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Un nouvel accord entre Moscou, Ankara et Téhéran

US Rep. Ilhan Omar (D-MN) (L) talks with Speaker of the House Nancy Pelosi (D-CA) during a rally with fellow Democrats before voting on H.R. 1, or the People Act, on the East Steps of the US Capitol on March 08, 2019 in Washington, DC. (AFP photo)
Militaires, russes, iraniens et syriens dans une base aérienne en Syrie. (Photo d'archives)

Les pourparlers tripartites entre l’Iran, la Russie et la Turquie entrent dans une nouvelle étape.

Après une intense série de pourparlers tripartites entre l’Iran, la Russie et la Turquie, les trois pays ont trouvé un moyen de sortir de la crise et cherchent à garantir le cessez-le-feu et à réduire le nombre de zones en conflit dans le nord de la Syrie, ont rapporté les sources sur le terrain.

Après avoir fait obstacle à l’alliance occidentale, arabe et israélienne qui mettaient des bâtons dans les roues des pourparlers, les autorités de Téhéran, d’Ankara et de Moscou font preuve de vigilance et envisagent de reproduire la même stratégie pour déjouer les nouveaux complots de cette coalition.

En vertu de l’accord conclu concernant la mise en œuvre d’un cessez-le-feu pour réduire les tensions, les troupes iraniennes et russes seront déployées en guise de forces de surveillance dans certaines régions du nord de la Syrie pour éviter l’escalade du conflit.

La première étape de la mise en application du cessez-le-feu consistera à déployer les forces iraniennes, russes et turques dans, respectivement, sept, dix et douze régions situées dans les provinces d’Alep, Idlib, Hama et Lattaquié.

Selon une source sur le terrain, les forces iraniennes opéreront notamment dans cinq stations de surveillance situées à Alep et deux autres stations dans les provinces de Hama et Lattaquié.

 

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SOURCE: FRENCH PRESS TV