A peine quelques heures après que le gourou Bennett s'est payé le chic ce mardi de vanter sa nouvelle stratégie de confrontation avec l'Iran en appelant l'AIEA à agir contre ce qu'il a qualifié de franchissement des "lignes rouges", les milieux militaires sionistes qui paniqués, s'attendent au pire de la part de l'Iran, lui ont tombé dessus en dénonçant une " provocation inutile qui ne fera rien si ce n'est d'attiser la soif de vengeance de l'Iran" : "c'est quoi que cette manière de mettre le doigt dans l’œil des iraniens alors qu'on les sait en pleins préparatif pour infliger une spectaculaire riposte à Israël? ", s'est emporté le chroniqueur militaire de Maariv ce mercredi non sans raison. En effet, ce mercredi 8 juin dans la matinée, une usine de bois dans le nord des territoires occupés de la Palestine a pris feu peu après qu'une cantine de soldats sionistes à l'intérieur même de l'académie militaire israélienne est parti en fumée. Ce mercredi à l'aube, un incendie s'est déclaré dans une usine de la région du Triangle du Nord, ce qui a entraîné la fermeture de la rue Wadi Ara sur son chemin près de la ville d'Arara Ara dans le district de Haïfa. Le Triangle est une concentration de villes et villages arabes israéliennes proches de la Ligne verte, dans la plaine orientale de la région de Sharon.
L'incendie a provoqué une épaisse fumée et des perturbations sur la 65e rue adjacente au site de l'incendie, sans signaler aucun blessé. Les médias sionistes ayant reçu des consignes de silence, un black out total est maintenu sur cette cascade d'incendie qui a commencé a frapper Israël depuis le mois de janvier et que l'entité tente de décrire comme étant des "incidents".
Vidéo: l'académie militaire israélienne au Néguev frappé, 8 juin/Twitter
Et pourtant le feu ne cesse de frapper des sites particulièrement sensibles comme la raffinerie ou le complexe pétrochimiques à Haïfa, pipelines et réservoirs de pétrole à Ashdod, usines de substance toxique au Néguev, et de plus en plus des annexes liées aux structures militaires dans les territoires occupés de la Palestine. Cette nuit de mardi 7 juin, il en était de même puisque le collège d'officier de la région du Néguev a été ciblé. La chaîne 11 de la télévision israélienne a fait état d'un feu géant dans la salle à manger du « Collège des officiers 1 » affilié à l'armée israélienne. Evidemment et comme toujours la cause de l'incendie "n'a pas encore été annoncée" et "des enquêtes sont en cours". Mais qu'on se rappelle de cet autre "feu accidentel" qui a frappé dimanche 5 juin, la zone industrielle d'Arad, située à quelques lieux de Dimona dans la région du Néguev, l'observeteur ne peut plus se laisser berner par des balivernes médiatiques sionistes.
Ce 5 juin, Des témoins oculaires ont signalé aussi une épaisse colonne de fumée provenant d'un incendie dans un entrepôt de textile et de plastique avec un risque de propagation aux bâtiments voisins. Malgré les efforts des autorités israéliennes pour censurer et dissimuler les incidents et les rebondissements en matière de sécurité, la "pyro-saga" que vit Israël ouvre la voie à de multiple piste. l'entité est-elle ciblée par des armes orbitales? L’hypothèse d’une arme spatiale en orbite basse capable de déclencher des incendies en un point focal précis à la surface de la terre n’est concurrencée que par l’acte de sabotage ou l’attaque cybernétique et pourtant cette série d'incendies en Israël est trop rapprochée pour qu’elle ne soit dû qu’au hasard. Est-ce à un face à face de type technique qu'est appelé l'entité sioniste? Après tout, les Iraniens possèdent déjà deux satellites militaires Nour 1 et Nour 2 en orbite basse et qui passent au dessus d'Israël régulièrement. Et puis l'affaire de brouillage des satellites et partant le spoofing des drones, cela fait un bon but temps qu'ils les maîtrisent.
Déjà en 2011 une source de renseignement européenne avait affirmé que l'Iran avait étourdi l'Occident en "visant une rafale laser précisément" sur un satellite américain lors d'un incident jamais signalé auparavant. A l'époque la revue s'attardant sur la capture d'un RQ-170 US dans l'est de l'Iran écrivait : "... Un ingénieur iranien, essayant de déchiffrer les secrets du drone de la CIA qui survolait le territoire iranien au début du mois, a affirmé que les Iraniens avaient réussi à atteindre la fréquence de l'engin, le faisant passer en mode pilote automatique et atterrir sur le territoire iranien...L'ingénieur a soutenu que le talon d'Achille du drone est son système de positionnement global (GPS). Il a expliqué qu'en bloquant la communication, le drone est obligé de passer en pilote automatique, ce qui lui fait perdre le contrôle...Selon l'ingénieur, l'Iran a pu brouiller les communications après avoir accumulé des données sur d'autres drones américains qui ont été abattus en Afghanistan. Des experts iraniens ont alors pu reprogrammer les données GPS censées diriger l' engin américain vers l'atterrissage en Iran."
Et Christian Science Monitor de poursuivre : " L'Iran possède-t-il une technologie de brouillage de satellites ? Une source de renseignement européenne a affirmé que l'Iran avait stupéfait les agences de renseignement occidentales lorsqu'il avait réussi à "aveugler un satellite espion de la CIA en visant avec une rafale laser assez précise", lors d'un incident jamais signalé auparavant."
Alors depuis cette date, n'est ce pas que les Iraniens ont fait des pas géants? ce mercredi alors que les pompiers sionistes continuaient à se battre contre le énième "feu accidentel" à Haïfa et au Néguev, feux de moins en moins espacés et de plus en plus dirigés vers les infrastructures et centres militaires, un drone de l’armée israélienne est tombé dans le nord de Gaza "dans des circonstances peu claires". L'armée sioniste affirme comme toujours qu'aucune information sensible "n'a été compromise". Mais cette antienne on l'a trop entendu jusqu'à maintenant pour y croire.le crash de drone a eu lieu dans le nord de la bande de Gaza, non loin du Néguev, là où l'académie militaire brûlait... Le modèle du drone n'a pas été immédiatement détaillé...