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E-Press du 30 décembre 2021

Le prince britannique William, duc de Cambridge, salue les vétérans qui défilent lors de la Horse Guards Parade lors de la cérémonie du dimanche du Souvenir en plein cœur de Londres, le 14 novembre 2021

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Au sommaire :

1-Iran organisé 25 manœuvres militaires en un an

Le commandant en chef du quartier général de Khatam ol-Anbia, le général de division Gholam Ali Rashid, faisant référence au plan de l’Iran pour organiser plusieurs exercices militaires, a mis en garde les ennemis contre une réponse écrasante à toute agression.

Le chef d’état-major des forces armées iraniennes, le général de division Mohammad Hossein Baqeri, a déclaré vendredi que les récents exercices militaires du Grand Prophète 17 des forces du CGRI avaient été organisés en réponse aux menaces du régime israélien.

« Un total de 25 exercices massifs de l’armée, du CGRI et des exercices conjoints sont prévus pour l’année en cours et jusqu’à présent, 15 jeux de guerre massifs ont été organisés par l’armée et le CGRI et bien sûr certaines d’entre elles ne seront pas médiatisés », a déclaré mardi le général Rashid, s’adressant aux commandants des forces armées.

« Par le biais de ces exercices, nous espérons transmettre à l’ennemi ce message qu’il n’est pas en mesure de supporter les coûts d’un affrontement massif d’envergure dans une guerre réelle et cette stratégie ; il nous semble, coûtera certainement moins cher à l’ennemi », a-t-il déclaré.

« Au cours de cet exercice, 16 missiles ont été tirés depuis différentes plate-formes et ont atteint leurs cibles avec précision », a déclaré le général Baqeri aux journalistes en marge de la dernière étape des exercices militaires conjoints massifs du CGRI au sud dans la région du golfe Persique. « La manœuvre du Grand Prophète a eu lieu en réponse aux récentes menaces futiles du régime sioniste en Israël », a-t-il réitéré.

Le général Baqeri a également déclaré que la manœuvre militaire ne montrait qu’une infime fraction de la capacité balistique de la République islamique. Vendredi également, le commandant du CGRI, le général de division Hossein Salami, a déclaré que les exercices militaires étaient une réponse aux menaces des responsables israéliens. « Si les responsables de ce régime commettent la moindre erreur, nous leur couperons les mains », a déclaré le général Salami.

Dans l’intervalle, le porte-parole de l’exercice, le général de brigade Nilforoushan, a déclaré que les forces du CGRI s’étaient entraînées à infiltrer le bouclier de défense aérienne ennemi avec l’aide de moyens de la guerre électronique offensive du DGRI

L’organisation cyber-électronique du CGRI a réussi à supprimer l’hypothétique bouclier de défense aérienne de l’ennemi en menant des opérations de guerre électronique offensive contre les systèmes de défense ennemis, afin de fournir un espace pour l’invasion et « l’entrée de ses propres oiseaux dans le ciel de l’ennemi », a dit le porte-parole ce vendredi.

Nilforoushan a ajouté que différents types de guerre (doux, semi-dur et dur) étaient pratiqués par les forces du CGRI au cours de ces manœuvres.

Source : Fars news

2-OTAN, un projet géopolitique

Lavrov livre sa vision de l’objectif de l’OTAN

Dans une interview accordée le 27 décembre, le chef de la diplomatie russe a estimé que l’OTAN cherchait à combler le vide laissé par la disparition de l’URSS en s’étendant vers l’est, et rappeler que la Russie serait ferme face à cette menace.

 Dans un entretien accordé à l’émission Soloviev Live le 27 décembre, Sergueï Lavrov, ministre russe des Affaires étrangères, a évoqué le rôle de l’OTAN en tant que bloc géopolitique, ainsi que les négociations à venir, tant avec les États-Unis qu’avec l’OTAN, visant à mettre un terme à des tensions diplomatiques et sécuritaires récurrentes.

