Les groupes de résistance palestiniens poursuivent leurs opérations anti-israéliennes et tirent davantage de missiles et de roquettes sur des cibles israéliennes dans les territoires occupés.
La radio de l'armée israélienne a reconnu ce dimanche 29 décembre que 40 militaires israéliens avaient été tués dans le nord de Gaza depuis le début de l'offensive militaire du régime sioniste à Jabalia en octobre 2024.
Entre-temps, 5 541 militaires israéliens ont été blessés au cours de cette période, selon l'armée israélienne, qui est accusée de dissimuler un bilan plus élevé.
Selon les données de l'armée du régime sioniste, le nombre de morts depuis le 7 octobre 2023, où l’entité usurpatrice a commencé sa guerre génocidaire contre Gaza s'élève désormais à 824 soldats.
Les données incluent les soldats tués dans la bande de Gaza, en Cisjordanie, au Liban et en Palestine occupée.
Pendant ce temps, la Résistance palestinienne confirme que les pertes des forces d'occupation sont bien plus élevées que ce qu'elles reconnaissent.
Le régime sioniste avait également reconnu auparavant que cinq missiles avaient été tirés depuis Gaza vers la colonie de peuplement de Sderot.
En conséquence, des sirènes d’alerte ont été actionnées dans les zones proches du territoire assiégé.
Sur le même volet, les Brigades al-Qassam, branche armée du Hamas ont revendiqué avoir fait exploser un bâtiment fortifié abritant des militaires israéliens à l'est du camp de Jabalia.
Les Brigades al-Qods, branche armée du Jihad islamique de la Palestine (JIP), ont également tiré un engin explosif sur un char israélien de type Merkava à l'est de Jabalia. Le groupe a également lancé une roquette Yassin-105 sur une force de secours de l'armée du régime sioniste.
Alors que l’agression du régime sioniste contre Gaza entre dans sa deuxième année consécutive, la condamnation des crimes commis par le régime israélien sur l’échiquier international se multiplie. Les responsables et les institutions qualifient les attaques et la perturbation de livraison d’aide de tentative délibérée de détruire une population.
Le mois dernier, la Cour pénale internationale (CPI) a émis des mandats d’arrêt contre le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu et son ancien ministre des Affaires militaires Yoav Gallant pour crimes de guerre et crimes contre l’humanité à Gaza.
Israël est également confronté à une affaire de génocide devant la Cour internationale de justice (CIJ) pour sa guerre meurtrière contre Gaza.
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La campagne militaire israélienne contre Gaza a commencé en octobre 2023. Depuis lors, au moins 45 500 Palestiniens, principalement des femmes et des enfants, ont été massacrés,