« Si l’État n’en a pas le courage, nous irons nous-mêmes négocier l’achat de carburant à Téhéran », a affirmé Hassan Nasrallah, alors que le Liban est confronté à une grave crise du carburant.
Le secrétaire général du Hezbollah a invité à nouveau Beyrouth à regarder plus à l’Est et importer directement son or noir d’Iran, ce qui n'est visiblement pas du goût des pays occidentaux.
Comment peut-on analyser cette déclaration du Secrétaire général du Hezbollah libanais et le mépris des pays occidentaux vis-à-vis de cette décision ?
Avec Ghada Houballah, chercheur géopolitique a l'université islamique du Liban, nous avons analysé cette situation.