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L’Iran dénonce la réticence envers la situation déplorable à Gaza

US Rep. Ilhan Omar (D-MN) (L) talks with Speaker of the House Nancy Pelosi (D-CA) during a rally with fellow Democrats before voting on H.R. 1, or the People Act, on the East Steps of the US Capitol on March 08, 2019 in Washington, DC. (AFP photo)
Une femme pleure en portant le corps enveloppé dans un linceul d'un enfant tué à la suite de frappes israéliennes nocturnes sur Rafah, dans le sud de la bande de Gaza, le 6 mai 2024. ©AFP via Getty Images

Le porte-parole du ministère iranien des Affaires étrangères a qualifié d’« indescriptible » l’ampleur de l’agression barbare et brutale de l’armée israélienne contre les Palestiniens de Gaza, soulignant que le silence sur de telles atrocités est rejeté par la conscience de l’humanité.

« Les souffrances infligées à la Palestine et aux habitants de la bande de Gaza sont indescriptibles », a écrit Nasser Kanaani dans un message publié mardi 2 juillet sur son compte X.

Il a ensuite condamné l’administration du président américain Joe Biden et d’autres complices occidentaux du régime criminel israélien et a souligné qu’ils sont aussi coupables que l’entité sioniste pour les crimes commis à Gaza.


Bombardement intense d’une zone humanitaire à Rafah dans la bande de Gaza

« Le silence et l’inaction face à tous ces crimes et cette sauvagerie vont à l’encontre de la responsabilité humanitaire et morale et sont rejetés et condamnés par la conscience de l’humanité et les valeurs religieuses », a souligné Kanaani.

« Le régime de Tel-Aviv a tué au moins 37 900 Palestiniens, principalement des femmes et des enfants, et en a blessé 87 060 autres, depuis le début de sa guerre brutale contre la bande de Gaza en octobre 2023 », a annoncé le ministère de la Santé de Gaza.

L’entité sioniste a également imposé un « siège complet » sur le territoire, coupant le carburant, l’électricité, la nourriture et l’eau à plus de deux millions de Palestiniens qui y vivent.

Israël est accusé de génocide par la Cour internationale de Justice (CIJ), dont le dernier jugement lui a ordonné d’arrêter « immédiatement » son offensive militaire à Rafah, où plus d’un million de Palestiniens avaient cherché refuge pour fuir la guerre avant l’invasion du 6 mai.

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SOURCE: FRENCH PRESS TV