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Zoom Afrique du 11 juillet 2020

Zoom Afrique du 11 juillet 2020

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L’actualité en Afrique :

  • Côte d’Ivoire/Burkina Faso : le chemin de fer Abidjan-Ouagadougou est rouvert à la circulation
  • Le Togo a produit 800 000 tonnes de phosphates en 2019
  • Angola : suspension des frais de scolarité sur fond de l’épidémie

Les analyses de la rédaction :

1- Mali : la manœuvre de diversion de Barkhane

Ce plan B que la France vient de concocter et mis en place à l’aide de ses réseaux médiatiques et ses relais locaux, on s’en doute, ne vise qu’à retarder le départ de Barkhane contre qui le Mali tout entier manifeste et proteste depuis plus d’un an. C’est un mouvement potentiellement libérateur propre à mettre au pas les plans d’occupation menés par le duo USA/OTAN en Afrique de l’Ouest et contre quoi il faut bien agir. C’est de là que vient ce « IBK dégage ! » Car au fond le président malien n’a jamais eu trop de pouvoir au Mali, dépendant qu’il est aux prises de décision de Paris et alors que les troupes étrangères occupent son pays.

Vendredi, les forces de diversion françaises ont réussi pour la première fois et à renfort des médias mainstream de lancer un assaut contre le siège de radio télévision et provoquer la violence qui ont coûté la vie, dit RFI à un Malien. Pourquoi les médias mainstream d’habitude si avares à couvrir les manifs anti Barkhane ont si largement couvert l’événement ? Tout bonnement pour dire que l’Etat malien, son armée et sa force sécuritaire tuent les Maliens.

Entre temps « Takuba » et le moribond G5 se réinstallent sur les frontières avec l’Algérie, la MInusca se redéploie au Centre pour relancer le plan de démembrement. Où est l’imam Diko, cette référence intègre et anti-occupation ? RFI n’en parle plus. Dicko semble avoir compris le danger, car l’ennemi, pour lui, n’est pas IBK, mais l’occupation militaire française. 

2- L’arme électromagnétique contre l’Afrique ?

C’est une véritable catastrophe. Depuis le mois de mai 2020, des centaines d’éléphants sont morts de manière subite dans le nord du Botswana. Les cadavres des pachydermes ne présentent aucune lésion ou blessure due à l’effet d’une arme à effet kinésique et une première équipe d’experts soupçonne un virus tueur d’être la cause de cette hécatombe. Cependant l’autopsie d’un premier animal n’a pas permis de conclure à une quelconque épizootie, mais a par contre conclu à une mort par infarctus du myocarde.

On estime à plus de 500, les cadavres d’éléphants retrouvés jusqu’ici.

Si des experts n’écartent pas l’hypothèse d’un empoisonnement ou de pollution des points d’eau, dont l’Okavango, d’autres évoquent une hypothèse assez terrifiante rappelant des essais d’armes à impulsion électromagnétique à champ étroit susceptibles de provoquer des anévrismes chez des mammifères durant les trois dernières années.

Les éléphants auraient été ciblés en raison de leur taille et servis à affiner la précision de ces armes atypiques et invisibles. Deux laboratoires de recherche travaillent actuellement sur ce nouveau type d’armes visant à induire à distance la mort par arrêt cardiaque et cela concerne en priorité les humains.

Certains éléphants affectés par ce mal invisible tournent en rond avant de s’effondrer tête en avant dans le sol pour ne plus se relever. Les résultats de l’enquête toxicologique seront connus avant la fin de la semaine.

Il est à rappeler qu’un empoisonnement naturel à l’anthrax a causé la mort d’une centaine d’éléphants en 2018 et en 2019.

Le gouvernement du Botswana donnera plus de détails aujourd’hui, 10 juillet 2020, sur cette situation qualifiée de plus grand désastre affectant les éléphants sauvages d’Afrique australe durant ce siècle.

Les éléphants sont très sensibles aux ondes sismiques et à certains types de fréquences électromagnétiques.

Les éléphants du Botswana ont-ils été victimes des recherches de gaz de schiste qui aurait impacté des points d’eau et provoqué des désordres neurologiques entraînant la mort ? Ou bien ont-ils servi de cobayes à l’essai d’armes EM ?

Source : strategika51

3- Le gaz du Mozambique attise l’appétit des banques françaises

Les quatre grandes banques françaises - BNP Paribas, Société Générale, Crédit Agricole et Natixis - participent à un ou plusieurs des projets gaziers offshore du Mozambique. Ces projets gigantesques restent controversés alors que l’urgence climatique se fait de plus en plus sensible et que la région est frappée par une poussée de violence.

Tout le monde veut sa part. Le gaz découvert au Mozambique est une opportunité d’une rare ampleur pour les géants des énergies fossiles, mais aussi pour les banques qui financent ces projets. Il y a de quoi : le projet géré par Total, Mozambique LNG, qui représente un investissement global de 23 milliards de dollars, sera notamment financé par un total de 16 milliards de dollars de prêts bancaires, selon Bloomberg.

Les grandes banques françaises ne sont pas passées à côté de cette opportunité. Sur le projet Mozambique LNG, Société Générale a été mandatée en tant que conseiller financier.

Source : Les Échos

 

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SOURCE: FRENCH PRESS TV