 Diplomatie : Lavrov dénonce le « ton condescendant » des Occidentaux, « convaincus de leur justesse ». Il a estimé que l’Alliance atlantique s’apparentait désormais à « un projet purement géopolitique d’assimilation d’un territoire qui s’était retrouvé délaissé après la disparition du Pacte de Varsovie [en 1991] et l’effondrement de l’Union soviétique », faisant référence à la perspective d’adhésion de l’Ukraine à l’OTAN. Ce qui reste une ligne rouge pour Moscou : « Le fait qu’ils s’approchent, comme l’a dit Poutine, du seuil de notre maison ne peut bien sûr pas nous laisser indifférents », a indiqué le chef de la diplomatie russe.

Réaffirmant que la Russie ne souhaitait pas s’engager sur le chemin d’une escalade militaire, Sergueï Lavrov a évoqué les négociations à venir, espérant qu’elles pourraient permettre des avancées, même si la partie russe n’est selon lui pas dupe de « la capacité des Occidentaux à passer à la trappe toutes les questions qui leur semblent inconfortables ».

Les prochains rendez-vous prévus étant d’abord des discussions bilatérales russo-américaines le 10 janvier à Genève, suivies le 12 janvier d’un échange OTAN-Russie.

 L’expansion de l’OTAN critiquée par Sergueï Lavrov

Le ministre des Affaires étrangères a rappelé que des négociations honnêtes consistent à réunir les parties et à échanger des propositions, avant d’« élaborer une sorte de base commune », mais à la condition que « les deux parties manifestent une volonté de négocier ».

Or, Sergueï Lavrov a fait part de « sérieux doutes quant au fait que la plus importante des propositions [russes], à savoir l’exigence inconditionnelle de non-extension de l’OTAN vers l’est, ne passera pas à la trappe ».

Il a également précisé que les négociations seraient menées par une délégation interministérielle incluant le ministère des Affaires étrangères et des militaires « à un haut niveau ». Si, « en ce qui concerne les États-Unis, tout est clair » sur ce point, les responsables de l’OTAN ont été avertis de l’opinion russe selon laquelle « les discussions ne feraient sens qu’en cas de participation directe des militaires ». « Nous leur avons demandé de confirmer si nous avions bien compris et s’ils comptaient bien faire la même chose » que la Russie, à savoir envoyer des militaires de haut rang à ces négociations, a indiqué le diplomate, se disant dans l’attente d’une réponse de l’autre partie.

Parmi les propositions remises par la Russie le 17 décembre pour assurer « la sécurité de la Fédération de Russie et des États membres de l’Organisation du traité de l’Atlantique Nord », un point central consiste à ce que ces derniers « s’engagent à s’abstenir de tout nouvel élargissement de l’OTAN, y compris l’adhésion de l’Ukraine ainsi que d’autres États ».

Le 23 décembre, le secrétaire d’État américain Antony Blinken et le secrétaire général de l’OTAN, Jens Stoltenberg, avaient réagi en indiquant que « l’Alliance restait prête à mener un dialogue constructif avec la Russie », même si certains points n’étaient « jamais » acceptés. Le 26 décembre, le président russe Vladimir Poutine a quant à lui estimé que l’OTAN faisait « en permanence des déclarations sur la nécessité de mener des pourparlers », mais en continuant à doter les pays frontaliers de la Russie de systèmes d’armements modernes, accroissant les menaces pesant sur son pays.

Source : RT France

3-Seul pays où le meurtre d’enfant est recommandé ? 

Les soldats israéliens peuvent désormais tirer sur les Palestiniens à balles réelles

L’armée d’occupation israélienne pourra dorénavant tirer à balles réelles sur les manifestants palestiniens. Cette répression, couplée à la colonisation, viserait à étouffer la résistance en Palestine, dans le silence de la communauté internationale.

L’apaisement entre les Israéliens et les Palestiniens n’est pas pour demain. Tsahal aurait autorisé à ses militaires à tirer à balles réelles sur les lanceurs de pierres et de cocktails Molotov, même après les faits.

