Entre cette magnifique photo du commandant en chef de l'aérospatial du CGRI, le général de brigade Hajizadeh qui domine le conseil de guerre de l'entité sioniste et un Gantz qui , hystérique, crie " ça suffit de parler! il est temps qu'on agisse, de faire tout ce qui est possible, en termes diplomatiques, économique voire militaires pour contrer l'Iran sinon ça continuera", il y a toute un impasse stratégique, militaire de l'axe US/Israël qui saute aux yeux.
Un ministre de la Guerre, qui, au lieu de frapper l'adversaire, sur le champ de bataille, menace de liquider par acte terroriste en est il un vraiment? 72 heures après un abracadabrant false flag signé Israël/GB/USA au large des Emirats avec en toile de fond 'des commandos fantômes ravissant des cargos, des mines invisibles attaquant les navires et des mains de revenant prenant le contrôle des bateaux", false flag au terme de quoi l'entité sioniste espérait, retranché derrière sa Majesté Elizabeth arracher au conseil de sécurité une coalition de guerre contre l'Iran, des sources bien informées du golfe Persique, font état des unités du Mossad bel et bien installé aux Emirats avec comptant dans leurs rangs des agents de cyberguerre, leur mission étant de perturber perturber les réseaux de communication et les systèmes de navigation navale et aérienne dans le golfe Persique et la mer d'Oman.
Saeed Ara Jani is the Head of the IRGC’s UAV Command. The UAV command conducted the attack on Mercer Street. Saeed Ara Jani plans and provides the training and equipment needed to conduct terror attacks in the region. pic.twitter.com/2uUnRLl6CJ
— בני גנץ - Benny Gantz (@gantzbe) August 4, 2021
C'était donc cela, le motifs qui a poussé les capitaines de cinq cargos visé à Fujaïrah et près des côtes omanaises à lancer des appels de détresse et à annoncer qu'ils ne contrôlaient plus rien en mer. Or ces équipements bien ancrés aux Emirats on pourrait supposer que de'ici peu, il y aurait un remake du scénario des " cargos errant" avec pour l'objectif de faire remonter les golfiens contre l'Iran, l'Iran contre les golfiens, surtout qu'en ce jeudi 5 aôt il y a la cérémonie de prestation de serment du nouveau président iranien, un arabophone, qui a parié" de faire de ses quatre ans de mandat la pierre angulaire d'une dynamique de rapprochement inter régionale. Mais que risque de se passer si Israël, partie qui a commencé à jouer avec le feu naval, se mettait à vouloir perturber le trafic dans le golfe Persique de façon à y déclencher des hostilités, ou ce qui revient au m^me à exporter ses malheurs domestiques dans le golfe Persique à défaut de pouvoir y faire face? Le commandant en chef du CGRI, le général de brigade Salami, a porté dès mercredi soir les premiers éléments de réponse.
« Nos forces offensives sont parfaitement préparées à des réactions sévères face à la moindre agression de l'ennemi. Notre réponse sera immédiate, dévastatrice au point à faire le regretter". Et le général Salami prononçaient ces phrases tout en visitant la zone d'opération du golfe Persique et les unités aériennes, balistiques et navales qui s'y tiennent prêtes et qui, pour être exact, s'impatientent à en découdre avec le saboteur sioniste. Car ces derniers jours, l'entité, littéralement secoué par l'extension rapides de la bataille Israël.Résistance du ciel de la Syrie, aux mers et océans, a même frôlé l'idée folle de frapper les ports iraniens. Sans penser que Haïfa, Eilat, Ashkelon, ce n'est que l'affaire de quelques minutes si l'Iran décidait de punir le rejeton US au Moyen Orient en le frappant au sol.
« Les ennemis, en particulier le régime sioniste, qui use et abuse de la rhétorique de menace contre l’Iran, qu'ils se rendent au plus vite à l'évidence et reconnaissent avant qu'il ne soit trop tard la réalité de la puissance offensive et défensive de l’Iran et du CGRI. Dans le cadre de nos politiques et stratégies de défense, il n'y a aucun ennemi, aucun point à aucune échelle qui peut être toléré ou ignoré dans le sens de nos réactions fermes et décisives. Pour l'Iran il n'existe pas de zones grises. Nous sommes prêts à tout scénario, et certaines de ces préparations, les images en ont déjà été projetées à partir mêmes de nos côtes. Aujourd'hui, nos systèmes de missiles, de défense, navals et de drones et nos forces terrestres sont à un niveau de préparation maximal pour faire face à toutes sortes de menaces. Notre riposte à toute agression ne sera pas diplomatique, mais nous la donnons sur le champ de bataille. Ceux qui parlent d’un langage menaçant contre nous, y compris le Premier ministre du régime sioniste et d'autres responsables de ce régime, devraient être conscients de l'impact et des conséquences dangereuses de ce qu'ils disent et devraient être bien prudents dans leurs calculs »
Lire : Israël paniqué par les capacités militaires iraniennes
Pour la petite histoire, cette photo du général Hajizadeh l'affiche aux côtés de l'un des missiles balistiques à moyenne portée les plus redoutables de l'Iran: Dezful dont la portée est de 1000 kms. Une fois Parti de l'ouest iranien il atteindra Haïfa et avec un petit effort Tel Aviv même. Les capacités différentes des missiles Dezful par rapport aux autres systèmes à courte et moyenne portée sont la possibilité de détacher leurs ogives. En fait, cela les assimile aux missiles balistiques à moyenne et longue portée et réduit les effets négatifs de la connexion du fuselage à l'ogive qui perturbe souvent l'action de l'engin dans la phase finale de l'attaque. C'est le marge d'erreur qui est ainsi minimisée . Dezful n'a qu'une marge d'erreur que de moins de 10 mètres, ce qui permet au missile d'attaquer divers types de cibles, notamment des bâtiments, des sites sensibles, et des radars, etc.
Mais mieux que Dezful pour abattre Israël, il y a Emad d'une portée de 1 700 kilomètres et que Gantz a l'intérêt à en trouver une photo. (Regarder la vidéo ci-jointe) Doté d’une ogive qui pèse 700 kilogrammes, l'Emad est un missile téléguidé à longue portée sol-sol qui se distingue d’autres missiles iraniens par ses caractéristiques toutes particulières. Le combustible liquide de ce missile constitue un grand progrès dans le domaine de propulsions balistiques de l’Iran. De petites ailes dont dispose l’ogive de l’Emad lui permettent un téléguidage jusqu’à la fin de son parcours et lui offrent en même temps une très haute précision dont la marge d’erreur est inférieure à 10 mètres.
La rampe de lancement du missile Emad a été conçue de manière à pouvoir être utilisée dans n’importe quelle circonstance. L’un des facteurs permettant un meilleur contrôle et guidage d’un missile est le caractère mobile ou fixe de la rampe de lancement. La rampe de lancement de l’Emad est justement fixe et mobile. Israël se targue d'avoir le Arrow 3 (Hetz 3). Le site web israélien spécialisé dans les affaires balistiques reconnaît explicitement, dans un rapport, la capacité du missile Emad à contourner le Arrow 3, conçu et fabriqué par les Industries aérospatiales d’Israël et le constructeur aéronautique et aérospatial américain Boeing.