissante explosion dans le nord-ouest de la noble Qods qui a secoué le quartier de Wadi Saqiya à Qods occupée. La censure médiatique a empêché la diffusion de l'information, mais le site d’information Palestine Today a cité des sources locales disant que le bruit était lié à l'explosion d'une bombe qui mythe de la Terre élue oblige, « n'avait laissé qu'aucune victime ».
Et la saga continue. Tout à l'heure alors même que la Grèce vient officiellement annoncer que les bateaux de forage à Karish ne lui appartiennent pas histoire de se mettre à l'abri des foudres du Hezbollah, 18 bus appartenant à la société « Netify Express » ont été complètement incendiés dans le parking de la gare centrale de Safed à Haïfa.
Évidemment, la municipalité de Safed tout comme la police a déclaré que l'incendie avait été allumé sur un motif « criminel », mais cette histoire de délinquance, de règlement de compte... est de moins en moins convaincante dans un Israël qui a connu depuis plusieurs semaines 20 incendies géants.
L’incendie s’est déclaré le mercredi 8 juin dans une usine située dans la région du Triangle du Nord, entraînant la fermeture de la rue Wadi Ara sur son chemin près de la ville d'Arara Ara, à Haïfa.
Quelques heures avant la diffusion de ce rapport, la chaîne de télévision israélienne, Kan 11 avait signalé un autre incendie dans la salle à manger du « Collège des officiers affilié à l'armée israélienne. La presse sioniste ne le dit pas, mais cet incendie s'est déclaré en pleine base militaire de Hetzarim.
Un policier sioniste tué à Qods vendredi 10 juin/Twitter
Quelques jours plus tôt, deux incendies s’étaient déclarés dans le district palestinien de Néguev et dans les régions d'Eilat, au sud des territoires occupés. L'un d’entre eux s’étant produit près de la ville de Rahat.
Le 30 mai, une base militaire sioniste dans le quartier d'al-Issawiya, dans la partie orientale de la ville d'al-Qods, avait été incendiée après que les occupants se sont affrontés avec les Palestiniens. Et on en passe... ces feux qui ont frappé le long du mois de mai le secteur énergétique à Haifa ou Ashdod.
Qui fait quoi ?
Des dizaines d'incendies (plus de nombreux mini incendies en 2021) en pleine bataille hybride que la Résistance mène contre l’entité, est-ce un hasard ? Peu d'analystes croiraient aux racontars des médias israéliens. De deux choses l'une : soit c'est l'œuvre des drones kamikazes qui opèrent librement et sans avoir à s'inquiéter du Dôme de fer israélien à s'abattre sur des sites sensibles, soit c'est un ciblage à l'arme orbitale.
Après tout, l’Iran a tout ce qu’il faut pour balancer des bombes-H dont il possède, de l’aveu de l'expert américain James Woolsey, la technologie depuis 2010 au moins et de faire de n’importe quel site stratégique en territoire occupé un four à micro-onde.
Les Chinois eux, ont récemment dévoilé un missile à l’EMP d’une portée de 3 000 km et d’une vitesse de Mach 6, soit un genre de missile auquel pourrait parfaitement s’être converti le Hoveyzeh iranien, un missile de croisière furtif de 1 500 km de portée et d’une vitesse de plus de Mach 5 avec un système de navigation pluriforme Tercom, Glosnass ou INS.
Surtout que ce 8 mars, depuis le désert du nord-est de l’Iran, Nour-2 a été placé en orbite basse (500 km) et pour la seconde fois depuis deux ans, un satellite militaire d’évaluation, mais aussi de reconnaissance qui a une vitesse de 7,6 km/s.
C’était le deuxième satellite militaire de l’Iran ayant atteint LEO 480 secondes après son lancement et qui opérant en intégré avec le premier passerait plusieurs fois au-dessus d’Israël. Ce second placement réussi avait d’ailleurs montré que l’orbite basse de la terre, là où fonctionnent bien les armes orbitales, est totalement accessible aux éventuels ciblages à l’EMP iranien. C’est d’autant plus tentant d’ailleurs comme idée que l’entité ne fournit aucune information probante à travers des dizaines d'enquêtes qu'elle a jusqu'ici promises.
Certaines sources parient que ces enquêtes n'aboutiront jamais... 18 cars de brûlés ; cela veut dire la Galilée isolée... coupée du reste d'Israël. Cela a-t-il un sens ?