Cette information a été dévoilée par le média israélien Kanet confirmée par Tsahal, qui s’est refusée à tout commentaire. « Les procédures opérationnelles sont régulièrement mises à jour si nécessaire. Étant classées secret-défense, elles ne peuvent pas être publiées », s’est bornée à annoncer l’armée d’occupation israélienne. »

Cette mesure pour le moins répressive risque de mettre le feu aux poudres en Terre trois fois sainte. Le Premier ministre de l’Autorité palestinienne, Mohammad Shtayyeh, a qualifié ces nouvelles règles de « politique d’exécution » et a appelé à l’intervention urgente de la communauté internationale. Même son de cloche du côté des humanitaires locaux.

La nouvelle mesure « ne constitue pas un changement, mais plutôt une transposition de la réalité sur le terrain », martèle l’organisation humanitaire israélienne B’Tselem, qui répertorie les atteintes aux droits de l’homme en « Israël » et Palestine.

Répressions en toute impunité ?

Juridiquement, les soldats israéliens ne pouvaient user de la force létale qu’en cas d’attaque imminente. Ainsi, selon la nouvelle procédure, l’utilisation de la force armée est rendue possible dans le cas où le manifestant se trouve en « zone de combat », même s’ils ne constituent plus une menace immédiate. « Cette loi confirme une politique qui existe déjà depuis une décennie », réagit Alain Gresh, directeur du site d’information Orient XXI et spécialiste du conflit israélo-palestinien.

« C’est un permis de tuer avec un cadre juridique. C’est une politique d’aggravation de la répression. Ça donne plus de droits aux soldats israéliens, même s’ils n’ont jamais été inquiétés pour les crimes commis », souligne-t-il au micro de Sputnik.

Les soldats jugés pour des tirs injustifiés sont rarement condamnés, confirme Yael Stein, directrice de recherche de B’Tselem. « Les autorités militaires se protègent derrière des pages et des pages de langage juridique opaque, que personne ne comprend », déplore-t-elle. Alors même que l’année 2021 a été la plus meurtrière pour les enfants palestiniens depuis 2014 : 78 mineurs ont péri sous les balles des forces israéliennes, 61 à Gaza et 15 en Cisjordanie et à Qods oriental.

Au cours des manifestations pour les « marches du retour » organisées à Gaza en 2018, les tireurs israéliens avaient blessé plus de 5 000 manifestants. Mais plusieurs enquêtes ont montré que les balles avaient été délibérément tirées dans les articulations des Palestiniens, genoux, chevilles, tibias, afin de les rendre infirmes.

« Dépeçage en Cisjordanie »

Au-delà du côté répressif, « il y a une intensification de la colonisation », rappelle Alain Gresh. Naftali Bennett, Premier ministre israélien, a approuvé en octobre dernier la construction de milliers de logements à Qods-Est. Ces projets immobiliers vont surtout isoler les localités palestiniennes les unes des autres. Tel-Aviv continue également « le dépeçage en Cisjordanie », pourtant interdit au regard du droit international. En effet, les autorités israéliennes s’apprêtent à y implanter 3 100 habitations supplémentaires. En 1989, on dénombrait environ 70 000 colons, aujourd’hui ce chiffre a pratiquement été multiplié par 10 : 675 000 Israéliens habitent dans les territoires occupés.

Pour éviter un énième soulèvement palestinien, les autorités israéliennes « veulent casser tout mouvement de résistance au sein de la rue palestinienne », analyse Alain Gresh, car « Israël veut éviter ce qu’il s’est passé en mai dernier ». De nombreuses manifestations en Cisjordanie, à Qods et dans certaines villes israéliennes peuplées d’Arabes avaient entraîné des affrontements sanglants avec le Hamas pendant 10 jours. Et pour cela, Tel-Aviv composerait avec le chef de l’autorité palestinienne pour tenter un début de dégel des relations. « Il est lui-même impopulaire et sert les intérêts israéliens », interprète le spécialiste du Proche-Orient.

