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Gadi Eizenkot assiste à la conférence des chefs d’état-major à Washington

US Rep. Ilhan Omar (D-MN) (L) talks with Speaker of the House Nancy Pelosi (D-CA) during a rally with fellow Democrats before voting on H.R. 1, or the People Act, on the East Steps of the US Capitol on March 08, 2019 in Washington, DC. (AFP photo)
Le chef d'état-major de l'armée américaine, le général Joseph Dunford, rencontre son homologue israélien, Gadi Eisenkot, au siège de l'armée israélienne à Tel Aviv, le 18 octobre 2015. (Archives)

Le Lieutenant-général Gadi Eizenkot, chef d'état-major de l’armée israélienne ainsi que ses homologues de la coalition américaine participent à une réunion conjointe à Washington. En coulisse, on parle de l'ultime tentative d'Israël pour changer la donne en Syrie post-Daech. 

À Washington, Eisenkot doit rencontrer les responsables militaires participant à la deuxième conférence annuelle des chefs d'état-major, organisée par le chef d’état-major des armées des États-Unis, Joseph Dunford.

C’est la première fois qu’Israël a été invité à participer à cette conférence.

Eisenkot rencontrera également d'autres responsables de la défense américaine, ainsi que les chefs du Commandement européen des États-Unis (EUCOM) et du Commandement central des États-Unis (CENTCOM).

Les chefs d’état-major des armées jordanienne, égyptienne, saoudienne, émiratie ainsi que ceux des pays européens membres de l’OTAN prendront part à cette conférence qui durera quatre jours.

L’armée israélienne a émis un communiqué dans lequel elle a annoncé que les participants à la conférence de Washington se pencheraient sur les "défis sécuritaires communs" ainsi que sur l’évaluation de la situation sécuritaire et les coopérations militaires. Or ces défis sécuritaires ont trait à la situation en Syrie, surtout dans le sud syrien où Israël ne cesse de crier "au danger iranien". Simultanément à l’organisation de cette conférence à Washington, le ministre israélien des Affaires militaires Avigdor Lieberman est aussi présent aux États-Unis. Les analystes n'écartent pas une possible extension de la crise au Kurdistan irakien au nord de la Syrie à majorité kurde et ce, en contrepartie au projet désormais avorté dit "Daech". 

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SOURCE: FRENCH PRESS TV