Ce samedi 28 août, plusieurs chefs d’État, dont Emmanuel Macron, et représentants de plusieurs pays du Moyen-Orient se sont réunis à Bagdad pour un sommet aux enjeux capitaux pour l’Irak, qui tente de s’imposer comme médiateur entre rivaux régionaux.
Outre le président français, son homologue égyptien Abdel Fattah Al-Sissi et le roi Abdallah II de Jordanie étaient attendus, tout comme des représentants des Émirats arabes unis, du Qatar et du Koweït, mais surtout de l’Arabie saoudite et de l’Iran, représenté par son chef de la diplomatie, Hossein Amir Abdollahian.
Comment peut-on analyser ce sommet, étant donné l’absence notable du président syrien Bachar al-Assad ?
André Chamy, juriste international s’exprime sur le sujet.