Le 28 décembre, Mahmoud Abbas s’est en effet rendu pour la première en « Israël » depuis 11 ans pour rencontrer les officiels israéliens. Après son entretien avec le leader palestinien, le ministre israélien de la Guerre, Benny Gantz, a exprimé son souhait de mettre en place des gestes de bonne volonté vis-à-vis des Palestiniens.

« Israël » va ainsi tenter de mettre en place des mesures de confiance : un versement anticipé des taxes perçues au nom de l’autorité palestinienne, la régularisation du statut de quelque 10 000 Palestiniens et l’octroi de nouveau permis pour des hommes d’affaires venus de Cisjordanie et de Gaza.

Une stratégie qui n’est pas nouvelle. En septembre dernier, Tel-Aviv avait proposé un marchandage avec Gaza, investissement contre sécurité. Le Hamas et l’Autorité palestinienne avaient refusé ce plan.

« Depuis 40 ans et l’époque de Shimon Perez, l’idée de paix économique est sur la table du côté israélien. Ils pensent qu’en améliorant les conditions de vie des Palestiniens, ces derniers cesseront toute revendication politique. Mais face à cet échec, Israël continue d’user de la répression », tranche Alain Gresh.

Devant la banalisation du système répressif israélien, ce qui indigne au plus haut point notre interlocuteur est le silence de la communauté internationale.

« Aujourd’hui, si on lance une pierre, on reçoit une balle dans la tête. Dans un pays soi-disant démocratique, c’est inconcevable. Imaginez une seconde que cette loi soit appliquée en Chine ou en Russie ? On aurait une levée de boucliers immédiate. »

« Personne ne fait rien pour empêcher la continuation d’une telle politique », regrette Alain Gresh : « Les États-Unis s’alignent sur Israël et l’Europe et la France restent muettes, donc complices. »

Source : Sputnik

4-USA : l’Europe à nouveau humiliée !

« L’Europe, très bien, mais quel numéro de téléphone ? » aurait demandé Henry Kissinger, quand il était conseillé à la sécurité nationale du président américain Richard Nixon, au début des années 1970.

Mais les choses ont évolué, car depuis 2010, l’Union européenne [UE] dispose désormais d’un président du Conseil européen ainsi que d’un Service européen d’action extérieure [SEAE], lequel relève du haut représentant de l’Union pour les Affaires étrangères et la politique de sécurité.

Pour autant, l’UE sera tenue à l’écart des discussions qu’aura, début janvier, la Russie avec les États-Unis et l’OTAN au sujet des garanties de sécurité que Moscou réclame…

 Et cela, alors qu’elle sera concernée par les décisions qui seront éventuellement arrêtées à cette occasion. Le numéro de Josep Borrell, l’actuel chef de la diplomatie européenne, a-t-il été perdu ?

En tout cas, dans un entretien donné au quotidien allemand Die Welt, l’intéressé a déploré que l’UE soit tenue à l’écart des débats sur la refonte de l’architecture de sécurité en Europe, faisant observer que « plusieurs de ses membres ne font pas partie de l’OTAN », par exemple la Suède et la Finlande, qui ont également des préoccupations concernant les activités militaires russes.

 En clair, M. Borrell ne veut pas d’une réédition de la Conférence de Yalta [au cours de laquelle le sort du Vieux Continent après la défaite de l’Allemagne nazie s’était joué, ndlr] mais retrouver plutôt l’esprit des accords d’Helsinki

« Si Moscou […] a l’intention de discuter de l’architecture de sécurité en Europe et des garanties de sécurité [qu’elle exige], alors cela ne concerne pas seulement les États-Unis et la Russie. L’UE doit être impliquée dans ces négociations », a fait valoir M. Borrell, notant au passage que le chef de la diplomatie américaine, Antony Blinken, partage ce point de vue.

