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Poutine annonce un accord Syrie/Iran/Russie/Turquie pour relancer le processus de paix

US Rep. Ilhan Omar (D-MN) (L) talks with Speaker of the House Nancy Pelosi (D-CA) during a rally with fellow Democrats before voting on H.R. 1, or the People Act, on the East Steps of the US Capitol on March 08, 2019 in Washington, DC. (AFP photo)
Le président russe Vladimir Poutine s'exprime lors de sa conférence de presse annuelle à Moscou, le 23 décembre 2016. ©AFP

Lors de sa 12e grande conférence de presse annuelle, le président de la Confédération de Russie a déclaré, ce vendredi 23 décembre, que la libération d’Alep constituait un pas de géant vers une Syrie stable.

« La libération d’Alep rend le terrain propice à la normalisation de la situation en Syrie. Cependant, les efforts diplomatiques se poursuivent pour instaurer un cessez-le-feu élargi en Syrie et parvenir à une paix durable. Tous les éléments armés et les terroristes ont été évacués d’Alep et l’opération militaire s’est officiellement terminée. »

Le président russe s’est ensuite attardé sur l’assassinat de l’ambassadeur de Russie à Ankara, disant que l’enquête se poursuivait. « Aujourd’hui, la Russie est plus puissante que jamais et les États-Unis ne sont pas en mesure de représenter une menace », a-t-il indiqué. 

Dans cette photo, prise le 6 octobre 2015, un chasseur russe SU-24M décolle de la base aérienne Hmeimim en Syrie. ©AP

Par ailleurs, le président russe vient de signer un décret sur la signature d’un protocole d’accord entre la Russie et la Syrie prévoyant le déploiement d’un nouveau groupe aérien dans la ville syrienne de Tartous.

Il a également noté que l’évacuation des civils et des terroristes d’Alep n’était pas possible sans l’aide de la Russie, de l’Iran et de la Turquie et la volonté du président syrien, Bachar al-Assad.

Il a ajouté que la reprise d’Alep était très importante, tout en affirmant que Moscou cherchait à mettre fin à la guerre sur la totalité du territoire syrien. 

 

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SOURCE: FRENCH PRESS TV