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L’actualité en Afrique :
Les analyses de la rédaction :
-Côte d’Ivoire : » israélien Mitrelli Group décroche un contrat de 160 millions $ pour réaliser 95 systèmes hydrauliques
En Afrique, l’eau est parfois considérée comme une véritable arme de guerre. Son manque, sa répartition inéquitable créent des zones de conflits potentiels, zones qui peuvent être mises en parallèle et provoquer des violences contagieuses à une vaste échelle. Lorsque les systèmes d’approvisionnement sont « modernes » et connectés aux réseaux électriques, leur vulnérabilité est encore plus grande, car en période de conflit ils constituent les principales cibles. Les populations civiles sont les premières à souffrir des bouleversements des systèmes d’approvisionnement en eau. On l’a vu dans les conflits au Darfour, en Somalie… ou encore en Syrie. Ce dernier pays est un cas très parlant. Il y a d’abord eu une période de sécheresse « provoquée », qui a poussé les populations à se déplacer vers les zones côtières, provoquant des tensions puis des conflits ouverts. La pénurie d’eau a ainsi contribué à créer les conditions pour qu’éclate une guerre. Ensuite, c’est devenu une arme stratégique. On a pu voir, lors des combats dans la région de Damas, comment les camps adverses ont tenté de priver d’eau les zones contrôlées par l’ennemi. De même, le barrage de Tabqa, un temps contrôlé par Daech, a été repris aux terroristes. Mais les tensions ne s’arrêtent pas là, puisqu’il a été conquis par les combattants kurdes et non pas par l’armée syrienne… Cette énumération des risques liés au contrôle de l’eau ne figure pas par hasard dans Zoom Afrique de ce 6 mai. Il y a quelque temps la société israélienne Mirelli Groupe Limited a signé a Abidjan, un contrat pour les études et les travaux de réalisation de systèmes hydrauliques en Côte d’Ivoire. D’un coût total de 98,3 milliards FCFA (environ 161 millions $), ce projet vise notamment la conception et la réalisation de 95 systèmes d’hydraulique urbaine dans 95 chefs-lieux de sous-préfectures de la Côte d’Ivoire. Selon les autorités ivoiriennes, la mise en œuvre de ce projet entre dans le cadre du plan de riposte supplémentaire d’un coût de 1700 milliards FCFA (environ 2,9 milliards $), annoncé par l’État de Côte d’Ivoire pour limiter la propagation de la Covid-19 dans le pays. Très bizarrement Israël, les Émirats arabes unis la Covid-19 se conjugue dans une vision parfaitement prémonitoire. À l’heure des grands agissements USA/OTAN au Sahel où tout est destiné à étendre la guerre vers la côte, un investissement israélien dans le secteur de l’eau ivoirienne ne peut être anodin. La Côte d’Ivoire n’a pas succombé aux tentatives de destabiliastaion liées au terrorisme made in Occident, c’est par l’eau que l’axe USA/Israël chercherait d’ici quelque temps à la déstabiliser.
2-En ces temps d’épidémie de Covid-19 où des vols suspects d’Air France et d’autres compagnies aériennes répandent le virus en Afrique, certaines réminiscences font le froid au dos. Il y a quarante ans, l’Occident inoculait de la même manière le virus de SIDA au continent africain en accusant de surcroît les Africains d’en être à l’origine. Des aveux d’un agent « blanc » qui avait pour mission de répandre le virus du Sida en Afrique du Sud. Un ancien membre de l’organisation SAIMR avoue avoir sciemment inoculé le SIDA à des Sud-Africains durant l’apartheid.
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