« Nous ne voulons pas et ne devons pas être un spectateur indifférent derrière le dos duquel les décisions sont prises », a insisté le haut représentant. Les États-Unis et la Russie sont « deux acteurs qui se partagent des sphères d’influence entre eux. Moscou veut parler de l’architecture de sécurité européenne sans impliquer l’UE. C’est absurde. Nous n’acceptons pas cela », a-t-il poursuivi.

Source : Opex 360

5-Sa Majesté prépare sa fuite en Ukraine !

La présence de militaires étrangers en Ukraine n’a pas été un scoop pour les habitants du pays, ils le savaient depuis longtemps. Mais ce qui a troublé les Ukrainiens, c’est qu’elles soient prêtes, « au cas où », à évacuer rapidement, personne n’a l’intention d’aider les militaires ukrainiens. Sachant que les plans d’évacuation ont déjà été élaborés. C’est ce qu’a rapporté le quotidien britannique Daily Express.

« À l’heure actuelle, plus de 100 Britanniques forment et consultent les troupes ukrainiennes avec des forces polonaises, américaines et canadiennes. Cependant, étant donné que le secrétaire d’État à la Défense Ben Wallace a qualifié de “peu probable” la perspective que les forces britanniques affrontent l’armée russe sur le sol ukrainien, une stratégie est élaborée pour terminer l’opération », stipule l’article publié dans le Daily Express.

Qu’est-ce qu’a effrayé les militaires britanniques ?

Le journal se réfère aux images satellites de la société américaine Maxar Technologies. Et d’après ces images, une nouvelle brigade de chars et de matériel blindé a fait son apparition en Crimée.

Le Royaume-Uni l’a pris pour un signe malsain et a décidé d’assurer ses arrières. Bien que Moscou ait annoncé le retrait de 10 000 hommes sur leurs positions initiales, cela n’a pas rassuré le commandement britannique, car les médias occidentaux écrivaient obstinément au sujet de « centaines de milliers » de militaires à la frontière ukrainienne.

Le Daily Express note que le commandement britannique a déjà commencé à revoir l’opération Orbital afin d’obtenir des garanties que tout le personnel britannique serait retiré en sécurité du territoire ukrainien si la Russie faisait soudainement entrer ses troupes.

Le commandement a déjà préparé le plan d’un retrait rapide d’Ukraine.

La partie principale des forces britanniques est stationnée à Iavorov (région de Lvov), où se trouve l’un des plus grands terrains d’entraînement ukrainiens, et en cas d’imprévu elles seront toutes évacuées en Pologne. Un groupe d’officiers d’état-major, qui se trouve actuellement à Kiev, se rendra jusqu’à la frontière directement depuis la capitale.

Les effectifs de la Royal Navy ont eu de la chance : ils sont déjà partis au Royaume-Uni pour célébrer Noël et désormais on ignore s’ils reviendront.

« La décision d’évacuation sera prise par le commandant des opérations conjointes le général Charlie Strickland.

Les collaborateurs de l’état-major interarmées permanent à Northwood, comté de Hertfordshire, resteront en attente pendant la période de Noël et surveilleront “l’atmosphère”, alors que le général Strickland recevra des comptes rendus deux fois par jour. Il ne peut pas admettre que des militaires britanniques se retrouvent pris au piège », écrit le Daily Express.

Des militaires britanniques ont organisé une brève formation pour l’armée ukrainienne dans le cadre du soutien international après l’agression de 2014.

Depuis 2015, les forces britanniques ont formé plus de 21 000 soldats ukrainiens dans le domaine de la médecine, de la planification, de la logistique et de l’infanterie.

En 2019, l’opération a été prolongée jusqu’en 2023 et élargie grâce à la participation de la Royal Navy et des Royal Marines. Ces unités préparaient la flotte ukrainienne à faire face aux défis en mer d’Azov.

Source : Observateur continental

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SOURCE: FRENCH PRESS TV