TV

Syrie/Zone de sécurité: Trump pointe les pays arabes pour payer les frais

US Rep. Ilhan Omar (D-MN) (L) talks with Speaker of the House Nancy Pelosi (D-CA) during a rally with fellow Democrats before voting on H.R. 1, or the People Act, on the East Steps of the US Capitol on March 08, 2019 in Washington, DC. (AFP photo)
Le président américain, Donald Trump à Melbourne en Floride. ©sebastiandaily.com

Le président américain s'est prononcé, samedi (heure des États-Unis), devant ses partisans à Melbourne en Floride, au sujet de la sécurité intérieure, du terrorisme et de la Syrie.   

Le président des États-Unis, Donald Trump a prétendu que son gouvernement avait entrepris de nombreuses démarches dans le but de garder loin des États-Unis les terroristes extrémistes: "Nous créerons une zone de sécurité en Syrie et obligerons les pays arabes du bassin du golfe Persique d'en payer les frais."  

Donald Trump s'est ensuite adressé à l'Otan dont les membres n'assument pas, selon lui, leur part de responsabilité pour assurer les frais de la défense. "Nous voulons qu'ils nous aident dans ce domaine", a-t-il insisté.

Trump s'est aussi penché sur le Brexit qu'il a soutenu et considéré comme faisant partie du mouvement qui traverse le monde entier.

"Vous faites, vous tous, partie de ce mouvement incroyable qui devient mondial et qui va envahir notre pays. Les gens veulent gérer, eux-mêmes, les affaires de leur pays, et contrôler leur vie et leur famille", a rappelé Trump.

Quant aux affaires d'ordre intérieur des États-Unis, Trump a dit que tout allait bien à la Maison Blanche et qu'il ne permettait pas aux menteurs de lui dicter ce qu'il devait faire. "Nous sommes un peuple libre et indépendant", a noté Trump.

Le nouveau président américain a regretté que les médias, au lieu d'évoquer le nombre immense de ses partisans, se focalisent sur le nombre restreint des "opposants" pour lancer tapages et campagnes.

Trump a bel et bien prouvé son manque de tolérance envers les opposants et protestataires. Dans un geste non diplomatique, il a limogé Craig Deare, un haut responsable de la sécurité nationale, pour avoir critiqué, lors d'une réunion privée, lui et les autres responsables de haut rang de la Maison Blanche.

Partager Cet Article
SOURCE: FRENCH PRESS TV