Alors que des médias proches de l’opposition syrienne ont prétendu que des raids israéliens contre la Syrie auraient coûté la vie à l’un des commandants du Hezbollah libanais, des sources liées à ce mouvement ont démenti cette nouvelle.
En réaction à une nouvelle sur la mort de l’un des commandants du Hezbollah dans les frappes israéliennes de vendredi matin contre le territoire syrien, la chaîne d’information libanaise Al-Mayadeen, se référant à des sources dignes de confiance, a démenti ces allégations, en soulignant que ce commandant avait été tué la veille, soit le jeudi 16 mars, dans la ville de Quneitra, qui est située sur le plateau du Golan en Syrie, et non pas dans des frappes aériennes d’Israël.
Selon l’armée syrienne, quatre chasseurs israéliens ont lancé dans la nuit du 16 au 17 mars des frappes aériennes contre la Syrie via le territoire libanais avant de prendre pour cible l’une des bases militaires syriennes dans la ville de Palmyre, à l’est de Homs. La DCA syrienne a riposté à ces raids israéliens, si bien que l’un des chasseurs israéliens a été abattu à l’intérieur des territoires occupés de la Palestine, qu’un second a été pris pour cible et que les deux autres ont été contraints à prendre la fuite.