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Le gouvernement japonais a démenti avoir intercepté un missile nord-coréen

US Rep. Ilhan Omar (D-MN) (L) talks with Speaker of the House Nancy Pelosi (D-CA) during a rally with fellow Democrats before voting on H.R. 1, or the People Act, on the East Steps of the US Capitol on March 08, 2019 in Washington, DC. (AFP photo)
Le Premier ministre japonais Shinzo Abe (C) répond depuis sa résidence officielle à Tokyo aux questions des journalistes concernant le nouveau tir de missile nord-coréen, le 15 septembre 2017. ©AFP

Le gouvernement japonais a démenti les informations faisant état de l’interception d’un missile nord-coréen.

Selon la chaîne NBC, suite aux avertissements donnés à la télévision nippone pour que les Japonais restent vigilants quant aux éventuels débris du missile nord-coréen de ce matin, certains médias japonais ont évoqué l’interception de l’engin par Tokyo.

Or, le gouvernement japonais vient de démentir cette information. Et, le Premier ministre japonais, Shinzo Abe a déclaré devant les journalistes que Tokyo avait attentivement surveillé le vol du missile qui a survolé le territoire japonais ce matin, mais que faute de menace directe, le missile n’avait pas été abattu.

La Corée du Nord a procédé aujourd’hui, vendredi 15 septembre, à 6 h 57 (heure locale) à un nouveau tir de missile depuis le district de Sunan situé au nord-ouest de la capitale, Pyongyang.

Des rapports indiquent que ce missile de type intercontinental a volé à 770 km d’altitude et qu’il s’est écrasé dans l’océan Pacifique après avoir survolé des régions japonaises et parcouru une distance de 3 700 km.

Suite à ce nouvel essai, le voisin sud-coréen a ordonné une réunion d’urgence de son Conseil de sécurité nationale.

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SOURCE: FRENCH PRESS TV