Lors d’une rencontre avec son homologue iranien, le ministre Kazakh des Affaires étrangères a déclaré : « L’Iran est l’un des piliers du monde musulman ». Il a également fait part de la volonté de son pays de développer ses relations dans tous les domaines avec l’Iran.
En déplacement à Moscou pour participer à la réunion annuelle des ministres des Affaires étrangères des cinq États riverains de la mer Caspienne, le ministre iranien des Affaires étrangères, Hossein Amir-Abdollahian a rencontré, mardi 5 décembre, le ministre kazakh des Affaires étrangères, Murad Norteleo, en marge de cette réunion.
Lire aussi : Amir-Abdollahian s’est rendu à Moscou pour participer au sommet « Caspienne Cinq »
Lors de cette réunion, le ministre kazakh des Affaires étrangères, Murad Norteleo a qualifié la République islamique d’Iran de l’un des piliers de la coopération du monde musulman.
Il a qualifié l’Iran et le Kazakhstan de partenaires très importants non seulement au Moyen-Orient et dans le golfe Persique, mais également dans la mer Caspienne et a ajouté : « Nous avons hâte de renforcer notre coopération avec l’Iran dans divers domaines économiques, culturels et historiques compte tenu des liens profonds entre les deux pays.
Lors de cette rencontre, Hossein Amir-Abdollahian a également exprimé sa satisfaction de cette rencontre et apprécié le rôle du Kazakhstan dans le règlement des conflits régionaux, y compris le format d’Astana concernant la Syrie, et a ajouté : “Heureusement, les consultations politiques et l’échange de délégations de haut niveau entre les deux les pays vont bien.”
Le chef de la diplomatie iranienne a déjà assisté à la réunion des ministres des Affaires étrangères des cinq États riverains de la mer Caspienne (Russie, Iran, République d’Azerbaïdjan, Turkménistan et Kazakhstan) et s’est entretenu ses homologues turkmène et russe.
Lors de la réunion des ministres des Affaires étrangères des cinq États riverains de la mer Caspienne, Amir-Abdollahian a déclaré : “Nous pensons toujours que toutes les décisions concernant les questions de cette mer doivent être prises par consensus des cinq États riverains.”