Le chef de la délégation russe à Astana Alexandre Lavrentiev a déclaré, mardi 4 juillet, que Moscou pourrait déployer la police militaire d’ici deux à trois semaines dans les zones de désescalade en Syrie une fois qu’une décision dans ce sens était approuvée par les pays partenaires à savoir l’Iran et la Turquie.
Ce responsable russe a déclaré que l’objectif de cette décision était de superviser les régions frontalières englobant des zones de désescalade en Syrie sur lesquelles l’Iran, la Russie et la Turquie pourraient s’accorder.
«Ankara et Téhéran ne sont pas encore tombés d’accord sur les détails de ce plan », a-t-il ajouté.
La cinquième réunion d’Astana a ouvert ses portes, mardi 4 juillet à Astana, capitale kazakh en présence de trois pays garants de la trêve à savoir la Russie, la Turquie et l’Iran.