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Le bras droit de Moshe Yaalon arrêtė pour avoir vendu l'armée de l'air sioniste...

US Rep. Ilhan Omar (D-MN) (L) talks with Speaker of the House Nancy Pelosi (D-CA) during a rally with fellow Democrats before voting on H.R. 1, or the People Act, on the East Steps of the US Capitol on March 08, 2019 in Washington, DC. (AFP photo)
Les Brigades Ezzeddine al-Qassam, branche militaire du Hamas utilisent un nouveau missile, Ayyash-250 pour frapper n'importe quel site en Israël. ©Al-Alam

Cet  ancien ministre israélien de l’Énergie et des Infrastructures, le dénommé Gonen Segev arrêté en 2018 et écroué depuis 2019 pour cause d'espionnage en faveur de l'Iran, avait-il fourni à la Résistance ces précieuses informations qui ont aidé Gaza à envoyer ses unités de commandos marines dotés de mines et de torpilles ou encore des unités de drones sous-marins et de missiles anti-navires à mieux attaquer ou à attaquer avec une plus haute précision le site offshore Tamar au large d'Ashkelon? Sans doute.

L'intéressé qui a dû, tout au long de sa collaboration de plus de 10 ans avec l'Iran, se moquer bien de la gueule du Mossad et fournir à la Résistance de plus belles informations sur le trajet des pipelines Eilat- Ashkelon, des réservoirs, des raffineries d'Ashkelon ou encore d'autres cibles énergétiques sionistes. Mais cet espion n'a rien fait comparer au bras droit de Moche Yaalon, ex-ministre de la Guerre, lui aussi ayant été une "taupe" de l'Iran et récemment arrêté. D'autant plus que cet homme d'affaire vient du Néguev et au Néguev rien qu'en avril et en mai de cette année il s'est passé de "terrifiantes" choses pour Israël : le 21 avril un missile tactique M-600 syrien s'est littéralement abattu à 30 kilomètres du réacteur nucléaire de Dimona, ayant traversé allègrement et le ciel israélien et le ciel syrien.

Puis vint fin avril avec cette série d'explosions et d'incendies à Haïfa ou à Gush Dan dont et surtout cette terrible explosion à l'usine Tamer où sont fabriqués le moteur de Shavit, de Dôme de fer voire même le missiles antimissile Arrow. Mais dès le 10 mai le Néguev a été le théâtre d'autres événements majeurs : des frappes au missile contre l'aéroport de Ramon censé servir d'alternative à Ben Gourion fermé sous les coups des engins de la Résistance.

Mais en mai les bases aériennes au Néguev non plus n’ont échappé aux missiles de la Résistance poussant même le commandant en chef de l'armée de l'air sioniste à reconnaître ceci: " le Hamas pourra atteindre à coup de missiles nos bases aériennes" ou ce qui revient au même les hangars d'avions et pas des moindres...Palmachim, le nid dds F-35 Adir situé au sud du Néguev  n'en a pas échappé, base qui quelques mois avant avait fait l'objet d'une attaque commando déguisée par les médias israéliens "en hold--up de bédouin". Evidemment on ne peut prétendre que tout ceci c'est l'adjoint de Moshe Yaalon qui l'a fait mais la panique qui s'est emparée de l'état-major du renseignement sioniste après son arrestation tout pourrait être possible. Qui est ce super espion pro Iran à  l'aide de qui l'armée israélienne a été si superbement infiltrée? 

La presse israélienne vient de révéler le grand coup que le renseignement israélien a subi : un espion qui était candidat à la Knesset, figurait sur la liste électorale de Moshe Yaalon.

Le richissime homme d’affaires israélien Yaquoub Abu Al-Qiaan a été inculpé pour espionnage. Il a été mis en examen lundi 12 juillet pour des délits sécuritaires graves – notamment pour ses contacts avec un agent étranger et pour avoir fourni des informations aux services de renseignement iraniens par le biais d’un agent libano-irakien, a fait savoir le service de sécurité du Shin Bet, repris par les médias.

Selon le Jerusalem Post, lors des dernières élections, Abu al-Qiaan, résidant de la ville bédouine de Hura, dans le sud des territoires occupés, s’était rangé du côté du parti Telem de l'ancien ministre des Affaires militaires, Moshe Yaalon, [qui l’avait inscrit sur la liste de son parti pour les élections de mars 2019]. Al-Qiaan était également lié à un militant clé du parti Raam dans le Néguev, a ajouté le journal.

Il a finalement été arrêté le 10 juin à la suite d'une enquête conjointe du Shin Bet et de la police israélienne, qui a révélé qu'en plus des contacts avec le libano-irakien, il avait un lien direct avec les services de renseignement iraniens.

L’intéressé est soupçonné d'avoir entretenu des liens interdits avec un libano-irakien qui l’a mis en contact avec des responsables du renseignement iranien à qui il a transmis des informations, précise le Shin Bet. Toutefois, la chaîne 12 de la télévision israélienne prétend que les informations fournies aux Iraniens, parmi lesquelles figurent les détails sur les activités de Benny Gantz, aujourd’hui ministre israélien des Affaires militaires, sont « sans valeur ».

Au cours de l'enquête, les services de sécurité ont déterminé qu'Abu al-Qiaan avait été en contact prolongé avec Haidar al-Mashhadani, qui servait d'intermédiaire auprès des responsables du renseignement iranien, a indiqué le Shin Bet.

Le Shin Bet a en outre affirmé qu'Abu al-Qiaan était à la recherche de nouvelles opportunités commerciales dans les pays arabes de la région grâce à sa source libano-irakienne.

Soulignant la nécessité de tenir de telles réunions secrètement, Abu al-Qiaan a également demandé à rencontrer d'autres personnalités travaillant avec al-Mashhadani, tout en sachant qu'il s'agissait de ressortissants iraniens, a poursuit le Shin Bet se référant aux épreuves à disposition des autorités.

Sans entrer dans les détails, le service de sécurité israélien déclare que l'affaire a été révélée dans le cadre des activités en cours ces dernières années avec pour objectif de contrecarrer les tentatives de l'Iran et de son allié libanais, Hezbollah, de recueillir des informations et d'attaquer de hauts responsables israéliens y compris des autorités militaires, et ce, par le biais des agents israéliens aussi biens dans les territoires occupés qu’à l’étranger.

Certains médias disent même qu’Abu al-Qiaan s’est aussi fait remarquer lors des émeutes arabes à Lod où il incitait le public contre le régime sioniste.

La semaine dernière, le tribunal du district d'Ashkelon a autorisé les médias à refléter la nouvelle, mais en déclarant uniquement qu’ « un citoyen israélien soupçonné de graves crimes contre la sécurité nationale avait été détenu pendant près de trois semaines sans avoir la permission de consulter un avocat ».

Les avocats du suspect, désormais connu sous le nom d'Abu al-Qiaan, ont nié les allégations de crimes contre la sécurité nationale auprès des médias sionistes tout en déclarant que le tribunal a ordonné sa libération.

 

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SOURCE: FRENCH PRESS TV