Ces "informations" qui commencent à s'enfler sur les sites proches de l'axe de la Résistance comme quoi les drones "Harop" israéliens auraient assisté les mercenaires des "Brigades des Géants" à la solde des Emirats à Chambwa et ce, face à Ansarallah, informations qui accusent " les opérateurs sionistes" d'être directement aux commandes de en de ces appareils et donc coupables du meurtre des Résistants, devraient prises trop au sérieux à Tel-Aviv qui rie dans sa barde en ce moment même de voir Ben Zayed frapper à sa porte pour signer dans l'immédiat et sans aucune précondition (même pas l’acquisition de quelques F-35 Adir, NDLR) un accord "militaire" identique à celui qu’Israël a fait signer en novembre à Rabat qu'il disait alors être menacé" par l'Algérie.
Dans la nuit de samedi à dimanche 23 janvier, quatre militaires israéliens ont été blessés dans les fermes de Chebaa, à la frontière du Liban. Paltoday a confirmé l'info tout en citant des médias israéliens qui ont mis ce lourd bilan de quatre blessés sur le compte d'« un accident causé par la neige et le verglas ». Pourtant cette zone qui fait partie du front nord commence à connaitre un nombre inhabituel d'incidents du genre. Le 3 janvier alors qu'un hélico de type Atalet de la marine sioniste s'apprêtait visiblement à se rendre sur les côtes pour contribuer à une nouvelle frappe des F-16 israéliens contre le port stratégique de Lattaquié, une troisième depuis le 7 décembre qui n'a pas eu lieu, il s'est étrangement accidenté au large de Haifa ayant explosé puis s'être transformé" en une boule de feu dans le ciel. "l'accident a coûté la vie au numéro deux de la base Ramat David à son pilote donnant lieu évidemment à une enquête qui n'a toujours pas osé avouer publiquement que les débris de drones "inconnus" ont été repêchés sur les lieux, signe que l'hélico avait été frappé par un drone.
Puis quelque jours plus tard et alors même quie le Neguève se soulevait contre un projet de colonisation déguisée, un autre incident s'est produit à la base de NAbi Mois, où deux officiers de la brigade OZ ont été liquidé par un soldat dit sioniste qui les aurait pris pour les terroristes.
Un bilan d'Israel Hayom a reconnu la mort de 31 militaires sioniste en 2021 dont 11 s’étant donnés la mort, ce qui veut dire que 20 autres ne l'ont fait pas ou ont été liquidés. La série noire que connait l'entité, pourtant tout le temps en état d'alerte a m^me poussé le chef de l'état major sioniste à passer aux aveux ce samedi 22 janvier, et de se dire « vivement préoccupé » quant aux récents "incidents mortels qui avaient eu lieu au sein de l’armée". Selon la chaîne 12 de la télévision israélienne, « deux incidents mortels qui se sont produits pendant les deux dernières semaines au sein de l’armée israélienne, faisant deux morts parmi les commandants de l’unité d’élite ainsi que deux pilotes, ont préoccupé Aviv Kochavi ».« Ces incidents montrent la nécessité d’une refonte au sein de plusieurs unités de l’armée », indique la même source.
C'est d'ailleurs pour occulter cette colossale défaite que l'entité a recours désoramis aux persécution de civils ayant peur de tout affrontement militaire. Un rapport a été diffusé par le site web en hébreu Siha Mekomit (qui signifie appel local) sur les mesures de répression et de persécution exercées par le régime sioniste pour rendre la vie dure aux Palestiniens et les faire renoncer à la résistance. L’étude s’appuie sur les aveux des soldats israéliens en mission dans les postes de contrôle en Cisjordanie et des témoignages des habitants de ces régions. À Deir Nizam près de Ramallah, l'armée a fermé trois entrées du village, et la quatrième a un poste de contrôle. Les soldats entrent fréquemment dans l'école et arrêtent les enfants.
« Depuis plus d'un mois et demi, depuis le 1er décembre 2021, des militaires attendent à l'entrée du village les véhicules des habitants avec une barrière en barbelés. 24 heures par jour. Inspectez longuement chaque voiture qui passe, ouvrez les sacs, prenez des photos. Parfois, ils ferment complètement le village », a écrit Siha Mekomit.
Les militaires israéliens entrent aussi manu militari dans les écoles pour interroger des élèves dans la cour et rechercher des enfants qui jetaient des pierres. Ils ont parcouru les salles de classe. Des gaz lacrymogènes et des grenades assourdissantes ont été lancés dans la cour même. Mais est-ce un signe de puissance? Persécuter des enfants au lieu d'aller faire face aux combattants de la Résistance à Jenin, à Khan Youness ou à Gaza, c'est le signe d'un total échec. L'armée sioniste est sur le point de se dissoudre" , dit l'expert.