C'est le mythe du Mossad qui est traîné dans la boue : Après avoir perdu sous les coups de 12 missiles Fateh-110 son plus grand QG au Moyen Orient puis voir ses sites hackés par les hackers iraniens en voici un troisième coup en moins de 4 jours. Quelques heures seulement après la cyberattaque la plus vaste contre les ministères israéliens, des sources sionites ont rapporté qu'un groupe non identifié pourrait avoir piraté les informations du chef du Mossad: son portable, ses conversations téléphoniques,...ses données entre autre. Selon ces médias "David Barnea", le chef de l'organisation d'espionnage du régime sioniste (Mossad), aient été piratées. Le groupe de hackers « Open Hands » ou mains ouvertes a récemment publié une vidéo sur une chaîne de télégramme révélant des documents confidentiels, des informations personnelles et des rapports financiers du chef du Mossad. Selon ce groupe jusque-là inconnu du public, les données piratées ont été obtenues à la suite d'un travail de huit années sur plusieurs cibles israéliennes, y compris de hauts responsables militaires et des services de sécurité du régime.
Le site Internet Walla a confirmé la nouvelle cette nuit, affirmant que le groupe pourrait être lié à l'Iran. Des billets d'avion commandés par le chef du Mossad et des documents fiscaux, ainsi que des images satellites d'une maison lui appartenant ont ainsi été publiés. Walla a en outre ajouté que l'exactitude des informations n'avait pas encore été vérifiée et que la provenance des données restait floue. Walla a précisé aussi que l’on ne savait pas qui dirigeait le canal de télégramme en question. Le site évoque néanmoins la possibilité que l'opération ait été menée par une "agence de renseignement étrangère" dans le but de "mettre le chef du Mossad dans une situation difficile". Le bureau du Premier ministre du régime sioniste a réagi à cette nouvelle au nom du Mossad, affirmant : "Les choses en question sont anciennes et elles ne proviennent pas du téléphone du chef du Mossad".
L'attaque est intervenue alors que des sources d'information avaient fait état ces derniers mois de plusieurs cyberattaques contre des entreprises clés se trouvant dans les territoires occupés. Des cartes d’identité, des papiers d’avocats, des chèques avaient ainsi été obtenus par les pirates. Le groupe appelé « Stick of Moses » ou le bâton de Moïse avait quant à lui fait état d’un piratage réussi de caméras de vidéosurveillance dans les rues de la Palestine occupée et des caméras de Rafael Company, une société qui produit des armes pour l'armée israélienne. Le groupe de hackers avait précédemment écrit dans un message en hébreu et en anglais intitulé « Nous voyons avec vos yeux » : « Nous vous surveillons depuis des années, à chaque instant et à chaque pas. Ce n'est qu'une partie de notre surveillance de vos activités, cet accès aux caméras de vidéosurveillance. Nous vous avions dit que nous vous ciblerons d’une façon que vous ne pouvez même pas vous en douter ! ».
Al-Khazali a souligné que trois officiers du Mossad avaient été tués dans l'une des attaques contre le centre et que quelques jours après l'attaque, un avion avait volé directement d'Erbil, à destination des territoires occupés. Il a ajouté qu'après l'opération, le ministère israélien des Affaires étrangères avait ordonné aux Israéliens de s'abstenir de se rendre au Kurdistan irakien.
Les dernières informations sur les agissements sionistes dans le nord de l’Irak indiquent que les plus grand complexes d'espionnage sioniste de la région, et peut-être même du monde, est situé dans la région du Kurdistan irakien.
Le centre de commandement et de contrôle de toutes les activités d'espionnage du régime est ainsi situé à Erbil. Et, en plus de surveiller les activités sécuritaires et militaires de l'Iran, le centre espionnerait également les moyens de contournement des sanctions US qu’utilise Téhéran pour le bien du peuple iranien. Il va sans dire que le régime occupant recourt aux sources locales afin de trouver une nouvelle voie d’imposition de sanctions aux Iraniens. Et ce n'est pas tout : Il y aurait plus de 4 000 sionistes au Kurdistan irakien et une liaison aérienne directe entre Erbil et Tel-Aviv. Soit des proies faciles pour de futures opérations anti sioniste.